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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Evan

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L'ombre

L'ombre
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Evan _
MessageSujet: Evan Evan EmptyMer 30 Juin - 4:28

Si vous voulez la lire d'une façon mieux présenter et plus agréable visuellement, elle est aussi sur: Mon blog, plume du soir!


~~~Evan~~~


Ce soir là, toutes envies de continuer de se battre avait quitté le corps d'Evan. Il devait pourtant continuer pour une seule raison, la raison qui l'avait poussé dans cet horrible lieu.

Si seulement tout pouvait redevenir comme avant. A l'époque de ses 17 ans où une paix relative régnait dans le monde. Pas de guerres permanentes, de politiques aberrantes et de lois stupides. Juste une vie normale de jeune homme, des amis, des fêtes et des longues nuits de rire et de bonheur. Pourquoi tout cela avait-il prit fin ? Pourquoi beaucoup de ses amis étaient maintenant mort pour de stupide chose ?
Il n'avait pas les réponses à ces questions, mais il espérait de tout son cœur qu'un jour il pourrait enfin à nouveau sourire et oublier...

Oublier l'image de Basil, son meilleur ami, mort parterre dans une cour le corps troué de balles de plomb. Il n'avait même pas prit le peine de le tuer avec une méthode moderne et rapide comme les pistolets électriques. Non ! Il avait utilisé l'arme qui blessait, faisait souffrir, pleurer et gémir. Ils étaient vraiment horribles !

Nous sommes en 2020, le monde à énormément changer, mais pas en bien... les magnifiques paysages ont été remodelé par les bombes, beaucoup d'humains ont oublié le goût du rire et ne savaient plus que pleurer et attendre qu'un avion vienne arrêter leurs souffrances, les autres essayait de se battre pour retrouver le monde comme avant. Le monde dans lequel, malgré les petits malheurs, ils vivaient heureux et ils regrettaient de ne pas en avoir plus profité.

Evan fait partit des ses gens, mais ce soir-là, l'envie de se battre avait quitté son corps. Il tremblait coucher sur le sol geler de l'ancienne église où il avait trouvé refuge.
C'était étonnant de découvrir ce bâtiment car tout cela avait commencé par la religion et plus particulièrement des lois européennes discriminant les musulmans : Interdiction de construire des minarets, interdiction du port du voile. L’Islam avait bien sur répliqué en interdisant les clochers et certaines pratiques chrétiennes dans leur pays. Après des tensions très forte, la France fit une nouvelle loi qui fut la goutte d'eau qui a fait débordé le vase, où plutôt exploser le vase... Les français interdisent tout simplement d'être musulman dans leur pays. La Suisse qui n’arrivait pas à s'accorder se sépara en deux pays : La Suisse et la Romandie qui était la zone où vivait la plus part des francophone Suisse, là où vivait Evan.

Les pays d'Europe s'était rallié pour protéger la France. La Russie qui n'avait jamais aimé l'Europe s'allia au pays islamique qui se battait pour leur liberté. Très peu de temps après la Chine entra en guerre contre la Russie car celle-ci faisait passer ses armés sur son territoire. Les deux Corée profitant des tensions, entrèrent en guerre l'une contre l'autre dans le but d'unifié le pays. Le Japon s'allia à la France et s'attaquèrent à la Russie. La Chine prenant mal que le Japon attaque aussi la Russie partit en guerre contre le pays des samouraïs. Le Canada se trouva offensé pas les États-Unis et rentèrent en guerre contre ceux ci. La plupart des pays d'Amérique du sud firent des révolutions et rentèrent en guerre les uns contre les autres. Les guerres faisaient alors du surplace, sauf en Amérique du sud où l'Argentine avait conquis tout le contient et s'attaqua alors à l'Afrique qui avait réussit à rester en dehors de tout conflit jusqu'à présent.

La terre entière était maintenant en guerre et même les pays dit neutre comme la Romandie étaient souvent bombardés.

Les vitraux de l'église étaient presque tout brisés et une grande partie du toit avait brulé. Il faisait froid, le genre de froid qui faisait mal jusqu'au ventre. Evan se réveilla doucement : il s'était endormit et encore une fois avait revu les images de son ami en train d'agoniser. Pourquoi avait-il été si têtu et avait tenu à dire la vérité?

Il avait envie de vomir... Il se pencha sur la gauche et vomit. Malheureusement pour lui il n'avait rien mangé depuis trois jours. Il se releva et alla chercher à manger dans l'arrière du bâtiment de pierre.

Tout était saccagé, mais il y trouva un bout de pain sec. Il le prit et l'engloutit rapidement. Cela fit du bien à son estomac qui criait famine. Il avait hâte de revenir au camp où il était attendu pour connaître les positions des Squards. Les Squards étaient un groupe de motard qui aimait détruire tout se qu'ils trouvaient sur leur chemin. Le groupe qui comptait sur Evan s'appelait « Le camp » pour la simple raison que tout le monde était rassemblé dans un quartier barricadé.

Le jeune homme tituba jusqu'à la sortie, il savait maintenant où se trouvait le lieu du rassemblement des motards et était rassuré : il se trouvait suffisamment loin pour ne pas inquiéter le camp.

Il se cacha dans le buisson qui bordait l'allée. Il était à quatre pattes dans les hautes herbes, personne ne devait le voir. Il arriva au premier croisement de rue. Il regarda discrètement et traversa à toute vitesse. Il n'y avait plus de plante. Il se colla contre le mur et avança doucement priant tout les dieux qu'il connaissait pour ne pas être vu. Un Squard passa sur sa moto et par chance le jeune homme réussit à se cacher et passa inaperçu.

Après environ une heure de marche le garçon arriva devant les grandes portes de fer du camp. Il ne s'arrêta pourtant pas devant et en fit plutôt le tour. Il sortit une clé et ouvrit la porte sécurisée d'une des maisons de l'allée. Il entra dans la maison et fut accueilli par les cris de joie de Justine, ainsi que les jurons amicale de Laurent et Dimitri.

- Où étais-tu passé ? On a faillit envoyer Luc et Xavier te chercher.

- Bonne nouvelle !

La voix d'Evan était roque. Les trois jours seul l'avait fatigué psychologiquement et physiquement et cela se ressentait dans sa voix. Au même moment Jennifer arriva dans le couloir et invita le garçon à montrer à l'étage pour manger. Cela lui fit un bien fou et il reprit plusieurs fois de la délicieuse soupe au légume de la jeune femme. Il annonça ensuite qu'il allait se coucher et qu'il racontera tout le lendemain.

Il monta encore un étage et arriva au troisième et dernier étage, celui des chambres des gérants du camp. Il marcha jusqu'à la dernière chambre et y entra. Il verrouilla la porte avec le loquet et se déshabilla. Il regarda par la fenêtre et ne pu que voir le spectacle d'une ville en ruine et abandonné par beaucoup trop de monde. Il ferma les rideaux couleurs d'encre, se coucha et essaya encore une fois d'oublier le passé et espéra, avant de se laisser aller dans les bras de Morphée, ne pas revivre encore une fois ce qui s'était passé.


Dernière édition par Roniron Weasley le Lun 5 Juil - 4:52, édité 2 fois
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L'ombre

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Evan _
MessageSujet: Re: Evan Evan EmptyMer 30 Juin - 4:29

