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L'ombre
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| Sujet: Les petits textes de Az' Dim 7 Mar - 0:19 | |
| Retrouvez mes textes et plus sur: http://plume-du-soir.over-blog.comVoici un recueille de petit texte que j'ai écrit quand je m'ennuyais. Il n'y en a de tout genre, mais rare son ceux sur le thème de HP. Voila, je vous laisse lire. D'autre viendrons plus tard. Deux fils me retiennent dans ma chute inexorable faire le fin...le premier est tenu par mes amis et elle est fragile et depuis le début de ma chute, il y a 17ans, ce fil à de nombreuse fois changé de main...L'autre s'est un groupe de personne qui tombe plus lentement grâce à un parachute que j'ai crée il n'y a pas longtemps, mais j'ai du m'en détaché quelque temps, même si je continu d'y aller. Ce parachute s'appelle Potter-Magie, mais le fil a été fragilisé par d'autre personne s'attachant à parachute et, comme le plus part des égoïstes, n'ont pas fait attention qu'il usait mon fil avec leur bêtise... Je suis encore là, mais pour combinent de temps? Longtemps? peu? Ce qui est sur s'est qu'un jour ces deux fils casseront et si je n'est pas réussit à me rattacher autre par, ma chute s'accéléra et je m'écraserai au fond de se gouffre sans fin... Aujourd'hui, j'ai envie d'écrire. Aujourd'hui, j'ai envie d'être lu. Aujourd'hui, j'ai se que l'on peux appelé la fièvre de l'écrivain, écrivain raté pour certain, doué pour d'autre. Mon ventre est serré et je suis inquiet. J'ai envie d'écrire pour oublier ces sentiment, les déversés dans mon texte. J'ai envie d'oublié et mon seul remède c'est un crayon et des feuilles.... Il pleuvait. Le jeune garçon ne pouvait sortir. Les années avait passé et les pluies était devenues acides. L'eau devait être traité une dixième de fois avant d'être bu. Ses fenêtres vibrèrent. Il faisait froid. Comment vivre plus longtemps dans se monde détruit...à mourir de faim. Il prit un bout de verre qui traina...it parterre et se le planta dans le cou. il s'écroula rapidement. La vie l'avait quitté. Il venait de rentré l'hiver dehors avait givré toute vie. Il avait froid aux mains et ou pieds. Il enleva sa grosse veste et ses chaussures. Il mit de la musique et ses oreilles lui donnerai l'impression de se réchauffé, d'être même brulante. La chaleur se rependit vite pendant qu'il s'endormait sur le canapé. Une tasse, deux cuillères...deux personnes: Chacune prend une cuillère, puis ils se battent avec pour savoir qui prendra la tasse...C'est la façon de pensé de certains. Moi j'aurai dit: - Prends la tasse, mets s'y se que tu veux, boit le et passe là moi après. La créature avançai contre lui. Il n'arrivait pas à la distingué à la lueur de la lune. Elle était immence, il était perdu... dans la nuit dans un pré et attaqué par un bête sauvage. Il commença à entendre la bruit de cette horrible chose: elle halait et mâchait comme si elle salivait à la pensé du repas qui l'attendait.... Il était couché, blessé à la jambe aucune chance de se sauvé. La bête était maintenant devant lui. Elle baisa la tête...Il sentit des cornes le touché. Le bête renifla bruyamment et meugla...C'était une vache.... IL marchait dans la forêt...Le froid le glaçait. Il avait l'impression qu'il allait perdre ses doigts. Il se mit à courir dans l'espoir de ne pas mourir geler. Il courut, courut, courut. Jusqu'au moment où il tomba face contre la mince couche de neige et il s'endormit.... Rêve impossible. Vie rêvé. Je ne suis qu'illusion... Je suis aussi inutile qu'une limace. Je