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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Auriez vous peur?

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L'ombre

L'ombre
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Auriez vous peur? _
MessageSujet: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyMar 14 Juil - 7:31

Auriez-vous peur ?
Auriez vous peur? Peur10
Voila un petit fiction que j'écris avec Alicia et Nema

Un mystérieux tueur habillé d'un ciré jaune et transportant les corps des ses victimes dans un petit chariot. Deux personnes l'ont vu, toucher et blesser. Le hasard les fait se rencontrer. Découvriront-ils qui est le tueur?


Le jeune homme, âgé de 26 ans, blond au yeux vert-gris, nommé Azure, marcherait dans la rue. Le soleil s’était couché depuis plusieurs heurs. Les lampadaires de la petite cité était allumé et créait un atmosphérique lugubre. Azure marchait de plus en plus vite. De scénario horrible lui traversait l’esprit.

oh non ! Un croisement. Aller on accélère si je passe vite mon assaillant ne pourra pas m’attaquer par surprise.

C’est se genre de pensé qui hantait le jeune homme le soir quand il sortait seul.

- Mais quel idée j’ai eu moi de sortir seul pour aller au ciné à 20h00. Je savais bien pourtant que sa allait finir à 23h30

Grommela Azure pour lui même. En enlevant ses chaussures et rentrant dans son appartement.

La vive lumière des ses lampes le rassura. Il se coucha sur son canapé et alluma la télévision. Se fut l’heur des nouvelle régional de 00h00. Le présentateur y parlait de guerre et des différent problème habituel du monde, puis vers la fin il annonça un meurtre à la Sagne,, petit village qui s’étala sur un kilomètre le long d’une route, on y trouvait que des vaches et des fermiers. Le tueur était toujours en fuite. Le nouvelle glaça le sang du blond qui alla tout de suite fermé la porte de son appartement à clé. Il vérifia si les fenêtre était bien fermer et il alla se coucher.

Un bruit de chariots roulant sur le trottoir mouiller, le réveilla. Il se leva et regarda par la fenêtre grande ouverte de sa chambre. Il vit un homme passé sous un lampadaire, il était vêtue d’un imperméable et il tirai quelque chose. Le jeune homme recula d’un pas et regarda l’heur. Il était 3h00 du matin. Il revint à sa fenêtre et vit l’homme au ciré le regardant droit dans le yeux presque à l’ombre de la lumière du lampadaire. Il tirait quelque chose qui était éclairé par la lumière cette fois : C’était un petit chariot portant deux morts ensanglantés, poignardé.

Le vision d’un telle chose fit vacillé. Son caleçon glissa. Il se prit le pied dedans et tomba au sol. Un détail lui revint à l’esprit : Il avait fermé toute les fenêtre de l’appartement avant de se couché. Alors que quand il s’était levé, elle était ouverte. Azure se releva paniqué. L’odeur du sang venant de la rue lui montait à le tête. Il ferma la fenêtre, malgré l’étrange homme qui regardait toujours fixement le fenêtre.

Quand il alluma la lampe de sa chambre, il regagna son calme. Il commença par fouiller son 2 pièce. Personne ! Le calme revint en lui et il eut même le courage de regardé par le fenêtre de sa chambre. L’homme n’était plus là, mais les deux corps oui . Azure appela la police.

Quand les policiers arrivèrent, ils ne trouvèrent aucun corps. Juste des traces de sang s’étalant sur plusieurs mètre. Les trace commençaient du l’endroit au Azure avait vu l’homme au haut de le rue ou elle disparaissait comme par magie.

- C’est pas possible… pas possible ! je vous dit que je l’ai vu !
- Monsieur. Calmez vous. Nous vous croyions. Il faut que vous nous fassez une description précise des cette homme.

- Il… il avait un calvitie et des cheveux boucler sur le coté assez long. Il était de taille moyenne et il postait un imperméable dont je n’arrivais pas a distinguer la couleur. Je suis sur qu’il m’a vu. Il m’a vu ! Il va venir me tuer.

- Monsieur ! Calmez vous ! L’on va placer un de nos hommes devant la maison.


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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyMer 22 Juil - 1:20

Auriez-vous peur?

Chapitre 2

Auriez vous peur? Bannie10




Alexa

La nuit était glaciale. Un vent froid soufflait dans les rues, faisant grincer volets et enseignes. Il faisait si sombre que même la lumière des lampadaires ne parvenait pas à transpercer cette chape de ténèbres.
Fait naturel ou mystérieux, la lune ainsi que les étoiles étaient invisibles. Il ne restait qu'un océan de sang noir, coulé d'une des plaies du monde.

Alexa frissonna lorsqu'une bourrasque souleva son manteau. Elle croisa les bras pour essayer de se réchauffer et hâta le pas, éspérant rentrer vite à la maison. Ses pas claquaient sur le macadam et résonnaient dans toute la rue. Jamais elle n'avait vu cette voie si déserte, et pourtant elle y passait tous les soirs. Elle arriva à un croisement et s'arreta. Si elle prenait à gauche, elle arriverait plus vite chez elle, mais cette ruelle sombre lui faisait peur.

D'habitude elle l'aurait pris sans hésiter, mais ce soir-là il régnait une atmosphère étrange dans la ville déserte, et Alexa n'était pas rassurée. La rue de droite était large et éclairée, mais si elle passait par là elle perdrait beucoup de temps. Finalement, c'est le froid qui parvint à la décider de prendre la plus courte. Elle s'enfonça dans le noir en grelottant tant la nuit se faisait oppressante et glaciale.Elle marcha. Encore et encore. De temps en temps, elle distinguait des formes dans la ruelle. Elle s'efforçait de regarder droit devant elle, vers la lumière de son quartier.

Soudain, un bruissement derrière elle. Elle s'arrêta, n'osant plus bouger, plus respirer. Nouveau bruissement. Du coin de l'œil elle vit une chose bouger derrière elle. Se rapprocher. Lentement. Pas à pas. Il y avait un autre bruit aussi. Un roulement. Un grincement. La chose tirait quelque chose derrière elle. Quelque chose qui roulait. Un long filet de sueur froide lui coula entre les omoplates.

Elle se rendit soudain compte que ses poumons étaient au bord de l'explosion. Mais elle avait l'impression que si elle respirait elle serait morte. Sa main, dans sa poche, touchait un objet dur. Son canif! Le couteau était là, aiguisé et mortel. Elle expira.

Puis inspira. Une odeur de sang lui vint aux narines, elle crut défaillir. La créature s'arrêta. Elle entendit un chuintement annonciateur. Elle se retourna et d'un geste vif brandit son couteau. Une grande ombre lui faisait face, mais elle ne voyait rien d'autre. Un courant d'air vint lui annoncer que la créature avait bougé.

Elle, ne bougea pas. Elle sentit son couteau qui rentrait dans quelque chose de mou. De la chair. Elle entendit un bruit sourd. Partit en courant. Elle arriva chez elle et ferma la porte à clef. S'adossant contre cette dernière, elle se laissa glisser, haletante, jusqu'à terre. Assise dans sa cuisine, elle fondit en larmes.

Plus tard, la jeune fille se leva et composa le numéro de la police. Elle sentait encore l'odeur de sang. Qu'est-ce qui était dans cette ruelle? Quoi ou...qui?

-Allo service de la police?

-Bonjour...je me suis fait agressé dans une ruelle enfin... quelque chose m'a suivi...j'avais mon couteau...l'odeur du sang...blessé...odeur de mort...

-Mademoiselle où êtes-vous?

-Chez moi. Me suis enfuie...

-Comment vous appellez-vous?

-Alexa...Alexa Ducommun

-Très bien mademoiselle Ducommun.

-Pouvez vous nous communiquer votre adresse?

L'interrogatoire se poursuivit ainsi. La jeune fille se sentait lasse. La police arriva peu après et lui posèreneux aussi des questions. Elle leur raconta ce qui s'était passé. Un petit groupe de policier alla explorer la ruelle pendant que ceux qui restaient consignaient les faits par écrit. L'expedition revint.

-Chef, nous sommes allé voir, il n'y a personne dans cette rue.

-mais ce n'est pas possible!!! Je sais ce que j'ai vu! Je vous jure, monsieur
que c'est vrai! Je vous jure!

-Ne vous inquiétez pas, nous vous croyons mademoiselle Ducommun.

-Chef! nous avons trouver du sang ainsi qu'un petit couteau et...ceci.