Evan se trouvait dans un lieu inondé de lumière. Il était torse nu et portait un sorte de pantalon blanc un fin tissu. Il ne savait pas vraiment comment il était arrivé là, ni pourquoi il était habillé ainsi.

Plus loin il apercevait la forme de quelqu’un qui avançait vers lui. Il eut un impression de déjà vu, rien qu’à la démarche de la personne. La personne lui parla sur un ton doux, apaisent, mais cela fit frémir Evan : Basil était pourtant mort…

- Evan ?

- Oui Basil ?

La voix du jeune homme était hésitante, mais il voulait savoir participer à ce qui se passait. Il voulait savoir où il était et se qu’il faisait là. L’autre garçon lui apparut enfin. Il était comme avant sa mort : les cheveux bruns avec des reflets rouges, les yeux brun et un pansement sur le nez. Il l’avait presque toujours ce pansement et personne, même Evan, n’avait jamais su d’où venait cette lubie. Basil portait des habilles assez classe, ceux qu’il mettait à l’époque de leur 17 ans pour les occasions qu’il jugeait importante.

- Reste près des autres ! Tu es leur ange, leur liberté !

- Tu rigoles, tu as toujours mené, c’est toi qui a eut l’idée de rassembler tout nos amis.

- Prend confiance en toi et prend ton envole !

Aux paroles du mort, Evan se sentit partir, décoller du sol. Il arriva dans le ciel au dessus de sa ville, l’autre fois appeler la Chaux-de-fonds, elle était comme dans ses souvenirs : les gens se promenaient dans les rues des voitures circulaient un peu partout et les magasins dévoilaient certains articles devant leurs vitrines. Il plongea en piquer vers ce spectacle qu’il avait oublié, enfermé dans le camp.

Malheureusement, des bombes s’écrasèrent sur l’avenue principale avant qu’il n’y arrive. Le sol sous les bombes tombaient et disparaissait dans le néant qui se trouvait en dessous. Le garçon réussit à contrôler ses ailes d’ange pour ne pas partir dans ces immenses fosses sans fond. C’était comme si le monde était posé sur une simple dalle et qu’il suffisait d’une simple bombe pour en vers tombé une partie.

Evan vola jusqu’au petit aéroport et se cacha dans un des hagards à avion du lieu. Il se cachait encore, il pouvait partir en volant et pourtant il se cachait. Qu’est qui lui prenait ? Il leva la tête et vie une sorte d’ancien engin volant: un dirigeable . Il trouva cela étrange, mais n’eut pas le temps de s’interroger plus. Le hangar partit en poussière et il tomba !

Cela faisait un petit moment qu’il tombait sans fin. Ses ailes c’était brisé et les plumes s’étaient toutes envolés, quand une voix l’appela. Une voix de femme qui appelait son nom.

Evan se réveilla. Il s’était assit d’un coup dans son lit. Il avait encore l’impression de tomber, mais elle disparut vite et le garçon se rendit alors compte que la tête de Justine se trouvait à 5 centimètre de la sienne : c’était elle le femme qui l’appelait.

Il essuya la sueur qui coulait sur son front avec le revers de sa main et sourit faiblement à Justine. Il était pourtant sur de s’être enfermer dans sa chambre le soir précédent. La jeune femme comme si elle avait lu dans ses pensés lui montra une clé.

- J’ai utilisé la clé de secoure ! Il est 10 heure et j’ai pensé que s serai bien que tu te réveilles pas dix minutes avant pour ne rien comprendre.

Elle se leva et sortit de la chambre du garçon le sourire aux lèvres. C’était une sourire intriguant pour Evan qui n’en comprit pas la signification avant de baisser la tête t se rendre compte qu’il avait été en boxer devant la femme et qu’elle avait vu son fameux tatouages. Le tatouage encore un souvenir de Basil : Il avait fait des tatouages complémentaires, Evan portait celui qui représentait le feu et Basil celui de l’eau.

Il se leva tranquillement ressembla ses habilles et les mit. Il se dirigea comme un zombie à la salle de bain et s’y doucha. L’eau chaud lui rafraichit la mémoire et il se mit à pleurer.

Il sortit de la douche et se passa un ligne au tour de la taille. Il regarda quelques instants la porte pourvue d’une vitre floutée. Evan ouvrit l’étagère qui se trouvait derrière le miroir au dessus de l’évier et y prit un rasoir.

Il se rasa finement pour ne plus ressembler à une sorte de Bigfoot moderne. Il garda ensuite la lame en main et hésita. Il mit son poignet au dessus de l’évier et la coupa avec sans tendresse. Il refit le même geste à plusieurs reprises, malgré la douleur. Il changea ensuite de main et fit de même pour l’autre poignet.

Loïc entra pile au moment où Evan s’infligeait le troisième coup de rasoir. Il lui attrapa le bras et lui fit lancer la lame. Il le regarda pleins d’inquiétude. Il lui prit les poignets avec pleins de tendresse et les banda.

Loïc était chargé des récoltes du camp. Il devait aussi gérer le garde manger pour pas qu’il ne faiblisse trop vite. Evan ne le connaissait pas vraiment, même si il vivait dans la même maison et qu’il partageait le même étage avec Justine, Jennifer et Xavier.

Celui ci était plus doux qu’il ne le laissait penser. Quand on voyait ce grand blond on était souvent impressionner surtout qu’il était assez baraqué à force de travailler au potager.

Tout cela ne changeait rien au problème d’Evan. Il était enfermé dans un camp qui lui rappelait sans cesse son ami mort. Il voulait s’échapper s’envoler comme lui avait proposé Basil dans son rêve. Chacun des moments du rêve était resté gravé dans son esprit.

Loïc conduit Evan jusqu’à la cuisine de l’appartement et le fit s’assoir. Il lui servit à manger et s’assit en face de lui.

- Justine a bien fait de s’inquiéter quand elle voyait que celala mort de Basil te touchait si peu. C’était qu’une façade.

Le brun approuva de la tête tristement. Il avait essayé de rester fort face au autre et apparemment cela avait trop bien marcher. Il avait passé pour l’insensible du groupe. Il prit un morceau de pain et le mangea. Il poursuivît son repas en silence sous le regard bien veillant de Loïc.

- Je fais un rêve cette nuit… J’ai vu Basil et il me disait de m’envoler…

Osa enfin Evan qui trouvait se repas trop silencieux et oppressent. Il sentit tout de suite l’ambiance se détendre quand il commença de parler.

- C’était peu être un des ses fameux rêves où un mort entre en communication avec un vivant.

- moui…

Répondit le brun sans y croire. Le blond sourit et se leva en lui signalant que cela allait être l’heur de la réunion des responsables du camp. Evan se leva aussi, mais attrapa Loïc par l’épaule et lui demanda de ne pas parler au autre de ce qu’il avait fait ce matin.

Les deux garçons se séparèrent. Le brun pour se rhabillé et le blond pour prendre ses calcules pour la nourriture de la journée.

Quinze minutes plus tard il était dans le salon du deuxième étage en train de parler avec tous les autres chefs de la journée à venir. Justine était chargé de la communication, elle aidait à la coordination entre les autres secteurs et de faire parvenir les annonces au habitant du camp, Evan était chargé de la sécurité, il devait vérifier l’état des barrière de protection et organisé les tours de gai, Loïc devait comme dit précédemment gérer la nourriture et les cultures, Jennifer était la chef des cuisines, elle était chargé de faire les repas de midi et du soir ainsi que de veiller à que toutes les cuisines du camp était en état, Xavier s’occupait des nettoyages aussi bien dans la rue unique du camp que dans les maisons qui le composait, Laurent et Dimitri s’occupait de l’animation et Fanny était la secrétaire du camp, elle notait tout ce qui était à faire dans le camp et le classait par ordre de priorité.