ne fais que manger les salades. Je suis trop lâche pour faire se à quoi j'ai songé. Pourquoi continuer in ci? alors que rien ne va. Je me demande pourquoi j'ouvre les yeux le matin. Je préfère rester au pays des songes. Il était couché dans son lit un mal de tête l'empêchant de penser. Il avait l'immersion qu'une armé de barbare du moyen-age tapait son cerceaux avec un bélier. Il soufrai et rien ne le soulageait, même les cinq anti-douleur qu'il avait prit. Il se leva difficilement et prit un nouveau comprimé...On le retrouva quelque jour plus tard mort dans sa salle de bain. Il avait prit un sixième comprimé... le comprimé de trop. On dit qu'il s'était drogué... alors que n'avais jamais touché une quelconque drogue de sa vie. Le soleil venait de se coucher. Depuis les monts couverts de cendre rougeoyante l'on pouvait voir un tranché rouge avançait vers la ville. Un feu...un feu de forêt. Elle se réveilla ,un matin, les sens en alerte! Un odeur de sang flottait dans l'aire. Elle fit le tour le la maison. Rien. Tout était fermé. Soudain elle se rendit compte que sa chemise de nuit était couverte d'un substance rouge. Elle courut dans la chambre. Dans le lit son copain gisait mort, trois balle dans le cœur. Elle était en danger... La tempête s'arrêtait. La jeune fille avait entendu les rafales de vent faiblir. Puis plus rien, même pas le clapotement régulier de la pluie. Le silence en était inquiétant. Elle sortit de le grotte et resta sans voix...Les arbre était tous couché au sol, des décombres jugeaient le sol. Pourquoi j'écris? J'écris pour mon plaisir et pour oublier! Oui! Pour oublier. Certains boivent. d'autre se shootent. Mais moi j'écris et j'oublie. c'est dure à assumer au près de mes proches car se que j'écris viens souvent de mes sentiments ou de choses que j'ai vécu. Je préfère le montrer sur un blog où de nombreux inconnus peuvent me lire, mais pas me reconnaître... On essaye toujours de donné une bonne image de nous, mais au fonds à quoi bon? Il suffit d'un bafouillage, un malentendu, un croche-pied involontaire pour que tout dérape....pour que votre meilleur ami partent vous trainant de "cencure"...pour que la fille que vous aimez ne veule plus vous regardez....à quoi bon mettre un masque? faire semblant d'être se que nous ne sommes pas? car enfin de compte on meurt toujours seul...
Dernière édition par Azure Dreams le Jeu 10 Fév - 8:42, édité 4 fois |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Mer 10 Mar - 7:22 | |
| Je suis choqué par le nombre plus grand que je croyais de raciste dans le monde... Pourquoi les gens ne peuvent pas faire preuve d'une peu d'ouverture d'esprit? Je connais des gens qui sont gêné parce que leur sœur sort avec un noir, mais je ne vois pourquoi! L'amour n'a pas de couleur et elle n'est pas lier à un tour religieuse. Laissez chacun vivre comme il veux. On a le droit de ne pas être d'accord, mais pas de l'en empêcher.
Une fleur se fane quand au tour de moi, plus personne ne s'entend...J'aimerai être cette fleur et mourir dans un beauté fugitive et éphémère, sauf pour moi car je ne verrai que se moment de ma petit vie coloré.
J'essaye de clamé mon cœur que ne veux plus rien entendre de cette histoire sombre et pourtant il n'arrive pas à devenir sourd car cette histoire, c'est la vie. Mon corps fatigue, j'ai mal au jambe, des plaques rouges au visage et je tousse comme un vieil homme qui aurait fumé toute sa vie et pourtant je n'ai que 17 ans... Mon cerveau veux vire et pas mon cœur ca il a été blessé et jamais cette blessure ne se refermera.