Quand Alexa vit ce que le policier montrait, elle eut un haut-le-cœur. Il tenait une main. Une main tranchée de laquelle gouttait du sang. La main flétrie possédait de longs ongles jaunes et une peau toute ridée, comme si l'homme à qui elle appartenait était vieux. Mais c'était une main humaine, il n'y avait pas de doute. La main qu'elle avait tranché avec son couteau. La jeune fille courut aux toilettes pour vomir tandis que les policiers analysaient le sang prélevés sur le sol. Quand Alexa revint, elle fut accueillie par cette odeur de sang qui, à nouveau, lui souleva le cœur. S'appuyant sur un meuble de cuisine elle écouta le policier qui lui résumait les faits.

-Nous avons trouvé trois sortes de sang. Le sang de cette main, et donc de votre agresseur, ainsi que le sang de deux autres personnes.

-Comment cela? Vous voulez dire...que nous étions quatre dans cette ruelle?

-En effet. Mais ces deux personnes étaient mortes depuis plusieurs heures quand vous vous êtes rencontrés.

La jeune fille se souvint de ce bruit de roues, et de cette odeur de sang...Des cadavres étaient là, tout près d'elle...
Elle se sentit défaillir et elle vomit à nouveau. Elle se fit emmener à l'hôpital où elle passerait la nuit.


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L'ombre

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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyMer 22 Juil - 6:07

Chapitre 3

Auriez vous peur? Dead_b10


Azure dormait paisiblement la présence du policier le rassurant. Le vent soufflait à travers la fenêtre se qui soulevait les rideaux. Soudain le jeune homme se réveilla un sursaut. Un bruit de pas dans la rue en dessus de chez lui et le bruit de roues. Il se leva et regarda par la fenêtre. Se qu’il y vit lui glaça le sang : le petit chariot poser à la même place que la nuit d’avant. Mais cette fois, il était vide et l’homme au ciré ne le tenait pas. Le téléphone…il lui fallait son téléphone portable. Azure se mis à le rechercher frénétiquement. Il retourna toute sa chambre. Il commença à chercher dans le couloir, quand il entendit un bruit étouffé derrière la porte d’enter. Azure ne bougea plus.

Il y eut quelque minute de silence. Puis quelqu’un monta les escalier. La sonnette de la voisine du dessus chanta et bruit de coups de feu éclata. Le silence revint, encore plus pesant qu’avant. Le jeune homme ne bougea pas d’un poile écoutant le moindre bruit. Un heur ou peu être deux minutes s’écoulèrent. Azure entendit quelqu’un descendre les escaliers.

Le jeune homme s’approcha de la porte et marcha sur quelque chose qui fit un petit bruit électrique-

- "camenber" mon natel*

Il continua d’avancer vers la porte et souleva le petit rideau qui cachait la fenêtre de la porte. Une trace de sang s’étalait dessus. Azure eut un haut le cœur. Il fit demi-tour et alla chercher un gros couteau de cuisine. Ensuite il ouvrit la porte et sortit. Le moindre bruit le faisait sursauter.

Il monta à l’étage pour téléphoné depuis chez la voisine. Le porte de la voisine du dessus était grande ouverte. Azure entra dans l’appartement. Quelqu’un prenait une douche. Il s’approcha la porte de la salle de bain était aussi ouverte et un nuage de vapeur s’échappait de la salle. Prudemment, il entra dans la salle la voisine était morte, nu dans sa baignoire. L’eau tombant toujours du pommeau de douche et la sang de la voisine partait par les canalisations.

- "camenber". ! "camenber".

Azure se retrouva le copain de la voisine pendu derrière la porte. Il étouffa un cris. Si le tueur était encore là, il devait se taire. Il monta à l’étage du dessus, le vielle dame y était aussi morte.

Azure paniqua. Il sortit de l’immeuble remplis de mort et entra dans la maison voisine à la sien. Il sonna chez un jeune femme, Alexa Ducommun, selon le nom sous la sonnette. Elle ouvrit très vite. Il s’engouffra l’appartement sans qu’elle l’en invite. Elle ferma la porte à clé et dit :

- Qui êtes vous?

- Azure Lamarre. Aidez moi ! tout les habitant de ma maison, celle juste à coter, ont été tués. Il faut téléphoner à la police. C’est l’homme au ciré et au chariot.

- L’homme au ciré et au chariot ?!

Murmura la jeune femme commençant à craindre

- Oui. Il m’a vu hier quand je regardais depuis ma fenê…

Azure se souvint soudain, le chariot dans la rue. Il se précipita à la fenêtre et vit l’homme au ciré mettre les corps des ses voisins et du policier dans le chariot. Alexa prit le téléphone et appela en toute hâte à la police.

- Bonjours police cantonal* quel est votre nom et le motif de votre appel.

Dit une voix féminine sur un ton blaser.

- Je suis Alexa Ducommun et je vous téléphone pour vous dire qu’il est revenu ! L’homme à qui j’ai coupé la main, l’homme au chariot.

*natel = téléphone portable
cantonal = départemental pour la France alors que cantonal est pour la Suisse


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MessageSujet: Auriez-vous peur? chapitre 4 Auriez vous peur? EmptyMer 22 Juil - 11:05

Auriez vous peur? Wutuv2ka



Alexa


-Calmez-vous mademoiselle...Comment avez-vous dit que vous vous appeliez? Demanda la policière d'une voie endormie.

Comme ce n'était pas un fait qu'on oubliait facilement et comme il ne s'était écoulé que deux jours entre son agression et celle-ci, Alexa doutait qu'elle ne se rappelle pas d'elle. Elle déclina tout de même son identité d'un ton empressé:

-Alexa Ducommun. Et dépêchez-vous! Ce sont des meurtres tout de même!

-Des meurtres...intéressant... Alexa entendit le bruit d'un stylo grattant sur du papier. Intéressant? Elle trouvait ça intéressant???? Alexa était furieuse. Elle prit le combiné à deux mains et hurla de toute la force de ses poumons:

-CE N'EST PAS INTÉRESSANT DU TOUT! C'EST HORRIBLE! CE SONT DES MEURTRES! ON S'EN FOUT DE MON NOM! JE VOUS DONNE L'ADRESSE ET VOUS VENEZ, POINT BARRE!

Elle vit que le jeune homme qui venait d'entrer la regardait d'un air terrifié sans qu'elle sache si c'étaient les visions d'horreur qu'il avait eu quelques secondes auparavant, ou si il était choqué de la voir crier autant fort. Gênée, elle décida de ne plus s'énerver contre cette ******** de standardiste de bas étages!

-Mademoiselle, gardez votre calme. Ceci est la procédure habituelle! Donc...(nouveau grattement de stylo) vous dites vous appelez Alicia Ducommun et appeler pour un meurtre? vous etes bien sûr que vous avez vu un mort?

-Mais puisque je vous le dis! Enfin... non pas vraiment en fait...C'est un voisin qui...

-Mademoiselle Ducommun, si vous ne pouvez pas certifié que vous avez vu les corps, je ne peux rien faire pour vous.

-Mais puisque je vous dis que c'est mon voisin qui les a vus..

-Alors c'est votre voisin qui doit appeler, désolée.. au revoir!

Et elle raccrocha. Elle raccrocha!!! Alexa était sidérée. Elle recomposa le numéro en espérant tomber sur le policier qui était venue chez elle la dernière fois. Il était sergent, et lui au moins il l'écouterait.

-Encore vous! S'exclama-t'elle en entendant la voix de la policière qui se disait exactement la même chose de son côté.

-Pourrais-je parler à votre supérieur, le sergent Carlino?

-Le sergent Carlino est sous mes ordres. Je suis la supérieure.

Son ton s'était fait encore plus froid, si c'était possible.

Alexa, ne sachant plus quoi répondre, restait debout en silence, le téléphone toujours plaqué contre son oreille.

-Mademoiselle? Mademoiselle vous êtes toujours là?