La réunion ce termina et tout le monde partie à sa tache. Evan retourna dans sa chambre après avoir changer ses pansements et se contenta de regarder le ciel. Les mots : « envole toi » lui revinrent à l’esprit et il sourit. Que voulais dire Basil par là ?
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Evan _
MessageSujet: Re: Evan Evan EmptyLun 5 Juil - 4:02

- Tu es sur que on peut rentrer on va pas le déranger ?

Loïc venait d’ouvrir la porte de la chambre d’Evan. Il tenait une grosse valise. Justin,e Jennifer et Xavier la suivaient portant tous des affaires de Loïc : Il avait été décidé de crée une bibliothèque dans la chambre de Loïc ce matin là au conseil.

Le blond devait évidemment dormir quelque part et comme il faisait parti du conseil, il devait, rester dans la maison principale. Il n’avait donc pas le choix, Loïc devait vivre avec Evan : Xavier ayant une petite chambre servant aussi de bureau et Justin et Jennifer vivant ensemble. Celui ci était au courant, mais avait très vite oublié après la séance et il s’était rendormi.

La mesure prenait court la journée même et donc Loïc, avec l’aide de Xavier, Jennifer et Justine, déménageait. Malheureusement pour les deux garçons, Evan n’avait qu’un grand lit et non deux plus petit comme dans les autres chambres: ils allaient aussi devoir dormir ensemble.

- Ne t'inquiète pas, quand il dort il faut une bombe pour le réveiller.

Répondit Justine qui avait pour habitude de venir réveiller Evan le matin, malgré que son réveille sonnait tous les matins à sept heurs.

- Taisez vous ! Vous allez vous le réveiller.

- Trop tard !

Grogna le brun se soulevant de sous son drap. Les autres sourirent et Xavier qui avait donné l’avertissement éclata de rire. Evan bailla et regarda un peu surpris le groupe qui portait les affaires de Loïc.

- Evan… Tu te rappelles que je viens vivre avec toi ?

- Oui, je sais. Installe toi.

Le blond posa sa valise et rangea ses affaires tandis que le brun le regardait encore dans le vague sans savoir vraiment quoi faire d’autre. Quand l’autre garçon eut fini de ranger, il s’assit sur le lit. Evan ne leva et s’habilla. Il sourit à Loïc qui testait le lit. Il alla ensuite dans la cuisine pour prendre à manger comme il avait manqué le repas de midi.

Une heure plus tard, après une douche et une prise de tête avec Jennifer qui insistait pour envoyer une expédition vers la rivière qui se trouvait à une heure du camp, le garçon marchait dans une rue de la ville. Il s’était échappé du camp. Maintenant il n’avait même plus de nid pour s’enfermer seul. Il marchait dans la rue déserte vers une direction inconnue.

C’était fantastique de pouvoir marcher ainsi sans avoir personne pour avoir un avis sur lui. Sa main gauche attrapa le droite et remonta un peu elle toucha le pansement : il avait presque oublié ses blessures.

- Tu ne devrais pas trop les touchés ! Tu peux l’infecter et après ce sera plus douloureux.

Ambre ! Ambre était une ancienne membre du camp, mais à la mort de Basil, elle s’était enfuit. Personne ne savait vraiment pourquoi, mais elle avait vu son corps et s’était enfuit au début ils avaient cru que c’était la choque, mais elle n’était pas revenu, même pas pour l’enterrement de son ami. Il la regarda. Elle venait de surgir devant lui. Chaque fois qu’il sortait du camp et sans but précis ou pour une raison très peu important, elle venait. A croire qu’elle espionnait Evan.

Cela faisait déjà deux ans que Basil était mort et deux ans qu’elle se promenait dans la ville. Personne ne savait où elle dormait, se qu’elle mangeait ou même comment elle faisait pour échapper au Squard qui avait frappé à mort tout les indépendants de la ville. Par indépendant on parlait de ceux qui vivait seul et qui arrivait à subvenir à leur besoin.

- Salut, comment vas tu ?

- Très bien et toi ?

- Bien aussi. Tu ne veux toujours pas revenir au camp ?

- Non, cela fait maintenant trop longtemps…

Evan sourit. Ambre avait toujours été un peu étrange, mais cela c’était plus souligné quand elle avait quitté la communauté. Elle était capable d’aller se doucher alors qu’on lui disait de venir à la réunion ou de débrancher la télévision car selon elle, l’objet dégageait de mauvaise onde. Malgré ce petit grain de folie, Ambre était un vrai génie, c’était grâce à elle que le camp avait de l’électricité car elle avait réussit à leur faire une centre électrique miniature. C’était aussi grâce à elle que les potagers et vergers étaient arrosé régulièrement : problème qu’elle avait réglé avec une trentaine de bambou et deux tuyaux en plastique qu’elle avait fait fondre.

Les deux amis commencèrent à discuter tranquillement un parlant dans la rue vide. Le brun essayait d’en savoir plus sur la vie de la jeune fille, mais celle ci restait arrivait à détourner ses questions ou répondait tout autre chose. Ambre en apprenait beaucoup plus sur lui. Elle avait même déjà deviné certaines choses.

Il se trouvait maintenant dans un parc un peu avant la piscine qui était fermé depuis bien longtemps. De là ils voyaient les lumières du camp. Ils étaient pourtant de l’autre coté de la ville, mais comme celle si était dans une vallée on voyait facilement l’autre coter.

La ville était calme trop calme. Evan assit à coter d’Ambre revoyait le passé, un flashback.
Explosion_by_defi_nation.jpg


~~Evan était avec Basil, Fanny, Ambre et Jennifer dans le même parc qu’il était. Ils mangeaient la nourriture d’un fast food qui à l’époque se trouvait dans la gare. Elle se trouvait en contre bas du parc. Ils étaient tous en silence à regarder la ville plongée petit à petit dans l’ombre. Les lumières s’allumaient et la ville se résumait à des formes sombres et des centaines de point de lumière.

Les sirènes d’alertes se mirent à cirer. C’était assez fréquent, mais très vite elles se turent, plus vite que d’habitude quand c’était d’autre ville de la région qui était bombardé. Le groupe d’ami s’était levé, mais il n’avait pas eu le temps partir qu’un avion passa au dessus de la ville. Enfaite ce n’était pas qu’un avion, mais les autres étaient restés en altitude.

Il passa au dessus de la rue principal de la ville et deux bombes se décrochèrent de sous ses ailes. Elles tombèrent sur les arbres taillés en carré et explosèrent faisant voler des débris partout.
Evan Explos10
Les amis restèrent tétanisés : c’était les premières bombes qui tombaient sur la ville et ils avaient été à la première place pour vous cette horrible spectacle.

Jennifer prit très vite les choses en main. Elle cira qu’il fallait partir tandis que d’autres bombes frappaient le sol de la petite ville Suisse. Ils partirent tous en courant vers un immeuble proche et descendirent dans les caves. Ils y retrouvèrent les habitants de l’immeuble et ils leur racontèrent ce qui venait de se passer. Ceux ci les avaient écouté et on voyait très bien l’effroi dans leurs yeux. ~~

Cela faisait plusieurs mois que la ville n’avait plus été bombardée. Pour les autorités romandes la ville n’était plus habitée et plus habitable. Plus personne ne venait, n’y ne passait dans cette ancienne citée horlogère. Dire que de nombreuse personne connu était née, avait vécu ou avait passé à La Chaux-de-Fonds : Le célèbre peintre, Léopold Robert y était née, Le Corbusier y était aussi née et y avait vécu un certain temps, Leonardo Dicaprio était passé à l’époque des 17 ans d’Evan.