Dernière édition par Azure Dreams le Jeu 21 Oct - 5:35, édité 1 fois |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Sam 21 Aoû - 1:04 | |
| Les vrais anges ne volent pas! Ils sont parmi nous et leur ailes son invisible au premier regarde. Un ange n'est qu'un humain ayant fait le bien au tour de lui rendant le sourire au tour de lui. Tout le monde à un moment où un autre aider eut des ébauches d'ailes. Peu être simplement en aidant un ami à avoir à nouveau le moral ou en faisant partager son expérience. On ne voit les ailes des anges seulement quand on connait leur existant et que l'on écoute et voit le monde qui nous entour. Les ailes sont comme une sort de cœur... quand on dit de quelqu'un qu'il a un cœur énorme, c'est qu'il est une de ses magnifiques créatures. Moi j'en vois plein au tour de moi. Certain au des ailes plus petites que d'autre, mais tous ont du cœur et je l'ai remercie! [Je dédis ce petit texte à Jennifer, Ambre, Justine, Fanny, Lorelei, Lucas, Loïc et certains que j'oublie] |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Jeu 21 Oct - 5:29 | |
| Le vent murmurait entre les branches du saule, le vent te racontait un histoire douce qui t'enivrait, mais tu ne l'écoutais pas et le souffle se fâcha il poussa une branche. Celle ci s'écrasa au sol tout prêt de toi et le vent se mit à hurler. Tu décidas qu'un jour tu arrêteras le vent et partit de réfugier. Celui qui ne comprend pas ça bêtise, ci enfonce encore plus! |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Jeu 4 Nov - 7:21 | |
| Fait avec: http://slogaanizer.free.fr/ Potter-Magie:
"Potter-Magie. Un nom. Une légende!" "La nouvelle generation c'est Potter-Magie " "Potter-Magie est en toi " "Dans la vie, il y a le sexe, l'argent et Potter-Magie" "Un pour tous, tous pour Potter-Magie !" "La vie est belle avec Potter-Magie" Azure:
"Azure prend le pouvoir !" "Azure, c'est pas toujours frappant, mais ça fait toujours mal." "Seul un(e) Azure fait l'effet d'un(e) Azure " Lucas:
"Lucas, Just do it" "Rock with Lucas" "Qui peut dominer une méchante envie de Lucas ?" Jaina:
"Jaina. C'est tout ce que j'aime." "Jaina est un don naturel, cultivons-le " "Refaire le monde avec Jaina, ça n'a pas de prix." Jack:
"Mmmhh Jack - C'est bien parce que c'est bon !" "Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas, pour tout le reste il y a Jack" "Jack ça change l'école" Good Morning PM:
"Elle a quelque chose en plus, et si c'était Good Morning PM ?" "Plus la science avance, plus elle donne raison à Good Morning PM" "Good Morning PM est le seul moyen d'être heureux!" "Good Morning PM accorde de la valeur à vos opinions" Voila certaines pour moi on du sens... d'autre pas XD! Quoi qu'il en soit éclatez vous! |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Sam 13 Nov - 0:23 | |
| Lumière d’hivers Il est au alentour de huit heur. Je suis assis dans mon lit et j’attends, quoi ? Qui ? Je vous avoue que je n’en sais rien. Un larme coule le long de ma joue. J’ignore pourquoi, sauf peu être à cause de la lumière, lumière d’hivers, lumière blanche. La lumière d’hiver, elle se reflète sur la neige de devient blanche, tout est plus claire, c’est une clarté étrange, mais vraiment agréable. Certains personnes pourraient croire quel on atterrie au paradis, mais la vie reste la vie. La lumière d’hivers, a un étrange effet sur moi. Je suis nostalgique, pensif, mais cela me fait aussi rêver. J’ai l’impression d’être vraiment seul, le silence et cette lumière y aide. A ce moment je me rends compte que je suis finalement vraiment seul dans ma vie. J’ai quelques amis qui semble parfois un peu m’oublier. Je ne suis ni blessé, ni mal à cette idée. Je me dis juste que je devrai trouver d’autre personne qui partage mes valeurs. J’ai l’impression d’avoir perdu beaucoup d’ami en très peu de temps, un amour aussi… Quoi qu’il en soit je suis décidé d’avancer de me battre et de sourire quoi qu’il arrive, être franc aussi. Je sais que cela ne va pas être simple, mais je vais le faire et si ce n’est pas pour vous ce sera pour moi. Je reste quand même le même, la neige à fondu, le soleil brille à nouveau et les étoiles peuvent continuer de brûler, le vent de souffler et les gens de ce moquer. Moi je resterai comme je suis libre dans ma tête, fou, spontané. |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Lun 22 Nov - 9:43 | |