Alexa finit par choisir la fuite. Elle tendit le téléphone à son voisin sans un mot et sortit de la pièce pour faire du thé, sous le regard ébahi de son voisin. Depuis la cuisine, elle entendait Azure - il se présenta à la polices sous ce nom là, Azure Lamarre - faire sa déposition dans le plus grand calme. Elle eut honte de sa conduite, et se demanda si elle oserait revenir dans le salon. Elle se rappela soudain qu'elle était censé faire du thé. Elle mit donc à bouillir de l'eau pendant qu'elle réfléchissait à cette histoire. Il l'avait vu, lui aussi. Elle se demanda dans quelles circonstances. Ils étaient voisins. Ce n'était pas une coïncidence si le tueur les avait attaquer dans le même quartier. Elle frissona. S'approchant de la fenêtre, elle vit un homme de grande taille, portant un ciré jaune, s'éloigner en tirant quelque chose derrière lui. Sûrement cette charrette. Et dessus il y avait... ils étaient déjà trop éloignés, mais Alexa aperçut quand même un amas couleur chair posé sur ce chariot. Un amas sanguinolent, qui laissait de longues traces tout le long de la route. Se sentant mal, elle se retourna et aperçut un mot, déposé sur la cuisinière. Un mot qu'elle n'avait pas aperçu auparavant. Une simple feuille de papier. Pliée. Quelqu'un s'était introduit chez elle. En sa présence. Elle n'osait plus faire un pas, terrifiée, elle observait le billet avec horreur. Soudain, un bruit la fit sursauter, mais ce n'était que que la sonnette de la porte d'entrée. Elle entendit le sergent Carlino entrer et sa voix rassurante lui parvint aux oreilles. Comme le thé était prêt, elle mit tout sur un plateau et l'emmena au salon, non sans avoir auparavant glisser le billet dans sa poche.
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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyJeu 23 Juil - 0:51

Chapitre 5

Auriez vous peur? 4a348510


Le sergent Carlino rassura les deux personnes. Il leur expliqua qu’ils allaient être loger dans un apparemment sécurisé et inconnu du tueur. Azure dut retourner dans son appartement prendre quelque affaire. En rentrant chez lui Azure eut des frissons, toute ses affaires étaient parterre. Il fit un pas et remarcha sur son téléphone. Il se dirigea lentement vers la cuisine accompagné des deux agents aussi musclé que des taureaux.

Quand il entra dans la cuisine, il s’arrêta net. La table avait deux de ses quarte pieds cassé, toute la vaisselle était éclaté au sol. La plus part des buffets avaient leur porte ouvert. Certaine ne tenait plus qu’à un gong. Mais ce qui avait surprit le jeune homme, c’était que sur le mur sans fenêtre, il y avait marqué avec du sang : Je te tuerai.

Azure resta là, paralyser par l’effroi. Quelqu’un lui posa sa main sur son épaule. Le jeune homme sursauta et il sentit tout ses poils se dressés.

- du calme, petit.

Ce n’était que le sergent Carlino.

- Je viens je vous dire qu’il faut vous dépêcher. Le curieux de cartier commence d’arriver et si on veux vous faire partir sans être vu il faut se dépêcher.

Azure se reprit et alla chercher un sac et des habilles dans sa chambre. Il prit aussi son natel malgré le faite qu’il sois hors servis. Il retourna dans la cuisine et alla chercher un petit carnet dans un des tiroirs. Il ferma le tiroir et resta là quelque seconde, il venait de remarquer quelque chose.

- Monsieur. Il n’y a plus un seul couteau ! Pourtant j’en avait une dizaine.

- Mhhh étrange….

Azure quelque peu surprit par la réponse du sergent. Il prit son ordinateur portable caché dans un tiroir à double fonds et fut prêt à partire. Il passèrent par dessus la barrière qui séparait la maison d’Alexa et de celle d’Azure pour ne pas être vu. Ils retournèrent dans l‘appartement d’Alexa où celle ci attendait. Ils sortirent de la maison. Un Min-Vane attendait devant la sortit. Les deux voisins s’engouffrèrent à l’intérieur. La voiture démarra et partit vers l’est de la ville.

Le début du voyage se fit dans le silence. Azure et Alexa se lançaient des regards inquiet. A mi-chemin la conductrice, une policière un civile, décida de rompre le silence.

- Bonjours, je suis l’agent Scheider. Je serai votre seul lien avec le monde extérieur pour les deux semaines qui viennent. Après se temps vous devriez avoir le droit de sortir dans la maison. Avant sa je viendrai tout les matins vous apportez le journal et votre nourriture et tout autre chose qui pourrons vous être utile. Il vous faudra me faire une liste de se dont vous avez besoin. Les voisins pensent que c’est un vielle dame qui n’arrive plus à sortir qui habite là et ils croient que je suis sont infirmière à domicile . Vous ne devrez ouvrire à personne sauf à moi. Vos nouveaux voisins en dédiront que la vielle dame faisait sa sieste. Des questions ?

Ils firent tout les deux non de la tête.

- ah et j’allais oublié. Pas le droit de soulever les rideaux transparents qui sont devant les fenêtres, n’y d’ouvrire celle ci. Vous devez disparaître du monde.
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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyJeu 23 Juil - 4:47

Auriez vous peur? Auriezvouspeurchapitre6



Dylan

Emilie et Dylan sortirent du jardin par une après-midi ensoleillée. Ils décidèrent de marcher jusqu'au parc où leurs parents les emmenaient souvent. Se tenant par la main, les deux enfants sautillaient le long du trottoir en chantant une comptine. Emilie, une petite fille blonde qui faisait craquer tout le monde, était agée de 6 ans. Déjà rebelle, c'est elle qui avait persuadé à Dylan de s'enfuir.

Récitent, le garçon d'un an son ainé avait hésité avant de la suivre. Il pensait à leus parents qui devaient les chercher. A son grand frère Pierre, qui l'embêtait tout le temps. A son petit frère Lucas qui n'avait que deux ans, et à son chien Popi. Mais Emilie était sa meilleure amie, et il avait envie lui aussi d'aller au parc pour faire de la balançoire. Les deux enfants jouèrent jusqu'au soir. Dylan poussa Emilie sur la balançoire si haut qu'elle avait failli s'envoler. Ils avaient fait le plus grand château de sable au monde!

A la tombée de la nuit, alors que les parents quittaient la place en traînant derrière eux leurs enfants récalcitrants, Emilie prit la main de Dylan et lui dit:

-Dylan, tu es mon meilleur ami, et je voudrais qu'on fasse un pacte.

-Un pacte? Tu veux dire mélanger notre sang?

La fillette éclata d'un rire cristallin. Le plus beau rire du monde, se dit Dylan.

-Mais non nigaud! Je veux dire qu'on se promette que quoi qu'il arrive on sera toujours amis.

-D'accord.

-Bon alors fais comme moi.

Emilie se redressa et leva la main à hauteur d'épaules.

-Mes ta main contre la mienne. Ordonna la petite fille avec un sérieux magistral.

Dylan leva la main et la posa contre la sienne. Les deux enfants, yeux dans les yeux récitèrent chacun leur tour la promesse qu'il s'était faite.

-Je promet que tu seras toujours ma meilleure amie, et que je ne t'oublierai jamais.

-Je promet que tu seras toujours mon meilleure ami et que je ne t'oublierai jamais, même si tu es bête des fois.

Le garçon fit mine de se fâcher et la fillette partit en courant , poursuivie par Dylan ; ils riaient tous deux aux éclats, et leurs rires résonna encore longtemps dans la nuit.



George

Georges faisait les cent pas dans la cuisine. Il se sentait impuissant. Inutile. En colère. Et désespéré. Son garçon! Son fils ! Son Dylan avait disparu! C'était de sa faute. S'il avait été un peu plus attentif il les aurait vu s'éclipser...

-Calme-toi George, ça va aller, tu vas voir. Michael va les retrouver.

-Michael va les retrouver, hein? Et s'il ne les retrouve pas? J'aurais du aller avec lui. j'aurais du! A la place je lui ai dit qu'il s'inquiétait pour rien, qu'ils allaient rentrer touts seuls. Ah quel mauvais père je fais. Imagine qu'un détraqué les ait kidnappé! Mais toi, tu es calme! Tu n'en as rien à faire ou quoi? C'est ton fils!

C'est alors qu'il vit que sa femme, avachie sur une chaise pleurait.
Il lui entoura les épaules de son bras et la réconforta. Quand il ne sut plus quoi dire, il s'assit à ses côtés et, ensemble, dans le silence de la cuisine, ils se battirent. Pour la petite lueur d'espoir qui les faisait vivre. Ils se battirent de toute leur force contre le désespoir qui les assaillait. Soudain, une sonnerie stridente retentit, les faisant sursauter. George prit son portable et ouvrit le message. Il était de Michael.

"On l'a retrouvé"

Retrouvé? Retrouvé!

-Chérie!!! Ils l'ont retrouvé! Ils ont retrouvé Dylan!!