Ambre se leva et le regarda. Elle lui sourit et dit :

- Je dois y aller ! Bonne nuit et n’oublie pas que les morts donnent parfois de bon conseil.

Sur ce la jeune fille partit en courant. Le garçon n’avait pas envie de lui courir après. Il se leva à son tour et rentra au camp.

Quand il rentra dans sa chambre Loïc essaya de savoir où il était allé et il finit par arriver à ses fins. Evan lui avoua tout et lui raconta son souvenir. C’était étrange, mais le blond lui inspirait toute confiance.

Vint le soir comme il faisait beau tout le monde mangea dans le rue ou les jardins. L’ambiance était au beau fixe. On riait et parlait fort. C’était une belle journée et personne n’avait eu beaucoup de travaille.

A la fin du repas Fanny fit les annonces du soir au micro. Elle se plaisait à faire sa et à aider Justine dans la communication. Elle parla d’abord de la météo qu’on prévoyait selon la télévision « Romandie TV ». Elle fit ensuite les différentes recommandations et annonces.

Evan, Loïc et Justine étaient monté sur le petit balcon de la maison principal. Le soleil qui se trouvait à l’ouest était presque couché, mais il chauffait le camp avec ses derniers rayons et tout le monde était dehors pour en profiter.

Ce fut à ce moment paisible à souhait que le talkie-walkie d’Evan cracha une phrase incompréhensible. Le jeune homme l’attrapa et demanda qu’on répète la phrase. Celle ci revint vite quoi que quelque peu perturber de la friture.

- Des Squards… à l’entré prince...ipale. Ils vous demandent !

Les trois comparasses qui bronzait sur le balcon se levèrent d’un bon et chacun partit chercher les autres chefs du clan. Quand ils arrivèrent à la grande porte, presque tous les habitants du camp c’était rassemblé devant ces grandes portes faites de fer récupéré dans la ville : une grand partit des barrière de jardin y était passé.

Il monta sur les rempares qui entourait cette sortie. C’était par là qu’il faisait passer mini van qui allait chercher du matérielle quand ils en avaient besoin. Quand ils furent alignés pour voir le petit groupe de Squards qui se trouvait devant la porte. Justine demanda froidement:

- Que voulez vous ?

- Juste votre camp… Qu’il nous soit ouvert demain matin à onze heurs !
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Evan _
MessageSujet: Re: Evan Evan EmptyJeu 8 Juil - 4:23

Les Squards étaient remontés sur leur moto et étaient immédiatement repartis sans se retourner. Ils n’avaient pas vu les visages surpris, énervés ou encore emplis de peur des membres du comité gérant le camp. Ils n’avaient pas non plus, et heureusement, vu le doigt d’honneur que leur faisait Jennifer et ne l’entendirent pas dire qu’il fallait si attendre.

Cet évènement fut suivit par un conseil d’urgence. Celui ci fut mouvementé. Personne n’était d’accord, certains voulaient fuir, d’autres voulaient se battre et les derniers voulaient attendre. Evan ne savait pas vraiment que faire. Justine décida de clamer le jeu car on ne s’entendait plus.

- Calmez vous ! Evan comme tu dis rien tu décide…

Un grand silence se fit. Le sort du camp était entre ses mains. Evan commençait à paniquer et prit la parole sans savoir vraiment comme il allait finir.

- Je pense que… le mieux serait…

Une idée se décida à prendre le déçu sur les autres dans la tête du garçon qui l’expliqua :

- Nous ne pouvons pas abandonner le camp ainsi. Il nous faut un lieu où aller, un lieu cultivable ou vivable, loin des Squards. Voilà se que nous allons faire, nous allons resté au camp et on va solidifier nos défenses et en même temps un groupe cherchera un lieu plus sur pour nous tous…

Tout le monde respecta sa décision, même si certains la trouvaient bête et immature. Après cette réunion, tandis que tout le monde retournait dans sa chambre ou sur son lieu de travaille, Evan prit l’aire sur le balcon. Le soleil commençait doucement à ce coucher et l’aire devenait frai. Une odeur de feu lui vint. Un petit groupe d’adolescent rigolait au tour d’un feu dans un jardin. Une nouvelle vague de souvenir inonda l’esprit du garçon.

Il fut sortit de sa rêverie par une main se posant sur son épaule. Il tourna la tête. C’était Justine, elle lui sourit et lui dit :

- Je pense que tu as fait un bon choix.

- Un bon choix ? Je n’avais pas envie de faire de choix du tout !

- Mais il fallait bien que je choisisse quelqu’un !

- Tu aurais du choisir Loïc. C’est un bien meilleur meneur que moi !

La fille soupira et s’appuya comme lui à la rambarde Evan regrettait déjà d’avoir crier sur son amie, mais il ne voulait pas s’excuser maintenant. Il soupira à son tour et trouva quelque chose à faire.

- Je vais faire la révision des barrières et rempare de camp. Il ne faut pas une faille demain matin.

Il se redressa et partit faire ce qui venait de dire et y mit tout son cœur, même si cela ne l’excuserai pas auprès de Justine au moins il protégeait tout le monde. Il prit même la décision au alentour de 22h heures de doublé le nombre de personne pour la surveillance.

A 23 heures, le brun eut enfin finit. Il retourna dans sa chambre et en essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Loïc. Il marcha jusqu’au lit et s’y laissa tomber en peu brusquement, il se dépêcha de se tourner vers contre le mur par peur d’avoir écraser son colocataire.

Le silence restant constant, il entreprit de se débarrassé des ses habilles : il dormait en boxer. Il se tortilla pour tout enlever en restant bien de son coter du lit. Une fois cela fait il jeta ses habilles dans la chambre. Il ne sut pas vraiment où est qu’ils étaient atterris et espéra qu’ils n’étaient pas passés par la fenêtre.

Il se glissa sous les draps en restant le plus loin possible de Loïc. Il n’avait pas l’habitude de dormir avec quelqu’un et ne voulait surtout pas déranger l’autre garçon.

Evan allait s’endormir après quelque minute quand la porte s’ouvrit doucement. Le brun ne comprit pas tout de suite, mais quand la porte se referma et qu’il entendit quelqu’un bouger dans le noir, il en vint à la conclusion que le blond n’était enfaite pas coucher. Dans le noir complet, il partit à la recherche du bouton de sa lampe de chevet.

Quand il le trouva, Evan le pressa et la lumière s’alluma. Il découvrit Loïc plier en deux en train d’enlever son pantalon. Celui ci devint tout rouge et marmonna des excuses disant qu’il croyait faire moins de bruit.

- Ne t’excuse pas je viens de me coucher !

- Ah… Super, je crois que j’ai oublié de te parler de mes… préférences.

Ses préférences ? Evan resta quelque instant perplexe devant cette phrase cherchant activement dans son cerveau quelques choses concernant les préférences du blond. Il se souvint enfin, celui ci lui avait parlé du coté du lit qu’il préférait occuper.

- Si, tu m’en a parlé ce matin !

- ah… cool… et ça te dérange pas ? Si non je peux toujours prendre un matelas et dormir parterre !

- Non pas du tout !

Le brun se poussa vers la droite trouvant ce pendent Loïc étrangement gêné pour un simple sujet de coté de lit. Celui ci lui sourit et Evan lui rendit.

Les deux garçons s’étaient couchés et la lumière était éteinte depuis un moment quand Evan n’arrivait pas à dormir et s’inquiétait. Il avait peur que sa décision ait été mauvaise. Il ne savait pas ce qu’en pensait Loïc qui ne lui en avait pas dit un mot.

Le brun se tourna et se retrouva face au visage du blond. Il le détailla quelques instants avant de se rendre compte qu’il avait aussi les yeux ouverts et qu’il souriait : la fatigue ne réussissait pas du tout à Evan.