| Petit rêve de tropique, un début d'hivers Le soleil était brûlant, le silence était total dans le groupe d'ami qui était tous, sans exception, couché sur leur ligne de bain. Qu'ils soient sur le dos ou sur le ventre, les jeunes grillaient littéralement. Certains restaient complètement immobiles tandis que d'autres jouaient à s'enfoncer les pieds dans le sable chauds. Les vagues se brisaient sur la plage. C'est à ce moment que le jeune homme qui rêvait de soleil se réveilla dans son lit, bien au chaud, mais apercevait, entre les rideaux, la neige en train de tomber... |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Jeu 2 Déc - 7:56 | |
| Les anges ne savent pas respirer sur la terre et c’est pour cela que nous en voyions que très rarement. Un jeune garçon, brun, plutôt grand, les yeux bleus et la peau bronzé, attendaient devant la porte de la salle de gym que le professeur arrive. Zanj, car c’était son nom, portait son short de gym noir. C’était un short sans vrai forme, mais très agréable pour le sport. Son T-shirt était bleu et portait un motif noir dont il n’avait pas comprit la signification. Ils étaient appuyés contre le mur avec deux autres garçons de sa classe. Un groupe composé de plus de la moitié des filles descendit les escaliers qui menait aux vestiaires. Il sourit, elles étaient toujours à parler de garçon et de sexe. L’une des filles, Rose, vit qu’il les regardait en souriant, elle se mit devant lui et demanda : - Tu es heureux de nous voir pour sourire comme ça ? - En quelques sortes…. - Ah bon ? Répondit Alice qui venait de finir de descendre les escaliers et qui avait tout suivit. - Vous êtes tellement bizarre que vous nous faites toujours rire ! - Moi, j’ai rien dit ! Signala Jean qui se trouvait à coter du garçon et qui ne le soutenait jamais. - Méchant ! Rétorqua Rose à Zanj en le regardant droit dans les yeux. Celui ci éclata de rire suivit de quelques autres. Les restes de la classe était arrivé et le professeur ne tarda pas. Ils déposèrent leur objet précieux dans l’étagère et Mr.Troni expliqua le jeu qu’il allait faire ce jour là. La leçon avait prit fin, Zanj avait un horrible mal de tête et au lieu d’aller en cour de mathématique. Il rentra chez lui. Le chemin jusqu’à sa maison était comme toutes la villes enneigés. Il devait faire attention à ne pas glisser n’y tomber, mais cela s’avérait compliquer avec la migraine qu’il subissait. Zanj était couché sur son lit. Le ventre contre le tissu. Il avait les yeux rougis et des larmes coulaient sur ses joues. Le mal de tête était affreux. Un ordre de troll des montages auraient été placé dans son crâne qu’il n’aurait pas si mal. Il avait l’impression que son cerveau était sur le point d’exploser. Soudain la douleur disparut. Zanj ne comprenait pas, il se toucha la tête pour vérifier que tout allait bien. Il se leva et se précipita devant le miroir incrusté dans son armoire. Il était toujours pareil. Il se rendit à ce moment compte qu’il était encore torse nu. Il sourit en se rendant compte que le mal de tête n’avait pas fait fondre les faibles abdominaux qu’il s’était entêté à faire apparaître sur son ventre. Son esprit partit dans un vagabondage et le fit complètement oublier le mal de tête et se miraculeuse guérison. Il profita du reste de l’après-midi en jouant à l’ordinateur et regardant la TV. La journée passa et Zanj se rendit soudain compte quand il entendit la porte s’ouvrir que si sa mère le trouvait derrière l’ordinateur et qu’il lui annonçait ne pas être aller à l’école qu’il allait passer un sale quart d’heur. Il referma son ordinateur portable et se jeta dans son lit s’emballant dans sa couverture et faisant semblant d’être malade. Sa mère arriva vers sa chambre et en le découvrant dans son lit demanda à son fils ainé ce qui ce passait. -J’ai mal à la tête, je suis partit après la gym de l’école. Dit faiblement le garçon imitant à la perfection son malaise. Sa mère fut surprise et alla chercher un thermomètre pour voir si il avait beaucoup de fièvre. Quand elle revint le jeune garçon souligna le faite qu’il