Ils demandèrent par message à leurs amis leur position, pour qu'ils puissent venir. Ils se trouvaient devant l'église de St-Martin. Les parents s'habillèrent en vitesse et coururent sous la pluie jusqu'au bâtiment.Quand ils arrivèrent, ils virent une ambulance, et une vingtaine d'hommes autour. George sentit un étau glacé lui enserré la poitrine. Il courut jusqu'à l'ambulance et demanda à voir son enfant. L'homme le regarda avec des yeux ronds.

-Vous vous foutez de moi? Vous ne pouvez pas être son père...

-Qu'est-ce qui vous faut? Son carnet de naissance? Je veux voir mon fils!

-Mais monsieur, c'est une fille que nous avons trouvé...Le garçon qui l'accompagnait est toujours porté disparu.

-Non...c'est impossible...mon fils...non...vous me mentez! Je ne vous croie pas!

Il écarta l'homme violemment et monta dans l'ambulance. Dans le lit, couchée, Emilie était entourée de ses deux parents. Bien qu'il ne puisse voir que son visage, George vit qu'elle était gravement blessée. Elle respirait à l'aide d'un masque et plusieurs tuyaux ressortaient de sous la couverture. Il s'approcha doucement et mit la main sur l'épaule de Michael, qui regardait sa fille avec dans les yeux un mélange de soulagement et de peur.

-Je...suis...désolée...Murmura la fillette avec peine.

-Ne parle pas, ma chérie, dort.

-Je suis...désolée...d'avoir...tué...Dylan!


*


La chaleur du bureau était étouffante. Le sergent se remuait sur son siège, mal à l'aise. Il glissa son index dans son col de chemise et tira dessus avec l'espoir vain que ce geste lui apporterait une bouffé d'air frais. Il devait être au moins deux heures du matin. il avait été réveillé en pleine nuit pour cette histoire et maintenant Mme Zucher le faisait attendre. Il était épuisé et quelques heures de sommeil en plus ne lui auraient pas fait de mal.

-Carlino!

Le sergent, qui piquait du nez sur sa chaise, n'avait pas entendu sa supérieur entrer.

-heu, oui...Madame Zucher! quel plaisir de vous voir! J'espère que l'affaire avance bien?!

-Épargnez-moi vos simagrées, Carlino et écoutez-moi! Dit-elle d'un ton coupant. Savez-vous de quoi il s'agit?

-C'est à propos de l'affaire des deux enfants je présume, ironisa Carlino.

Malheureusement, l'ironie est une chose fort déconseillée face à cette femme, ce que le sergent savait fort bien. Il ne l'aurait sans doute pas fait s'il avait été dans son état normal, mais la fatigue lui faisait commettre des imprudences. Froide et sévère, la quincagénaire le toisa d'un regard hautain et incendiaire mais sembla trouver qu'il ne valait pas la peine qu'elle s'énerve contre lui, car elle reprit bientot.

-Bon. Apparemment le garçon, nommé Dylan, et la fille, Emilie, auraient échappé à la surveillance de leurs parents pour aller jouer dans le parc. Ils se seraient fait attaquer et le garçon serait mort. La fille a reussi à s'enfuir mais est actuellement à l'hôpital pour blessures graves.

-Excusez-moi...Tenta timidement le sergent Carlino, mais les parents, me semble-t-il, auraient racontés que leur fille avait déclaré avoir tué elle-meme le garçon...

La supérieure le regardait d'un air bizarre. L'homme se torilla sur sa chaise, plus mal à l'aise que jamais, attendant une réponse.

-Ainsi vous menez votre propre enquête sans m'en avertir, carlino. Susurra-t-elle d'une voix doucereuse. Avez-vous pensé une seule seconde, dit-elle en haussant le ton, QUE CES DONNES PUISSENT ETRE IMPORTANTES POUR L'ENQUÊTE? Y AVEZ-VOUS PENSE? OU PEUT-ETRE QUE VOUS VOULIEZ LE GARDER POUR VOUS, RESOUDRE L'ENQUETE TOUT SEUL ET AVOIR TOUTE LA GLOIRE POUR VOUS SEUL? VOUS ETES SOUS MES ORDRES, CARLINO! ET JE NE PEUX TOLERER UN TEL IRRESPECT POUR LES REGLES DANS MON EQUIPE! ALORS VOUS AVEZ INTERET A ME DIRE PORQUOI VOUS M'AVEZ CACHE CES DONNES!

-Je ne les ai pas cachés...En fait je l'ai lu dans le rapport de l'enquête! Déclara-t-il d'un ton surpris.

-Le rapport? Je la'i lu! Et je peux vous assurer que...

Elle se tut soudain et décrocha son téléphone de bureau. Elle demanda au secrétaire de lui apporter le rapport pui raccrocha. Dans la touffeur silencieuse de la petite pièce, le temps parut inteminable au sergent qui, face à face avec Mme Zucher n'osait plus prononcer un mot. Le rapport arriva enfin et La policière fut bien obligée de constater qu'elle n'y avait pas fait attention.

-Bon, alors c'est simple! La fillette a tué son ami! C'était un accident! Allons nous coucher à présent.

-Mais madame! Dit le policier outré. La fille était en état de choc quand elle a dit ça! Nous n'avons aucune preuve concernant la veracité de ses propos!

-Peut-être. Mais elle a avoué et cela fait pour moi une preuve suffisante pour le tribunal. Homicide involontaire. Déclara-t-elle sur un ton irrévocable. A présent, allez-vous couché. Je vous donne congé pour la journée qui vient. Un peu de repos en plus ne vous fera pas de mal. Si vous voulez bien m'excuser...

Elle se leva, prit son manteau et se dirigea vers la porte.

-Mais...essaya de protester le sergent, l'air misérable.

-Bonne nuit Carlino!

La porte du bureau se referma sur elle et le sergent n'eut d'autre choix que de rentrer chez lui pour se coucher, l'esprit torturé.



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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptySam 29 Aoû - 6:57

Chapitre 7
Auriez vous peur? Blood10


L’homme marchait dans la ruelle. La nuit venait de tombé. Le bruit des ses pas résonnait sur la bitume, puis se brisait sur les murs en béton des maisons. Soudain, il s’arrêta, une odeur qu’il connaissait bien, qu’il aimait, qui l’attirait flottait dans l’aire, une odeur toute fraîche. L’homme continua son chemin en accélérant. Des rires d’enfants vinrent amplifier son envie. Une sensation de plaisir parcoura tout son corps : Il allait pouvoir s’amuser. Il se rapprochait de plus en plus ; l’odeur était plus prenante et les rire plus distinct. Ah se qu’il aimait sa !

Il sortit de la ruelle, traversa le boulevards Saint-Martin et pénétra dans le parc devant l’église du même nom du boulevard.

La, tout prés de lui, deux enfants jouaient à la lumière d’un lampadaire. Leur odeur le fit frémir. Il se cacha dans les fourrés. Il caressa le sol d’une main tout en fixant le garçon et la fille. Sa main buta contre quelque chose, il baissa les yeux pour voir se que s’était : un bâton, assez grand et solide. Un sourire sadique n’acquît sur ses joues. Il prit le bout de bois et courut jusqu’aux enfants,

C’étaient trop simple, des proies simples et sans défense. Il les assomma tout les deux. Il attacha le garçonnet à un arbre. Puis il attacha ses avant-bras avec ceux de la petite fille. Il sortit son couteau de sa poche et le mit dans la main de sa captive. Le garçon se réveilla peu de temps avant, il n’avait pas du tapé assez fort. Le petit essaya de crier mais la scotch qu’il avait sur le bouche l’en empêcha. Le fillette se réveilla un quart d’heur plus tard, elle essaya de se débattre, mais l’homme était trop fort elle n’arriva à rien. Elle avait une blessure au front et un filet de sang en coulait.

L’homme lui susurra d’ouvrire le couteau. Elle refusa et reçut un coups de genou dans le dos. Elle dut se plier à ses ordres. Il la força à planter la lame dans le ventre du jeune garçon à la hauteur du nombril. Dylan, la garçonnet, gémit de douleur. Le tueur, lui, gémit de plaisir. Le fillette se mit à pleuré tendit que l’homme faisait remonté le bras de la petite qui tenait toujours le couteau. Se qui ouvrit le ventre de Dylan qui se tordit de douleur. Tandis que le sang tachait la chemise et le pantalon du garçonnet. L’homme agrippa le bras de la fillette qui était très faible et s’appuyait sur les bras de son agresseur, et le tira contre lui se qui fit sortit le couteau du corps de Dylan qui était inconscient. Il leva le bras de la fillette et le laissa un suspend un petit moment, histoire de faire duré le plaisir et aussi violemment qu’il les avait assommé, il força la petite à planter la lame dans le cœur de son ami. Le cops du petit se tordit un moment avant de s’immobiliser: mort.