- Ev’ ? Je n’arrive pas à dormir… J’ai peur pour demain, tu as prit une bonne décision, mais… j’ai peur que l’attaque des Squards ne soit trop violant.

- J’ai aussi peur… Loïc… Merci pour l’autre jour, merci.

Le blond lui sourit et Evan commença à jouer avec ses bandages. Soudain une main vint l’arrêter dans son jeu. Il regarda Loïc avec une aire surpris.

- Ne joue pas avec. Si non les blessures mettront plus de temps à guérir.

Evan s’endormit doucement sans s’en rendre compte. Ce ne fut que plus tard dans la nuit que Evan se réveilla. Le matelas avait une texture étrange. Il leva la tête et sa peau sembla se décoller. Il se tourna et après une mini chute atterri sur le vrai matelas.

Le garçon se redressa brutalement. Il avait du se tourner en dormant et s’était retrouvé coucher sur Loïc. Heureusement que le blond dormait si non il aurait vu son colocataire rouge comme un coquelicot en fleur ou comme une rose rouge.

Evan s’assit dans le lit encore complètement rouge. Il se rendit alors compte de ce qui l’avait réveillé : un tumulte régnait dehors.

Des cris, des bruits de moto et des dérapages. Le garçon se leva et au même moment il vit la lumière passer sous la porte. Quelqu’un venait d’allumer la lumière dans le couloir et il entendit plusieurs portes s’ouvrir.

Le brun se leva et alla regarder à la fenêtre tout en regardant l’heur : 3h00. Evan regarda d’abords dans la rue en dessous et vit quelques personnes qui semblait affoler et qui partait dans des directions différentes. Il balaya la rue du regard puis regarda vers la porte principale. Celle ci était étrangement éclairée.

Evan se pencha pour mieux voir, mais il n’arrivait pas à voir ce qui se passait exactement, mais il entendait des rires et des bruits de moto. On toqua à la porte et il reconnu la voix de Xavier dire :

- Les Squards ont entouré le camp et la majorité d’entre eux sont devant la grande porte avec leur chef. Justine demande une réunion dés que tout le monde est réveillé.

Le garçon frissonna et essaya quelques instants de voir ce qui se passait vers la grande porte. Une main froide se posa sur le flan gauche du garçon. Cela le fit sursauté. Immédiatement une autre main se posa sur son épaule dans le but de l’apaiser : c’était juste Loïc qui venait de se réveiller.

- Qu’est qui se passe ?

- Le camp est encerclé par les Squards. Certains cherchent un moyen de rentrer… Ils n’ont vraiment rien d’autre à faire.

Evan était exaspéré. Il fallait que quelqu’un vienne gâcher leur petit paradis. Il avait mit tant de temps à le construire et maintenant que les bombes ne tombait plus sur la ville des abruties, on ne peut pas les appeler autrement, venaient tout menacer.

Ils se rhabillèrent rapidement mettant un peu ni porte quoi. Loïc mit même un T-shirt un peu trop petit pour lui d’Evan. Ils descendirent les escaliers et arrivèrent dans le salon.

Ils étaient les derniers et la réunion commença, mais elle ne mena à rien. Certains ne firent que critiqués l’idée de responsable sécurité et Evan remarqua que Justine se jetait à elle même la faute. Il en eut marre et son caractère de cochon prit le dessus. Il se leva et dit :

- Vous auriez fait quoi à ma place ? Quittez le camp comme des lâches ? Vous n’avez pas comprit, les Squards sont pas plus intelligent qu’il ne le laisse paraître, mais ils ont en cerveaux et s’en servent un minium ! Regardez en ce moment il examine chaque parcelles de nos murs. Et nous que faisons nous ? Nous nous disputons au lieu de les observés et renfoncés nos protections ! Jennifer fait aiguisé tout les couteaux de la cuisine ! Justine fait évacuer la crèche et emmène les enfants vers un sortie, si les Squard entre sortez du camp et allez vous réfugiez au centre commercial, Laÿna t’aidera ! Fanny lance un appelé au volontaire pour se battre ou fortifiez les murs ! Xavier trouve des armes ou des moyen de dissuasion !

Tout le monde à la plus grande surprise du garçon exécuta ses ordres. Loïc lui demanda alors :

- Et moi qu’est que je fais ?

- tu viens avec moi. On va jeter un froid à leur fête…

Le blond sourit, apparemment Evan avait une idée derrière la tête et il allait froidement faire regretter au Squards d’être venus.

Les deux garçons se dirigèrent vers une salle où étaient rangé des ballons dans des grands filets. Ils étaient utilisés pour les fêtes ou pour les plus jeune. Ils tirèrent les filets jusqu’à la grande porte et sans se parler, ils ouvrirent les filets et commencèrent à lancer les ballons le plus fort qu’ils pouvaient sur les motos et les Squards.

Un cri striant se fit entendre, c’était la chef qui faisait une crise. C’était une femme assez grande, de long cheveux brun foncé et des habilles noirs. Elle était entourée par ses trois larbins, trois hommes du même âge qu’Evan.

Ils était différent les un des autres, mais il était tous plus petit que la chef. Le plus petit les cheveux brun coupé ras avait un sourire sadique sur les lèvres et devait se délecter de la surprise des deux jeunes hommes. Un autre qui en taille se trouvait entre les deux avait la peau bronzée, un peu comme les indiens et affichait aussi un sourire satisfait. Le troisième presque aussi grand que leur chef, portait des lunettes ovales qui lui donnait un aire un peu ahuri et avait des cheveux frisés.

Celui qui se trouvait être le « moyen » des trois adressa un doigt d’honneur à Jennifer qui venait d’arriver. Celle ci piqué au vif attrapa une balle et l’envoya dans la figure du jeune homme celui ci en perdit son sourire satisfait.

La petite bataille reprit les Squards se trouvant au pied de la porte renvoyaient les balles, en espérant les touchés, que leur lançait ceux du camp. En même temps ceux du camp ramassait les balles et rigolaient bien de cette bataille de ballon.
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Evan _
MessageSujet: Re: Evan Evan EmptyVen 23 Juil - 3:16

Evan était assit dans son lit. Les Squards après la mémorable bataille de ballon était repartit, mais ce n’était que partit remise et il allait revenir. Il savait néanmoins que le camp n’allait pas être abandonner comme sa.

Il rêvassait plusieurs groupes étaient partit à la recherche d’un nouveau lieux pour reconstruire le camp. Il avait peur de partir de son propre choix.

Le brun se leva, Loïc était allé tenir la boutique, le laissant seul. Le blond était agréable comme compagnie. Il ne se souvenait plus depuis combien de temps ils se connaissent, n’y comment il s’était connu, mais le chef fermier avait toujours été de bonne compagnie.

Evan se leva doucement. Il avait très peu dormi, mais n’arrivait pas à se rendormir. Il ouvrit la grand armoire de bois et en sortit son ordinateur portable. Il l’alluma et retourna sur un site internet qui avait fait faillite il y a bien longtemps. Il avait très bien marché à l’époque, mais dés le début de la guerre plus personne n’allait dessus : on pouvait être espionné trop facilement. Plus personne ne l’utilisait, mais tout était resté sur internet et personne n’avait pensé à supprimer tout ce qu’il y avait sur son compte.

Il fit le tour du site et finit par arriver sur les photos. Plus particulièrement celle de son dix-huitième anniversaire. Il l’avait fêté au bord du lac de Neuchâtel à quinze minutes en voiture de La Chaux-de-Fonds. Les souvenirs revenaient en masse dans son esprit.