allait déjà mieux, mais cela n’empêcha pas sa mère de pâlir. Zanj ne comprit pas pourquoi : il était parfaitement bien et le thermomètre ne devait donc pas montrer un valeur plus élever que la normal. Il prit l’objet dans sa main et le tourna de façon à ce qu’il voie le chiffre qu’il montrerait : 41°. Le garçon écarquilla les yeux et se sentit à nouveau mal. Ce n’était peu être que psychologique, mais la douleur était aussi fort qu’avant. - C’est vrai que tu es tout blanc ! Je vais te donner quelque chose La mère sortit de la chambre et la tête du jeune homme se remplit de question. Comment cela se faisait-il qu’il n’avait plus eut mal. Il se recoucha et soupira. Le mal de tête n’allait apparemment pas passer rapidement. Il soupira de désespoir et un larme perla sur sa joue. A suivre |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Mar 7 Déc - 6:22 | |
| Emi marchait dans la ruelle. Il était cinq heur du soire et, comme l'hiver avait couvert le pays d’un manteau de neige, la nuit était tombé. Un vent froid venait en face d’elle et la neige, qui tombait encore du ciel, lui battait le visage. C’était pire que de nager à contre courant, pire qu’être sous la pluie battante, malgré tout Emi continuait. La jeune fille ne trouvait pas de raison de se battre contre ce froid, pour sa vie. Elle avançait quand même peu être simplement à la recherche d’une nouvelle raison de se battre, ou simplement pour avoir une mort plus digne, plus belle que celle que le froid lui présageait. Emi, énergique, battante, toujours joyeuse, au part avant n’était plus que l’ombre d’elle même. Elle ne se montrait pas, mais évidemment qu’elle était moins heureuse qu’avant. C’était quand elle était seul que c’était la plus dure ; c’est a ce moment qu’on souffre des critique des autres, qu’on a plus l’impression d’être important, d’avoir quelque chose de plus que certaines personnes pourraient reconnaître. Il arrivait souvent qu’elle eut passée des heures couchés dans le noir à pleurer. Elle se demandait qui elle était et pourquoi les gens la regarda toujours de cette manière. Elle déboucha au bout de la ruelle. Une voiture passa rapidement devant Emi faisant voler son manteau derrière elle. Encore une voiture qui passait sans la prendre, sans même la remarquer peu être que les passagers l’avait aperçu, mais comme un fantôme du passer, un esprit perdu dans la nuit. Une larme coula la long de la joue de la fille. Elle tourna et suivit le chemin de la voiture, peu être allait-il dans un lieu de bonheur. Elle commença à trembler tellement le froid été vigoureux, mais elle continuait, marcher et encore marcher seule. Elle avait l’impression de faire ça depuis bien trop longtemps, de bien trop long année. Soudain ses jambes la lâchèrent. Elle essaya de se relever, mais ses jambes ne voulaient plus. Elle resta donc coucher sur le tas de neige, sali par le sel et le passage de voiture. Ses jambes recommencèrent à bien bouger et elle se releva. Elle recommença à marcher. L’espoir encore plus mince qu’avant. Deux minutes plus tard, à peine trois mètre plus loin Emi s’effondra à nouveau. Ses genoux heurtèrent le sol gelé. Elle pleurait, elle avait mal. Ce n’était pas vraiment ces genoux qui la faisait souffrir, mais son cœur brisé. Elle aurait aimé pouvoir se blottir dans des bras et écouté le cœur d’une autre personne. Une voitures s’arrêta devant elle et la portière s’ouvrit. Quelqu’un lui souriait à l’interieur. Elle y rentra s’assit. Son sauveur, c’était peu être vous… ou un violeur, un tueur. |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Jeu 10 Fév - 8:14 | |
| Je me sens léger Passion du cœur La voie trouvés Je sais où je vais Je suis libéré LibertéTon cœur n’a jamais été lourd Tu ne le comprenais juste pas Maintenant ton cœur et ton esprit Sont en total harmonie La vie n’a pas de prix Bonheur
Le bleu de la mer Des rivières et des fleuves Si fluide, si doux Jamais ne sera terrible Parfois en colère Cirant pour sa liberté Parfois serin Réglant nos pupille BeautéLes menteurs, les tricheurs Ne me touche plus autant Car je sais que si ils font ça C’est que leur cœur n’est pas Plein de bonheur… Rancœur La vie n’est pas facile Les sourires ne s’attache Jamais longtemps Sur les lèvres Il faut en profité SourireMa liberté Vole dans une plume Un crayon, un stylo Un clavier Liberté Si tu sais qu’un jour tu oubliera Rien ne te restera Mais si tu compte toujours apprendre Dit toi que ce que tu oublie tu le retrouve Savoir Plénitude du cœur Plein de bonheur Ma voie est tracé Je n’ai plus qu’à marcher Liberté