C’est à se moment, qu’une lumière de phare éclaira le par et des cris retentirent. C’était des proies trop facile, il aurait du s’en douté. Mais son envie avait été tellement grande.

Il frappa la petite et se détacha d’elle. Elle était inconsciente comme le petit corps qui pendait lamentablement au tronc de l’arbre.

Il la traîna jusqu’à l’église où il se rendit compte qu’il ne pouvait pas s’en sortirent un emportant la fillette. Il la laissa tombé sur les marches de marbre du bâtiment saint et partit en courant. Heureusement qu’il avait mis ses gants.

On ne pourrai pas le retrouver. Il aura juste perdu deux trophées à ajouter à sa collection. Il les remplacera tout simplement par Azure et Alexia. Eux il devait les tuer. Il était trop dangereux. Il faudrait juste les retrouver. Chose sûrement par compliqué à faire pour un agent de police.


Dernière édition par Roniron Weasley le Dim 30 Aoû - 8:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Chapitre 8 Auriez vous peur? EmptyDim 30 Aoû - 4:05

Auriez vous peur? Horrorwriterslogobysmor

Alexa

Quand la berline s'arrêta dans l'allée, Alexa ouvrit la portière et descendit de la voiture précipitamment, sujette aux maux de transports. Accompagnée d'Azure et de l'agent Scheider, elle marcha jusqu'à la porte d'entrée regardant à peine leur nouvelle maison. Ils entrèrent dans une petite cuisine modeste équipée de tout le confort nécessaire, toutefois d'un style un peu vieillot. Alexa s'assit sur une des quatre chaises en bois, imitée par Azure. La femme blonde leur proposa de leur faire visiter l'appartement, mais seul un lourd silence lui répondit. Elle prit donc rapidement congé et sortit, après leur avoir rappelé les consignes de sécurité.

Alexa et Azure, assis côte à côte, réfléchissaient. Les aventures vécues précédemment les avaient épuisées et la jeune fille regardait dans le vague sans idée précise. Son cerveau lui semblait cotonneux. Elle ne pensait à rien, et le temps lui paraissait suspendu, il n s'écoulait plus et s'étirait comme un voile immobile dans cette cuisine confinée.

Le soir tombait lorsque la jeune fille entendit sonner à la porte. Elle se rappela des recommandations de l'agent Scheider: "Vous ne devrez ouvrir à personne sauf à moi"! La jeune fille, inquiète, s'avança lentement vers la porte, laissant Azure attablé. A travers les rideaux, elle aperçu une personne familière qui elle, ne semblait pas la voir. Alexa pensa que les tissus transparents qui recouvraient toutes les fenêtres, devaient fonctionner comme les miroirs sans tain. Elle ouvrit la porte et se retrouva face à la fausse infirmière.

-Madame Scheider... La salua-t'elle poliment. Je ne m'attendais pas à vous voir si tôt...

-Ho appelez-moi Hélène... Dit-elle en entrant dans la maison.

Elle referma la porte derrière elle et marcha jusqu'à la cuisine où Azure s'était à présent levé. Elle posa sa mallette sur la table et s'assit lourdement. Ses yeux étaient cernés, et elle avait l'air très fatiguée. Malgré cela, Alexa du reconnaitre en son fort intérieur que c'était une très belle femme. Elle avait de longs cheveux blonds, et une fine silhouette aux formes avantageuses. Elle lança un regard de coin à Azure, mais celui-ci avait l'air trop éteint pour remarquer cela. A moins qu'il soit homo... Elle se mit soudain à sourire de sa bêtise: Elle était en danger de mort,recherchée par un cinglé qui voulait la découper en morceaux et l'exposer dans sa maison comme un trophée de chasse. Et elle se retrouvait là, à se poser des questions sur la sexualité de l'autre victime! Elle rit doucement, attirant l'attention d'Azure et de Hélène.

-Non, rien...excusez-moi...c'était un rire nerveux...Mais dites-moi, madame Scheider, qu'est-ce qui vous emmène?

-Appelez-moi Hélène...En fait, nous venons de découvrir une nouvelle victime. Elle s'appelle Emilie, et déclare avoir tué un petit garçon, qui était son ami. Nous l'avons interrogé, malgré son jeune âge, et elle a expliqué avoir été contrainte à tuer son ami par un homme assez vieux, portant un ciré jaune. De plus, cet homme sentait d'après elle très mauvais. Il se serait enfuit en entendant la police, laissant le corps du garçon et la petite fille vivante, débita t'elle d'une voix monotone.

Les deux jeunes gens échangèrent des regards horrifiés. Il y eut un instant de silence partagé, puis la policière se leva pour rentrer chez elle. Elle marcha jusqu'à la porte et l'ouvrit. Aussitôt, un fort courant d'air entra dans la maison, les glaçant de la tête aux pieds, suivi d'un bruit assourdissant: Il pleuvait. Et ce n'était pas peu dire! Une véritable tempête se déchainait dehors, comme si les éléments furieux abattaient leur colère sur le monde. Hélène referma la porte précipitamment, livrant un combat acharnée contre le vent. Elle réussit enfin, au soulagement de chacun. Comme elle ne pouvait pas rentrer chez elle et que les lignes téléphoniques avaient été coupés, Alexa lui proposa de rester manger.



*




Alexa ouvrit le frigo et chercha de quoi manger à l'intérieur. Il était rempli de victuailles de toutes sortes de condiments périssables. N'ayant pas souvent fait la cuisine, Alexa se demanda ce qu'elle pourrait bien cuisiner pour eux trois. Elle ouvrit les placards à la recherche d'un livre de cuisine, mais la plupart étaient vides ou remplis d'ustensiles - dont la plupart lui étaient inconnus. Elle prit quelques légumes et commença à les couper, sans réelle idée de ce qu'elle allait faire après. Elle entendait Azure discuter Hélène dans le salon, et elle commença à pester contre le jeune homme; elle trouvait qu'il aurait pu l'aider à faire le repas, mais n'était pas réellement surprise de son comportement, après tout, c'était un garçon...

-Et c'est quoi cette odeur? Ça pue!

Alexa releva la tête et repoussa une mêche qui lui tombait sur les yeux. Son visage était rouge, et les cheveux moites lui collaient au visage. Une forte odeur de brulé régnait dans la pièce, et une inquiétante fumée noire s'élevait du four. La jeune fille se redressa de toute sa hauteur, ses yeux lançant des regards furieux. Azure semblait supris de la voir dans cet état et recula d'un pas.

-Ca pue? Dit-elle d'une voix tremblante de colère. Tu trouves que ça pue? Ça fait une demi-heure que j'essaie de faire à manger! Une demi-heure! Pendant que tu traines au salon avec cette...

...Cette quoi? Demanda Hélène qui venait d'arriver derrière Azure.

Ce dernier mit fin à l'embarras d'Alexa en lui proposant son aide. La jeune fille, un peu calmée, accepta, et Hélène se joignit à eux malgré la désapprobation totale de la brunette. Ils cuisinèrent dans une atmosphère chaleureuse, et toute le monde était détendu. Le repas qui en résultat avait dépassé de loin toutes leurs espérances. Ils en avaient beaucoup trop fait, mais ils s'amusaient trop pour s'en inquiéter. La sonnette retentit soudain. C'était l'agent Carlino et sa femme, qui venait voir pourquoi l'agent Scheider n'était pas revenu au poste. Les jeunes gens rirent et Alexa se dénonça. Ils
invitèrent le couple à partager leur repas, et la soirée fut mémorable. Un peu gênés au début par les quadragénaires, les trois jeunes avaient vite été mis en confiance par leur gentillesse et leur grande bonté. Carlino s'appelait en fait Salvatore, et sa femme, Gina, l'aidait souvent dans ses enquêtes, bien qu'elle ne soit pas policière.

Salva* les fit beaucoup rire grâce à son grand répertoire de blagues, sa femme lui demanda bientôt ses préférées. Les jeunes gens lui demandèrent de lui raconter ses enquêtes, et l'homme avoua que beaucoup étaient résolus avec la précieuse aide de son épouse.