~~~~~~~~~~~~
Tout le monde rigolait. Le feu crépitait tranquillement et les verres se remplissait et se vidait. Ils étaient tous là, Justine, Loïc, Basil, Jennifer, Ambre et encore bien d’autre. C’était un anniversaire réussit et heureusement qu’il l’avait en été.

- Je retourne à l’eau qui m’aime me suive?
Evan 368930_lac
Basil avait toujours de ces idées folles, mais tellement bien. Il y avait que lui pour vouloir se baigner alors qu’il faisait nui et que tout le monde était bien au tour du feu. Plusieurs de ses amis avaient protesté disant que l’était était trop froide, mais quand son ami avait une idée en tête il fallait une guerre pour l’arrêter et encore…

Quoi qu’il en soit le garçon avait déjà enlevé son T-shirt se retrouvant en short de bain. Evan sourit à cette perspective. Il se décida à rejoindre son meilleur ami.

- Allez je viens avec toi ! Restez avec vos bouteille vous allez rater quelque chose.

Il enleva son T-shirt et suivit l’autre brun dans le lac. L’eau n’était pas chaude, mais il rigolait bien.

Arrivé à une distance raisonnable de la rive, Basil se retourna et prit la décision de couler son ami, mais celui ci ne se laissa pas faire. Un bataille entre les deux garçons prit court, ils furent tout les deux couler à plusieurs reprises.

Ils trouvèrent un rocher où il avait pied pour reprendre leur souffle. Évidement il devait se tenir l’un à l’autre pour ne pas tomber en arrière dans l’eau. Il reprenait leur souffle en rigolant de leur équilibre précaire.

Basil perdit l’équilibre et commença à partir en arrière. Il ne risquait rien, mais pourtant Evan le rattrapa à la dernière minute en son bras dans le dos de l’autre brun et le ramena puissamment contre lui.

Ils se retrouvèrent coller l’un à l’autre leur peau se touchant. Evan était rouge écarlate de ce faites il était donc sur que Basil voie sa gêne, mais celui ci passa sa main dans son dos en une douce caresse.

Bien qu’ils soient humides les poiles du corps de tout le garçon se dressèrent. Il avait des frisons et ne savait plus vraiment ce qu’il ressentait. Ses yeux se plongèrent dans les siens et Evan remarqua que Basil avait aussi les joues empourprées, mais que celui ci ne semblait pas vraiment gêner.

Les deux garçons restèrent l’un contre l’autre, peau contre peau, yeux dans les yeux quelques minutes avant que Basil ne fasse quelque chose à laquelle le jeune garçon ne s’attendait pas.

Il ferma les yeux avança la tête vers la sienne et l’embrassa, tout en faisant courir ses mains sur son dos. C’était doux et agréable. La chaleur de Basil et ses caresses firent qu’Evan commença à rendre son baiser à l’autre garçon.

Mais la voix de Xavier venant de la berge les sépara… enfin ce fut plus Evan qui les sépara. Il ne savait plus où il en était et ne comprenait pas pourquoi son ami l’avait embrassé. Il avait aimé, mais ne savait pas si c’était bien lui. Xavier cria plus fort et ils entendirent ce qu’il leur disait.

- Hé les sirènes ! Vous venez on ouvre une bouteille de champagne de ton âge, Evan !

Basil le lâcha et partit à la nagea vers la plage. Evan était perdu et regarda vers la plage on ne la voyait pas depuis où il était. Elle était caché par des roseaux et il ne put s’empêcher un soupire. Au moins les autres ne l’avait pas vu et il préféra pour ne pas se poser de question mettre le faute sur l’alcool.

Il rejoint le groupe et recommença à boire avec les autres, mais si une petite question plantait dans son esprit : Est que je suis gay ?
~~~~~~~~~~~~

Ce souvenir le fit frémir. Il avait vraiment aimé le baiser, mais ne savait toujours pas si il était gay ou pas. Il était sortit avec des filles, mais jamais il n’avait eut de baiser aussi prenant que celui là et cela lui faisait toujours peur. Il avait peur de lui même enfaite et un peu de la réaction des autres.

Les photos passèrent, résumant sa vie, la guerre et puis plus rien. Comme si tout s’était arrêté. Si seulement cela avait été comme ça. Enfin pas tout. Quelqu’un s’était reconnecté et avait marqué tout le monde sur une photo.

Il retourna s’installer dans son lit avec l’ordinateur. L’image lui avait fait un choque. C’était Fanny qui avait mis la photo, une photo de Basil souriant quelques heurs avant sa mort. On le voyait sourire et pourtant il savait qu’il allait mourir.

Il l’avait marqué sur l’ordinateur qu’il tenait de ses mains. Il avait annoncé sa mort et avait demandé plusieurs choses dans un document. C’était Fanny qui avait trouvé le dossier sur l’ordinateur et qui avait fait ce qui était écrit. Il ne savait pas comment elle avait fait pour trouver la force, mais elle l’avait fait.

Le brun rechercha sur l’ordinateur le document qui y faisait référence et ses recherches aboutir.

L’ordinateur avait appartenu à Basil avant d’être le sien et quand il l’avait reçu comme héritage sana jamais comprendre pourquoi. Il ne l’avait jamais vraiment utilisé et donc rien supprimer. Fanny s’était adressé à chacun leur disant un petit mot de la part de Basil. Il y avait la liste de tout ceux du camp avec marqué ce qu’il fallait leur dire. Le défunt avait vraiment tout prévu.

La document se finissait par un “Au moins je suis mort debout“. Il était bien mort debout en y repensant Evan se mit à pleurer.