Je ne suis pas ton maître Je n’ai pas de mettre Ton bonheur passera avant moi Le mien et fait du tien Ne pleure pas Je te sourirai ÉgalitéIl est vrai que je n'aime pas vraiment la poésie... Mais en lisant Ellana, la Marchombre, j'ai découvert une forme d'écriture qui m'a fasciné. Il n'y a pas vraiment de règle, Juste des mots à mettre sur ses pensés. Rien ne sert d'avoir de la culture Ecriture |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Mer 30 Mar - 7:06 | |
| Le silence d’une époque dans la peur. Une époque pourtant si bruyante. Des milliers de voix cris, des milliers d’enfants pleurent, des milliers de personnes qui parlent, parlent et parlent. Il y avait trop de son trop de bruit. Trop de langue. Une après une, elles se sont éteinte. Ses milliers de voix, de pleurs, de langues. Ils se sont tous éteints pour que le monde étreigne le silence. Ils ont tué les animaux, les plantes. Ils ont stoppé le vent, l’eau. Le silence devenait maître et riait sans bruit. Il se moquait de ses hommes qui détruisaient leur monde, pour le sien. De ses humains qui avaient battit un monde pour le faire exploser. Chaque chose à une place, chaque chose à sa place. Malgré tous les efforts du silence et des hommes, la terre continuait de se battre. Qui se serait laissé mourir sans se battre pour sa vie. Instinct de survie qui se trouve au fond de chacun d’entre nous. Instinct de survie qui venait de la terre. La terre se battait pour conserver son cœur, elle essayait de faire comprendre aux hommes qu’ils la tuaient, qu’ils se tuaient aussi. Les hommes n’écoutaient pas. Ils étaient trop prétentieux. Ils contrôlent leur vie, leur destin. C’est vrai, ils contrôlent tous ça, mais oublient qu’ils y sont liés. Empêche une rivière de couler avec un barrage. Ce qui est derrière le barrage sera inondé, se qui sera devant asséché. Mais un jour le barrage sera trop petit, alors, soit il débordera, soit tu devras l’agrandir. Le monde souffre, mais se bats pour sa vie. Le monde souffre et les humains n’ont pas envie de l’entendre, de le voir. La terre émet des millions de bruit pour luter contre le silence. Elle n'y arrivera pas sans vous. |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Mer 20 Avr - 23:39 | |
| Aaron Aaron n’avait jamais eu une tel sensation de solitude pareille. En faite, avant, il n’avait jamais été seul. Il soupira. Couché sur son lit, la fenêtre grande ouverte, le vent s’engouffrait dans sa chambre pour venir caresser sa peau. Il haïssait maintenant cette belle nuit, cette douce nuit. Il était seul, terriblement seul. Tout avait commencé un matin d’été, il devait retrouver sa petite amie du moment, mais au bout de dix minutes d’attentes quand son téléphone sonna, il ne put que lire : Je suis désolé, mais je n’ai pas le courage de rompre en face. Un de perdue dix de retrouvé. Cela fit un véritable électrochoc au jeune homme pour deux raisons : il aimait vraiment cette fille et que c’était la première fois qu’il se faisait jeter. Elle avait quelqu’un d’autre s’était évidemment, en tout cas pour Aaron. Il rentra chez lui et s’enferma dans sa chambre. Ses parents le croyaient parti pour la nuit chez sa copine, ne s’inquiétèrent pas. Le jeune homme souffrait. Il n’arriverait pas à dormir, à trouver le sommeil. Il ne voulait plus que ça arrêter de pense et tomber dans un sommeil profond, sans rêve, sans vie. Il s’endormit, il ne savait plus à quel heur, comment, après quelles sordides idées. A son réveil, il était parterre à coté de son lit, les joues encore humides. Il entendit la porte d’entrer se fermer : ses parents venaient de partir au travail. La garçon essaya de manger, mais deux bouchées de yogourt lui suffire : il n’avait pas faim, pas envie de vivre. Pourtant un mode automatique venait de s’enclencher. Personne ne devait voir, il était normal. Quelques SMS lui apprirent que tout le monde