*Salva = diminutif du prénom italien Salvatore





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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptySam 10 Oct - 3:30

Chapitre 9
Auriez vous peur? Fear_b10

L’homme était assit devant le feu. Il attendait tranquillement la venu de sa complice. Le feu crépitait dans l’antre de la cheminé. Un odeur de viande pourris imprégnait les lieux. Ce parfume que l’homme aimait tant. La plus part des gens ne l’aime pas mais lui oui. C’était normal, il est différant, plus fort et plus intelligent que la plupart des gens. Il aime le sang et il y a prit goûte à son plus jeune âge quand il tua son frère.

Le gong de la porte qui servait de sonnette rugit. Quelqu’un venait de tapé dedans. Il se leva. Posa le tasse de thé qu’il sirotait., sortit du salon, entra dans le vestibule et ouvrit la grande et lourde porte de saule.

- Entre donc !

Une femme d’un quarantaine d’année fut éclairer par la faible lumière du lieu. Elle avait le regard d’une personne très intelligente, mais la lueur des fantôme du passé hantait ses pupilles. Elle était triste. Elle ne commença pas de parler de banalité et alla droit au but.

- Tu as donc oublié se que je t’ai dit ! Tu aurai bien pu te faire prendre. Tu es irresponsable.

Sa voix était dure, ferme, avec un pointe de colère. C’est tout le contraire de son apparence. Elle paraissait ferle et pourtant elle parlait comme un commandant des forces armés. Elle enleva son manteau, le posa sur une commode et se dirigea au salon sans demander un quelconque permission.

- Je ne voulais pas. Mais tu sais les enfants ont un odeur tellement appétissante. Je devais les tuer. Je ne pouvais pas résister.

La femme examinait la pièce. Ce qui se trouvait dans la théière, la tasse. Elle s’arrêta devant un tableau.

- tu l’as volé ! Tu l’as volé à l’une de tes victimes je t’ai portant dit de rien prends et de ne pas laisser d’empreinte. J’ai du aller en effacer. Imagine que l’on m’ait prise. Cela aurai été horrible. Pense à mon marie !

- mais…mais je n’y suis pour rien. Comprends je veux tuer Azur et Alexia. A cause d’eux, il me manque deux trophées et l’un de ceux que j’ai sauvé à perdu sa main.

- JE NE VEUX PAS D’EXPLICATION ! suit moi.

Elle l’emmena dans le vaste jardin. Ils virent le tour de la maison et un vous derrière, elle montra un carré de terre battu.

- Tu te souviens ? C’est là que tu as enterré l’homme qui faisait la même chose que toi. Il est mort suite à des blessures. Des blessures causées par des balles de revolver. Ce sont les policiers qui l’on tuer. Tu veux finir comme lui ? dit moi ! tu veux ?

- non…non je veux pas. Je vais t’écouter. Mais ne me raconte pas encore comme il est revenu plein de sang et que tu l’a soigné. Puis qu’il est mort parce que ses coupures s’était infecter. Tout sa parce qu’il ne t’avait pas écouter. Je vais me contrôler…me contrôler….

- Bien. Retournons dedans. Je vais t’expliqué mon plan autour de cookies et d’un verre de lait.

- Oui ! OUI ! Bonne idée. Je vais te préparé sa.

La femme resta quelque instant à regardé la tombe improviser. Il avait creusé cette tombe mais se fut et sera la seul. Il préférait exposer ses victimes comme des statue de cire.

Un sourire sadique se forma sur ses lèvres. Elle marcha tranquillement sur le chemin de pierre. La porte d’entrée était rester ouverte laissant passé la lumière du salon. Elle passa la porte et la referma soigneusement derrière elle. Elle passa à coter d’un ciré jaune.

La femme poussa la porte du salon. Il y faisait une chaleur enveloppante. Il n’y aurai pas eu cette odeur de viande pourris, elle se serait senti chez elle. Elle s’assit dans une magnifique siège.

L’homme revint avec un plat remplis de cookie chaud et un verre de lait. Il les posa sur la petite table de salon.

La femme sourit et prit un cookies le trempa dans son verre.

- Voilà se que l’on va faire….
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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyMer 21 Oct - 4:37

Chapitre 10 Auriez vous peur? 15aa01ac563f7f48

Alexa

Après avoir raccompagné leurs invités, Alexa revint au salon ou elle rejoignit Azure. Ils discutèrent encore un moment, puis la jeune femme bailla et annonça qu'elle allait se coucher. Après un dernier bonne nuit, elle quitta le salon et ramassa son sac non défait qui traînait encore dans le couloir, à côté de celui d'Azure. Elle le porta jusqu'aux deux portes qui terminaient le couloir. Elle en ouvrit une pour découvrir une chambre relativement spacieuse par rapport au reste de la maison. Elle était meublée sommairement: Une large et haute armoire en bois brut, un immense et imposant lit à baldaquin et, dans un coin, un bureau vide devant laquelle une chaise simple avait été placée. La jeune fille se déshabilla, sortit son pyjama du sac et le mis. Tout à coup, elle vit un papier sur le sol. Un papier qui avait glissé de sa poche, le papier qu'elle avait trouvé dans sa cuisine et qu'elle n'avait pas encore lu...(Ref. chapitre 4). D'une main tremblante, elle le déplia. Dessus, il y avait un message. Un message écrit à l'encre rouge, rouge comme le sang...Ecrit avec du sang. Alexa poussa un gémissement étouffé et le papier lui échappa des mains pour tomber sur le sol, face contre terre. Elle s'assit au bout du lit et, la main sur la poitrine, essaya de calmer les battements de son cœur affolé.

Ne t'inquiète pas...pensa-t'elle. Ca ne peut pas être du sang... le sang devient friable quand il sèche, et celui-ci et lisse sans aucune bavure.

Elle ramassa donc le papier, et verifia que c'était bien de l'encre. Elle lu ce qu'il y avait d'écrit:

Quand sonne ton heure
Quand coule tes larmes
Quand retentissent tes pleurs
Et que j'aiguise mon arme

Quand leurs cris retentissent
Quand leurs voix me supplient
Quand mes pas crissent
Et que je rie

Quand le sang coule à flot
Quand s'éteignent les vies
Quand s'arrète les mots
C'est que j'ai fini.

Mais ne t'inquiète pas
Je ne t'oublierai pas
Toi aussi tu vivras ça
Car comme trophée tu finiras


La feuille retomba à terre. Alexa tomba sur les genoux, agitées de tremblements incontrôlés. Une larme s'échappa de ses yeux, puis deux. Et ces gouttes tombaient sur les lettres rouges, les faisaient baver et se déformer. L'encre sang se mélangeait à l'eau salée, effaçant le poème morbide...
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MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptySam 2 Jan - 10:23

Auriez vous peur? M_o_n_10
Chapitre 11


Azure regardait le télévision, assit sur le grand canapé. Il venait d'apprendre qu'une nouvelle personne venait de disparaître, laissant une grande quantité de sang dans sa maison...trop de sang pour qu'elle soit encore en vie. Il ne voulait pas en savoir plus. Le jeune homme se leva, éteignit la télévision et la lumière. Il alla dans sa chambre et prit son sac pour prendre ses rechanges. Quand il sortit un training, un petit papier tomba de la poche.

Il le ramassa, s'assit sur son lit qui était très mou et déplia le papier pour le lire. Il y était écrit la même chose que celui qu'avait eu Alexa, mais dont Azure ignorai l'existence. Ses mains se mirent à trembler et le jeune homme dut vérifier que sa chambre était bien vide. Il avait l'impression que le tueur était peu être là, caché quelque par, tout près. Il prit son duvet et alla s'assoir parterre, dans le coin de la chambre d'où l'on pouvait voir la porte et la fenêtre...

Une sonnerie aigüe réveilla Azure, en sursaut. Il se rendit soudain compte qu'il avait dormi dans le coin de sa chambre. La lumière avait envahit la salle, il n'avait pas prit le temps de fermer les rideaux. La sonnerie retentit à nouveau, le jeune homme entendit quelqu'un ouvrir la porte, surement Alexa. Il entendit ensuite parler. Il se leva, prit un petite douche et alla voir qui était là.

Quand il entra dans le salon, il découvrit Alexa en train de raconter une histoire à un petit fille. Les deux filles ne le virent pas rentré dans la pièce. Il décida donc d'aller dans la cuisine. Il se fit un café et regarda se qu'il y avait à manger.

Après avoir manger, Azure retourna dans la salon où il attendit la fin de l'histoire pour être présenter à la fillette blonde. Elle s'appelait Emilie et était une des survivant. Alexa lui montera un lettre de Carlino expliquant pourquoi il était bien que la fillette les vois et se qui s'était surement passé au moment où elle avait été agressé. C'était horrible...elle aurait été forcé de l'acéré son ami vivant.