~~~~~~~~~~~~
Basil avait reçu une lettre disant qu’il était convoqué sur la place du marché de la ville. Bien sur il n’en n’avait parlé à personne car tout le monde savait qu0une convocation à comparaître à la place du marché revenait à un condamnation à mort…

L’état avait décidé de supprimer tout les gens qu’il jugeait dangereux pour leur pouvoir. Basil n’avait rien fait de grave. A part crée le clan et aider à sa construction. Bien sur pour les juges de la ville cela signifiait une rébellion : un groupe de gens s’organisant en dehors de leur juridiction. Il voulait tuer le chef pour tous ne désunir.

Le matin même il s’était confié à Evan. C’était la première fois qu’il avait vu son ami pleurer. Il savait aussi qu’il ne pouvait rien faire. Si il était partit le jour de la lettre. Bien sur il ne comptait pas laisser le camp.

Les deux bruns avaient décidé d’y aller ensemble. Basil avait semblant pendant deux jours, mais tout lui revenait dessus et il n’arrivait plus à marcher correctement. Evan avait du l’aider à marcher. Il avait conduit son ami sur le lieu de sa mort, mais qu’est qu’il avait bien pu faire contre le pouvoir. Même aberrant, rien n’était possible. Il était trop armé et n’avait pas hésité à faire tuer la moitié des habitants de la ville.

Basil une fois sur place avait été enchainé et juger d’une manière plus que folle, pas de juge, pas de témoins, juste un acte d’accusation. Il y avait des tribunes en bois sur la place et Evan s’était assit dessus. Elles étaient presque vides. Plus personne n’appréciait les mises à mort. Après deux ou trois on était dégouté, sauf les juges qui gardaient le sourire à chaque meurtre.

L’officier qui devait le tuer était un vieil homme fou qui était le seul qui avait été d’accord de faire le sale boulot. Les autres avaient désertés et malheureusement pour les condamnés, l’homme était myope et ne portait pas de lunette.

Il tira une première fois et toucha la jambe de Basil qui tomba à genou en pleurant. Un des juges eut un rictus malsain et Evant eut une seul envie lui envoyer son poing dans les cotes et lui faire subir le même sort qu’à Basil.

Un autre coup partit et frappa Basil en pleine poitrine. Il s’effondra et sa tête tapa sans ménagement le sol laissant une tâche de sang sur le sol.

Le juge suprême demanda si quelqu’un voulait le corps, mais Evan ne répondit pas. Demandez à corps revenait à se faire exécuter la semaine d’après. Il se contenta de pleurer.

Depuis là il eut un gros blanc. Il ne savait plus comment il était renté dans le quartier qu’était le camp. Les barrières n’étaient pas encore finit et certaines des personnes qui les construisaient dire l’avoir vu passer. Il était vraiment fatigué après tout cela.

Fanny l’attendait devant le portail du jardin de la maison qu’il habitait. Elle était entourée de Luc, Xavier, Justine et Ambre. Les mots étaient sortir si doucement de la bouche de la jeune fille qu’il n’était que des murmures.

- Il est mort…

Elle avait trouvé la lettre en faisant du ménage et avait vu le dossier ouvert sur l’ordinateur, le dossier des dernières volontés du garçon.