était au courant. Certains de ses amis lui donnaient rendez-vous l’après-midi. Il aspecta, il devait se changer les idées. La question était maintenant comment passée le temps ? L’après-midi arriva et on se moquait de lui. Qu’avait-il fait pour que tout le monde le haïsse tant maintenant. Oh non c’était bien trop dure ! Ce n’était pas possible, avait-il vraiment bien choisi ses amis ? Après trente minutes on lui avait envoyé un message disant : « bien fait pour ta gueule sale con ». Encore une fois il rentra chez lui, mais cette fois, il n’avait plus le cœur à rien. Il se coucha et resta là, sans bouger. La musique sonnait dans sa tête et c’était la seule chose qui y résonnait. Il ne voulait pas appartenir à se genre de personne. Terrible découverte que de se savoir en être une, il s’était moqué de beaucoup de personne avant et maintenant c’était son tour. Il souffrait et comprenait. De nouvelles larmes coulèrent sur ses joues. Il ne bougea pas de la journée, de la nuit, toujours la musique. Toujours ce couteau planté dans le cœur. Depuis combien de temps ceux qu’il avait cru ses amis préparaient leur coup ? Surement longtemps, il avait senti qu’ils lui cachaient quelque chose depuis longtemps. Un sanglot s’étrangla dans sa gorge. Il était stupide, non ils avaient surement fait ça sur le moment. Mais si ils étaient vraiment mèchent, qu’ils avaient prévu sa chute. Son esprit s’embrouillait à nouveau. Il n’arrivait pas à stopper cette ritournelle de questions, d’oppositions et de pensés morbides. Ses parents devaient dormir, il ne les avait pas entendus rentrer. Ses parents ne comprendraient pas. Il était sure d’entendre une phrase du style : « Tu n’as qu’à voir tes autres amis ! ». Ahah ses autres amis, il n’en avait plus. La nuit était belle, encore une belle nuit d’été. Il ne faisait pas froid, il ne faisait pas chaud. Quel malheur, il errait sans but, il évitait les groupes de personne qui marchait dans la rue. Il évitait les lieux où se retrouvait de nombreuse personne. Pendant cette errance, il l’a rencontra. Elle était belle, réconfortante. Oh oui, il tomba amoureux, il en était dépendant. Aaron l’aima dès qu’il la toucha. Il passa des nuits avec elle, elle le faisait rêver. Il lui racontait sa vie, se détendait grâce à elle. Elle était la plus attentionnée. A quoi bon avoir des bonnes notes ! A quoi bon les amis, elle était là pour lui. L’école ne lui amenait rien à part du malheur ; il l’a fuit. Sa famille essayait des les séparés ; il la fuit aussi. Il resta seul dans la rue, avec sa douce et belle. Ils marchaient ensemble dans les rues. Les gens prenaient peur en le voyant, en les voyants. Un matin, il se réveilla sur un banc. Elle n’était plus avec lui. Il se leva et paniqua. Il se sentait mal. Comment la retrouver sans argent, sans ami, sans famille. Il se mit à sa recherche. La nuit arriva et personne ne put l’a ramenée à lui. La nuit arriva et l’engloutit. Elle n’était plus là pour lui, il était mal. Il voulait vomir, mourir. Il s’assit sur un palier appuyant sa tête contre le mur. Il ferma les yeux, sans sa belle et douce, sans sa drogue. Personne ne lui avait tendu de seringue depuis vingt-quatre heures, personne n’avait voulu lui vendre de sa douce, sa belle drogue depuis vingt-quatre heures. Il avait de grandes cernes sous les yeux. Deux personnes passèrent et lui lancèrent un regard de pitié : il ne ressemblait plus à rien, ses vêtements étaient déchirés, tout comme son cœur. La porte derrière lui s’ouvrit. Une porte qui allait changer sa vie. Le jeune garçon qui venait de l’ouvrit, ne sortit pas en l’évitant. Après avoir vécut pareil enfer, il l’accueillit. Il lui ouvrit les yeux et recolla son cœur. Aaron ne mourut pas, mais ne chercha plus à retrouver cette belle, cette douce illusion qui se trouve souvent en pilule ou dans des seringues. Il n’était plus seul par cette douce et belle nuit. |
| | | L'ombre
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| Sujet: Re: Les petits textes de Az' Mar 5 Juil - 2:06 | |
| Je ne sus jamais comme j’étais arrivé là. J’y étais, c’était tout. Je m’étais retrouvé dans la brume. Celle qui fait qu’on ne voit pas plus loin que son nez et où on espère pas rencontrer quelqu’un.