La lumière baissa, le ciel se couvrait et quelque heur plus tard un violent orage éclata. Les deux adultes était quelque peu retombé en enfance avec la petite fille qui semblait pas aussi heureuse que ses sourires aux grimaces d'Azure. Elle avait l'aire fatigué perturbé par quelque chose...

Le jeune homme alla faire du thé pendant que le fillette resta avec Alexa. Il les entendit parler.

-Il est gentil Azure. C'est ton amoureux?

- Non.... on est juste...ami. Je l'aime bien comme un ami, pas comme un amoureux...

- Tu devrais lui proposé de devenir ton amoureux! Vous vivez ensemble...

- Et toi tu as pas un amoureux?

- Avant...il s'appelait Dylan, mais...mais le monsieur m'a attaché à lui et m'a forcé à le tuer. Je...je ne pouvais rien faire. Je n'aimes pas cet homme et si je le revois, un jour, se jour il ne l'oubliera jamais. Je le hais...

Azure faillit s'étouffer avec le biscuit qu'il venait de fourré dans sa bouche et Alexa vint vers lui. Elle était choqué ça se lisait sur son visage. Azure lu tendit une tasse ne sachant que faire d'autre. Il lui murmura ensuite.

- J'ai tout entendu...On en parlera avec le commissaire, ce soir...

Ils retournèrent à la cuisine et essayèrent de faire comme si de rie n'était, mais tout le sdeux n'arrêtaient pas de ce lancé des regards inquiets. Cette petite fille n'aurait jamais du souffire pareillement.
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MessageSujet: Chapitre 12 Auriez vous peur? EmptySam 27 Mar - 10:49

Auriez vous peur? Horror10


Chapitre 12

Alexa

Le lendemain, la sonnerie retentit à nouveau. Alexa s'était levé tôt, comme à son habitude, et Azure dormait encore. la jeune fille alla donc ouvrir la porte et constata avec surprise que c'était de nouveau Emilie, avec un couple qui devait être ses parents. Dès que la porte fut ouverte, la fillette courut dans les bras d'Alexa, qui se baissa pour la serrer contre elle. Elle jeta un regard interrogateur aux parents de la petite. Ceux-ci, visiblement mal à l'aise, lui demandèrent d'entrer. La jeune femme les invita volontiers et les amena dans la salle-à-manger. Elle leur servit du thé et fournit du papier et des crayons à Emilie. Elle s'assit en face du couple et attendit qu'ils prennent la parole, tout en sirotant son thé.

-Tout d'abord je me présente, dit l'homme quarantenaire qui lui faisait face. Je m'appelle Michael Smith, et voici ma femme, Caroline. nous sommes les parents d'Emilie. Nous sommes vraiment désolé de venir vous déranger, surtout après toutes les horreurs que vous avez du vivre, mais nous avons quelquechose à vous demander.

Il remua sur sa chaise mal à l'aise. Il échangea un regard à sa femme, et celle-ci poursuivit à sa place.

-Ce qu'à vécu notre fille... Personne ne souhaiterait le vivre. Emilie à une sorte de réaction post-traumatique, elle se ferme sur elle-même. En fait, elle ne veut plus parler, même pas à nous ses parents. La seule chose que nous avons entendu de sa bouche, ce sont vos prénoms, mademoiselle. Le votre et celui de votre ami... Azure, c'est cela?

Alexa acquiesça. La petite lui faisait de la peine. Elle dessinait, imperturbable, comme si elle ne comprenait plus ce qui se passait autour d'elle. La jeune femme avait très envie de l'aider, mais elle ne savait pas comment.

-Nous nous demandions, repris m. Smith, si elle vous avait parlé, hier, lorsque vous l'avez rencontrer.

-Oui, nous avons beaucoup parlé toutes les deux. Elle m'a fait l'impression d'une gentille fille, répondit Alexa.

Le couple échangea encore un regard.

-Nous pensons que ce serait peut-être bien pour elle de vous voir de temps en temps. Vous comprenez, elle doit se sentit proche de vous, car vous êtes tous trois des victimes de cet horrible... assassin. Enfin, je... voila...je me disais que si vous acceptiez qu'elle vous rende visite de temps en temps, vous pourriez peut-être l'aider.

Alexa sut aussitôt qu'elle devait accepter. Elle s'était déjà attaché à Emilie, et si elle pouvait l'aider, elle le ferait volontiers. Mais, avant qu'elle ait pu dire quoi que ce soit, Caroline Smith fondit en larmes.

-Ho... pardonnez-moi...dit la femme en essuyant ses joues avec sa manche. C'est si dur... Je...Je ne sais plus quoi faire...nous avons tou...tout essayé...sans resultat...et notre petite fille qui ne veut plus parler! ...

Michael Smith prit sa femme dans les bras et la réconforta. Quand celle-ci se fut un peu calmé, Alexa accepta leur proposition, à condition qu'Azure soit d'accord. Elle les raccompagna ensuite jusqu'à la porte, et quand elle serra Emilie dans les bras, la petite lui glissa un mot à l'oreille:

-Merci.

Alexa les regarda partir par la fenêtre, toute retournée.
Ensuite, elle se secoua, et décida de faire un peu de ménage. Elle commença par laver les tasses laissées par le couple Smith, puis nettoya le plan de travail ainsi que la table. Elle aspira, récura, comme si faire des tâches ménagères pourrait l'empêcher de penser à la menace qui planait sur leurs têtes. A tous les trois.

*

Quand Azure se réveilla, Alexa lui fit part de la demande des parents d'Emilie. Celui accepta immédiatement, et la jeune femme pu téléphoner aux Smith pour le leur confirmer. Ils proposèrent d'amener la fillette dans l'après-midi, et Alexa, après avoir accepter, commença la confection d'une tarte aux pommes. Elle prépara ensuite le diner. Elle passa un bon repas, et trouva que le jeune homme était d'agréable compagnie. Ils se racontèrent leurs histoires respectives, échangèrent des blagues et rirent, évitant le sujet qui leur faisait si peur. La jeune femme avait parfois l'impression que cette histoire n'était qu'un mauvais rêve, qu'elle ne s'était jamais fait agressé et que sa présence dans cette maison avait une explication simple qu'elle avait oublié. Mais malgré ces moments ou elle fuyait la vérité, ses souvenirs remontaient parfois soudainement, lui coupant le souffle. Et, immobile, submergée par la detresse, elle combattait seule et en silence le desespoir qui s'emparait d'elle. Puis, quand elle réussissait à reprendre le dessus, elle se remettait en marche comme si de rien était. Elle détestait pleurer, et faisait tout pour l'éviter, se moquant de ceux qui se laissaient aller aux larmes. Alexa se sentait souvent seule, mais elle était courageuse et se forcait à voir la vie du bon côté. Ces moments d'insouciance partagé, comme pendant ce repas, était un vrai bonheur pour elle. Azure l'aida volontiers à faire la vaisselle et, en fait, en fit beaucoup plus qu'elle. Ils finissaient les derniers couverts quand l'agent Sheider sonna à la porte. Elle était habillée en civile, et portait une sacoche qui aurait convenue à une infirmière. Elle nous salua brièvement et marcha jusqu'à la table où elle posa son sac. Les deux jeunes gens prirent place et Alexa leur servit à tous les trois une tasse de thé brulant. L'agent Scheider prit la parole:

-Notre criminel s'est encore fait remarquer. Nous avons trouver une famille assassinée ou plutôt, nous ne l'avons pas trouvée. Tout ce qu'il restait d'eux c'était leur sang, étalé sur les murs. Ils habitaient tout près d'ici. En fait, leur maison se trouve dans cette rue. J'ai peur que le meurtrier n'ai deviné que vous habitiez dans le coin.

-Attendez, je ne comprends pas, commença Alexa. S'il a deviné où nous habitons, pourquoi a-t-il attaqué ces pauvres gens? Pourquoi n'est-il pas venu directement?

L'agent soupira et ouvrit sa sacoche. Elle en sortit une liasse de feuilles qui se trouvèrent être des photos de la scène de crime.

-En fait, il a laissé un message...

Elle étala les photographies sur la table, et Alexa eut un haut-le-coeur.
Du sang, partout du sang. Sur le sol, sur les meubles, au plafond... Et, sur le mur, un message avait été laissé. Un message de sang.


"1 cocu
2 amants
3 maisons

1 homme
2 meurtres
3 maisons"

-Qu'est-ce-que... qu'est-ce-que ça veut dire? Demanda la jeune femme, la gorge nouée.