Je frissonnais, l’humidité, la fraicheur, la densité de la brume donnait froid à en geler des os. Je en le savais pas et je n’en suis toujours pas sûr, mais cela devait être une porte vers une autre monde.
Quelque chose d’énorme passa en dessus de ma tête faisant siffler le vent, tellement la chose était rapide. Si c’était un oiseau, il était vraiment gigantesque. Il aurait fallut aligner une dixième d'albatros pour atteindre une telle envergure, et encore, il aurait fallut le double voir le triple pour en faire la longueur.
Le vent commençait à souffler et la brume se déplaçait. Le froid devenait plus intense, mais je commençais à mieux voir ce qui m’entourait.
Je n’étais plus dans les rues sombres et gris de ma petite cité. Je me trouvais près d’un étang, entouré de roseau. Il n’avait pas l’aire très profond, mais je préférais ne pas m’y aventurer.
Je commençais à marcher tranquilement le long de la rive quand, entre un bosquet et des roseaux, j’aperçus des enfants assis en plein milieux de l’eau. Un tout petit garçon, il devait avoir au alentour de cinq ans et une filet de dix ans. Leur habilles étaient mouillé, mais ils restaient assis, comme si il attendait quelque chose.
Je continuai de marcher pour trouver une endroit d’où je verrai mieux les enfants, j’aurai, alors, pu le demander dans quel partie de la planète j’étais, quel pays ?
Je trouva un point où la rive surplombait l’étang de quelques mètres et où il l’enfant n’était pas caché. Je ne voyais que le petit garçon, il tenait contre son cœur une tortue verte. Elle ne devait pas être déranger par le petit garçon puisqu’elle bougeait doucement. Je me permets de crier.
- Petit ! Dans quel pays somme nous ?
Il ne répondit pas, il leva juste la tête et sourit. Peut-être ne comprenait-il pas ma langue. Soudain, la tortue dans sa main, il fit un mouvement ample et lança l’animal.
- Les tortues peuvent voler !
Je ne compris pas. Que disait-il ? Pourquoi avait-il lancé la tortue ? Dans quel étrange endroit m’étais-je rendu ? Je me rendais compte que me retrouver près d’un étang m’avais paru normal, mais je n’avais pas du marché plus de dix minutes et il n’y avait pas d’étang si près de la ville. J’étais totalement perdu.
Mon regard allait se perdre quand je remarqua que le tortue n’avait fait aucun bruit en tombant dans l’eau. Je balayai la surface de l’eau de mes yeux, mais ne la vis pas. Elle avait disparut, mais aucune trace d'impacte sur l’eau, aucune vague. Où l’animal était-il passé ? Soudain sortit des roseaux la tortue, mais elle n’était pas dans l’eau et juste l’eau qui sortait. Son corps entier flottait en dessus de la surface de l’eau. Elle volait. Je n’en croyais pas mes yeux. C’était simplement incroyable.
Elle voletait naturellement, le petit garçon rigolait tandis que deux autres tortues sortaient de l’eau pour s’envoler à leur tour. J’éclatai de rire. C’était complètement fou ! J’allais bien rencontré le chapelier fou et le lièvre de Mars.
Enfin c’est ce que je croyais, mais je n’étais pas dans le monde merveille d’Alice. J’étais simplement là, au bords d’un étang à regarder des tortues volés. Peut-être que je rêvais, peut-être que le monde avait changé.
J’entendis à nouveau un sifflement des immenses tortues volantes passaient au dessus de ma tête, un groupe d’une centaine d'individus, elle volait toute rapidement, comme emporté par un courant.
A partir de là, je ne me souvins de rien… On m’a retrouvé deux ans plus tard devant ma maison, comme si je n’avais jamais disparu, comme si j’avais simplement oublié de vivre pendant deux ans. |
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