-He bien, nous ne sommes sûrs de rien, mais nous avons quelques hypotèses. Tout d'abord, les numéros 1, 2 et 3. Ils ont l'air d'être la clé. Ensuite, "3 maisons" revient deux fois. En fait, ces gens qui sont morts habitaient dans la maison qui portait le numéro 1. Et vous habitez dans la maison numéro 3. Je pense qu'il veut assassiner les habitants des deux maison avant de venir vous tuer. Il a déjà commencé avec la première famille. Les deux meurtres sont sûrement les votre, et l'homme est sûrement le meurtrier.

Les mains moites, Alexa encaissait toutes ces nouvelles. Elle avait peur, et se sentait coupable, car ces gens étaient morts par sa faute. Elle se sentait responsable.
Azur, les pieds sur terre, demanda:

-Mais le reste... " 1 cocu, deux amants" Qu'est-ce que ça signifie?

-J'éspèrais que vous pourriez me le dire... Peut-être que l'un de vous est trompé ou trompe son conjoint?

-Impossible, je suis célibataire et je n'ais jamais trompé aucune de mes petites amies, trancha Azure.

Alexa, seule aussi, avoua avoir été un jour trompée par son petit ami, mais c'était il y a très longtemps.

-Bon, alors le message ne parle pas de vous. Mais de qui alors? Demanda l'agent Scheider pour elle-même.

-Mais alors, cet homme va assassiner ces gens... Mais quand? Combien de temps nous reste-t-il?

A ce moment, la sonnerie retentit...
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L'ombre

L'ombre
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Auriez vous peur? _
MessageSujet: Re: Auriez vous peur? Auriez vous peur? EmptyVen 9 Avr - 8:35

Chapitre 13
Auriez vous peur? A2f68610
Il faisait froid. Les températures étaient tellement base que lors que l’on sortait l’on avait l'impression que l’on nous plantait des milliers d’aiguilles dans le corps. Le vent soufflait et les rues de la ville étaient désertes. Il n’y avait pas un flocon de neige et l’on annonçait un redoux et un orage pour la fin de la nuit.

L’agent Carlino et sa femme était assis à coté du feu, qui dansait dans le cheminé, dans le salon. A la télévision, une émission sur la vie de petit rongeur africain passait et la femme de Carlino la suivait avec intérêt. Son mari, quant à lui, lisait un livre : il faisait des recherches sur le tueur. La sonnerie du téléphone sonna, Mrs.Carlions se leva et s’empressa d’aller répondre.

La discussion entre la femme et son interlocuteur semblait agiter et Carlion en fut intrigué : C’était la première fois qu’elle voyait sa femme se disputé avec quelqu’un au téléphone. Il s’approcha donc de la porte de la cuisine où se trouvait Mrs. Carlino. Il écouta la conversation.

- Non ! Non ! Je t’ai dit que je ne peux pas leur adresse maintenant. Il faut qu’on se voie. Est que samedi te…Non. Tu ne comprends pas que mon mari est là et, je te rappelle, qu’il est chargé de l’enquête…Sa suffit, J’en peux plus. Je vais te la donner cette adresse. C’est un appartement aux noms de Catrine Tobler, rue du nord 145. Bon je dois te laisser.

La femme de Carlino ouvrit la porte violemment de tel sort que le policier ne puisse faire semblant de faire autre chose. Ils se retrouvèrent face à face. L’agent Carlion avait comprit : sa femme était le complice du tueur. Ils se regardèrent dans les yeux et l’agent détourna le regard.

- Tu as tout entendu…Je suis désoler mon chérie, mais je vais devoir te faire taire.

Elle prit un couteau dans le cuisine. Il ne voulait pas se battre avec, mais son instinct le força à éviter sa femme qui lui fonçait dessus le coteau à viande dans la main. Il n’était plus vraiment maître de lui : c’était, maintenant, son envie de vivre qui le poussait à se battre. IL sautait, courait pour éviter les coups portés par sa femme. Mrs. Carlino donnait toute son énergie dans ses coups. Elle était essoufflé et allait donner son dernier coup. Elle envoya son bras contre la poitrine de son mari, mais celui ci attrapa son bras et retourna le couteau dans son cœur. Carlino ne revenait pas…

Il venait de tuer sa femme. Elle était couchée par terre dans un marre de sang. Le policer leva les yeux et constata que le salon était en piteux état : Les fauteuils était déchirés, des cousins éventrés, la télévision avait basculé en arrière et ne marchait plus et des cadres et des objets divers gisaient sur le sol, certains étaient brisés.

Carlino sortit de la maison sans prendre la peine de s’habiller plus pour ne pas subir la morsure du froid. Il marchait en chaussette sur l’asphalte. Les passants le regardaient avec étonnement. Il entra dans la forêt. Personne ne pourra le voir et il pourrait réfléchir. Qu’avait il donc fait ?

Sans s’en rendre compte le policier était arrivé à l’endroit où il avait rencontré sa femme. Un sort de cabane dans un arbre sans toit où quand ils étaient jeunes des fêtes avaient souvent lieu. Il y monta par l’échelle en bois.
Il s’assit et regarda le ciel. Il n’avait plus de raison de vivre. Carlino se leva. Il détacha un coté d’une corde ; l’autre bout étant attaché à une branche qui surplomberait le vide. Il attacha l’extrémité qu’il venait de dénouer à son cou. Il s’approcha du bord et passa sous la barrière. Il s’y tenait et fixait le sol.
Soudaient il remarqua quelque chose de blanc sur le sol gelé : C’était un crâne, un crâne humain. Cette vision lui fit reprendre ces esprits. C’était sous l’arbre que le tueur au crié jaune enterrait ses victimes. Carlino se retourna, la corde toujours à tour du cou.

Un éclaire jaune, ce fut tout se qu’il vit avant de se sentir pousser et tombé. Le sergent Carlino tomba. La corde reteint l’homme quelque seconde avant que la branche à laquelle l’homme l’avait attaché cassa sous le poids du sergent.

Il s’écrasa sur le sol et sa tête tapa contre une pierre. Il était encore vivant, mais un flot de sang sortait des larges blessures qu’il avait sur le crâne. Il se toucha la tête d’une main mal assurée. Il regarda sa main et eu un haut le cœur : sa main était couverte d’un liquide rouge. Il savait qu’il n’avait aucune chance qu’on le retrouve vite.

Le sergent Carlino regarda discrètement son agresseur qui descendait de l’arbre. C’était Juliens… Il posa sa main sur une racine qui se trouvait à sa porter et avec son sang commença à écrire le nom et le prénom de cet homme qu’il croyait son ami. Il avait la tête qui tournait et faisait des efforts incroyables pour continuer à écrire.

Un pied, enfin une chaussure de policier, vint s’écraser sur sa main qui craqua lugubrement. Son agresseur, et celui de toutes ces personnes, en plus d’être un des proches de Carlino, venait de faire une nouvelle victime…

Le sergent était mort coucher dans ses bois après avoir tuer sa femme au milieux d’un cimetière de cadavre semi-enterré. Rien ne pouvait altéré cette scène d’épouvante sauf peu être l’orage qui arrivait sur la région et qui était annoncé comme l’un des plus violant qu’il y aurait cette année.

Neuf heurs du matin, Mr. Benoît, instituteur de 54 ans dans le lycée communal, sortait, comme tout les matins son chien dans les prés qui se trouvaient derrière chez lui. Le chien s’y défoulait et donc était plus calme le reste de la journée et Mr. Benoît, qui était légèrement en sur-poids, faisait un exercice et décompressait des journées fatigantes à enseigner à des jeunes qui était rarement tous attentif.

Il était donc laisse à la main quand il aperçut quelqu’un couché dans l’herbe. Il sut directement que quelque chose n’allait pas. Il s’approcha doucement car il faisait encore sombre et que le terrain était boueux car il avait plut presque toute la nuit.

La personne était apparemment un homme, mais comme Mr.Benoît n’avait pas ses lunettes il n’arrivait pas à voir précisément. Il s’approcha donc plus et quand il se rendit compte que la terre au tour de l’homme était rouge et, comme il était professeur de biologie, il sut que le terre n’avait pas cette couleur naturellement : C’était du sang qui l’avait teinté.

L’homme qui était parterre saignait abondamment. Mr Benoît appela une ambulance et essaya de réveiller le sergent Carlino. Il se rendit bien trop vite compte que s’était trop tard : qu’il était mort.
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