Evan hocha la tête et Fanny tomba à genou comme Basil après la première balle. Ambre partit en courant, Justine se mit à pleurer, mais essaya de rattraper Ambre. Luc et Xavier n’y croyaient pas et par chance ils réussirent à rattraper Evan qui après avoir livrer le message était tombé dans les pommes.
~~~~~~~~~~~~

Evan pleurait vraiment dans son lit. Il éteint l’ordinateur et le posa sur la table de nuit. Trop de souvenir, c’était trop. Cela faisait trop mal et il finit par se coucher dans son lit et s’enroula dans le duvet. Il avait froid et n’arrivait pas à arrête de pleurer.

Quelqu’un toqua et entra. C’était Loïc : il n’y avait que lui pour toquer avant d’enter alors qu’il habitait là.

Le voyant dans son lit le blond s’inquiéta. Il s’assit à coter de lui et lui demanda ce qui se passait. Evan n’avait pas envie de répondre. Loïc sembla comprendre puisqu’il n’insista pas. C’était vraiment agréable être avec quelqu’un qui n’insiste pas sur son état.

Le plus musclé des deux, Loïc, se permit néanmoins une remarque lui disant que si il voulait en parler il était là, qu’il ne voulait pas le retrouver à s’ouvrir les veines à nouveau. Après quelques minutes, Evan s’était assit dans le lit à coter de Loïc.

Il lui parla les mots vinèrent facilement à sa bouche. Il lui raconta tout. Tout ce qu’il n’avait pas dit depuis plus dix ans. Il se écouta sans rien dire sans regard pour juger, il écouta jusqu’au bout. De son anniversaire au lac jusqu’à la mort de Basil.

Une fois son récit finit. Il regarda l’autre garçon qui ne disait toujours rien et une envie folle prit Evan, mais il se retînt.

Les mots du blond la nuit précédente repassèrent dans sa tête : “Je t’ai déjà dit pour mes préférences“. C’était évidemment, mais comment faisait-il pour être si bête, surtout que c’était Basil qui lui avait présenté Loïc.

Il y avait eut une époque où ses deux amis étaient sortit ensemble, personne ne l’avait sut sauf Evan qui l’avait deviné et qui les avait vu par la suite.

Le brun regarda à nouveau son confident approcha son visage du sien et déposa un doux baiser sur sa bouche, Il retira sa bouche presque immédiatement et rougit comme il l’avait fait.

Loïc était aussi rouge, mais sourit et approcha à son tour son visage de celui de son ami et l’embrassa en le couchant gentiment sur le lit.
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Evan _
MessageSujet: Re: Evan Evan EmptySam 9 Oct - 9:18

Quand le jeune brun se réveilla sa tête reposait sur le torse de Loïc. Un sensation de bien être le bercerait et Evan se contentait de regarder le visage de l’homme avec qui il avait passé la nuit.

Une question s’imposa à son esprit. Cette question commença à rendre la peau de Loïc de moins douce et la sensation de bien-être s’évapora pour laisser place à une inquiétude.

"Et si je ne faisais que remplacer Basil ?". La question pourrissait la mâtiné du garçon. Lui donnant des frissons.

Il se leva et ressembla ses habiles qui étaient éparpillés dans la chambre pour les mettre aux lignes sales. Il prit de nouveau en s’en vêtît : boxer blanc, Jeans bleu, chemise carrelé et blouson de tissu, il jugea cela suffisant pour la saison.

Evan sortit de la chambre et descendit les trois étages de la maison et sortit dans la rue, hors du camp. C’était toujours à l’extérieur qu’il allait pour réfléchir et vu l’heure matinale personne ne pouvait l’en empêcher. Il en était même surpris car d’habitude il dormait beaucoup plus de temps, on le surnommait même des fois la marmotte du camp.

Le grand brun descendit la rue Combe-Grieurin et arriva au premier croisement : à gauche la rue qui menait au centre ville, tout droit la suite de la rue et à droite des escaliers montants à la rue supérieur et parallèle.

Le jeune homme décida de prendre le chemin qu’il n’avait pas prit depuis vraiment longtemps : Les escaliers.

Evan commença son ascension. Les escaliers n’étaient pas si longs que ça, 100 mètre au grand maximum, mais il était particulièrement raide, cela faisant quand il arriva, en haut des marches, essoufflé. Il n’était pas un grand sportif, même si il était encore assez mince.

Il remarqua néanmoins très rapidement que quelque chose n’allait pas bien. Des tentes blanches se dressaient fièrement sur la rue et le par cet les portes des grands garages collectifs étaient ouvertes.

- T’es pas d’ici ?

Cracha un homme qui venait de se placer à sa gauche et qui l’approchait de façon inquiétante. L’armoire à glace qu’était cet homme impressionnait Evan qui essayait de ne pas le montrer. Cet homme ressemblait vraiment à un troll habillé d’un Jeans et d’un blouson de cuire noir. Cette pensée permis à Evan de se calmer imaginant la terrible créature que fut le troll habillé comme son agresseur.

Quelques choses heurta alors le haut de son crâne et sa vu se troubla, ses jambes le lâchés et le jeune homme comprit qu’il se reprochait du sol. Puis se fit le vide.

Evan se réveilla sur un lit de sois rouge et couvert d’une couverture rouge dans la même matière que les draps. Sa peau presque en totalité toucher cette doucement matière. Il se rendit compte qu’il n’était plus que vêtu de son boxer.

La soie lui donnait une sensation de douceur qu’il avait oublié depuis bien longtemps. Quand ça vu se fit complètement net, Evan s’assit dans le lit. Les couvertures de soie glissèrent sur son torse le caressant doucement.

Les murs blancs claquaient sous un vent assez fort. Le jeune homme se rendit compte qu’il se trouvait dans une des tentes qu’il avait vues depuis le haut des escaliers. Le jeune homme ne s’attendait pas à voir des meubles dans une tente : le lit était à baldaquin, un coiffeuse en bois avec un grand miroir rond y trônait et un grand canapé rouge en cuire.

Il se frotta les yeux vérifiant qu’il était vraiment réveillé. Ce geste aussi bien inutile pour vérifier si il était dans un rêve s’avèrera plus utile pour remarquer la femme qui se trouvait avec lui dans le lit.

Elle était grande habiller d’un peignoir surement de soie d’un bleu royal plutôt vif. Les cheveux de la jeune femme, elle avait environ le même âge qu’Evan, tombait en cascade sur son dos et ses épaules. C’était le chef des Squards.

Les Squards, ils étaient bien plus près que ce que ceux du camp le savait. Il fallait les prévenir du danger car depuis le parc on pouvait facilement lancer des fusées ou des objets explosifs sur le camp créant une panique et un feu presque impossible à arrêter.

La femme s’assit s’appuyant contre le jeune homme collant tout son buste contre son dos. Evan était rouge comme une tomate. Elle caressait son flan droit et le jeune homme était de plus en plus mal à l’aise.

Il finit par se lever poussant la jeune femme.

- Désoler, mais… Je ne veux pas faire ça.

- Quoi ?… Mickeäl, tu t’en occupes !

Mickeäl, il le connaissait, c’était quelqu’un qu’il connaissait. Il avait déjà eu des problèmes avec lui. Il ne le supportait pas et, là, il espéra qu’il ne le reconnaîtra pas.

Celui ci arriva, ce démarche était toujours la même. On avait l’impression qu’à chacun de ses pas il devenait plus petit de quelques centimètres : c’était assez hilarant. Il n’avait pas beaucoup grandit depuis la dernière fois qu’il l’avait vu.

Celui ci sourit en le voyant, aucun moyen de savoir si il l’avait reconnu. Evan frémissait, il avait de plus en plus peur que Mickaël, mais l’autre homme passa droit devant lui et lui fit signe avec la main de le suivre.

Le jeune suisse put respirer et suivit Mickaël qui était bien plus petit que lui ce qui le fit sourire. Depuis leurs 17 ans Evan avait grandi encore un peu, mais l’adepte de judo pas vraiment car oui Mickaël était passionné par ce sport japonais et le Japon plus généralement.

Son guide le conduit dans un des garages collectifs pouvant aussi servir de refuge en cas de bombe. A l’intérieur toute une base informatique et électrique y était installée.

- Reste pas le bouche ouverte.

Evan s’empressa de la fermer ce qui déclencha un rire chez Mickeäl c’était sur maintenant, il ne l’avait pas reconnu. Dans ce garage il y avait un lit de camp et un hamac l’un au dessus de l’autre. C’est surement là qu’il allait dormir ce que confirma l’autre homme en lui disant qu’il prenait le lit et qu’Evan serait obligé de dormir dans le hamac.

Très rapidement le nouveau venu dans ce groupe, où il ne comprenait pas grand chose, fut briffé sur le fonctionnement du camp temporaire des Squards.

Ils n’étaient pas spécialement très organisé, mais des quantités de nourritures et des heures des repas fixe et deux trois interdictions formels comme ne jamais s’adresser à un habitant du Camp sans lui lancer des regards plein de méprit et avec un ton aussi odieux que possible.

Il se mit ensuite au travaille. Le grand brun devait rentrer des informations sur les comptes des Squards sur un ordinateur plus qu’antique. Contrairement à ce que certains auraient fait Evan y mit tout son cœur pour oublier cette question qui le dévorait : Est que, pour Loïc, il n’est qu’un remplaçant de Basil ?

Quand l’heur du repas arriva, Evan et Mickeäl montèrent dans la tente des repas un grande tente pleine d’homme que des hommes, mais le jeune homme n’y fit pas attention, il avait faim, vraiment faim. Il dévora le contenu de son assiette, même si celui était bien loin d’être appétissant, n’y même bon.

Le repas finit, il alla se coucher et s’endormit aussitôt lissant Mickaël essaye de le convaincre des beautés du japon tout seul et cette nuit là, comme les dernières, fut proie à un nouveau message de Basil.
~~~~~~~~~~~~
Evan se trouvait à nouveau dans un lieu fait de blanc tout était blanc, mais il n’y avait pas de mur, pas de plafond, juste un sol blanc et lisse, mais sans être glissant, ni être rugueux, ni collant. C’était un sol sans particularité spécial.

Là au milieu de nul part apparut Basil, comme il y a 17 ans, comme si le temps n’était pas passé. Il se rendit compte soudain que lui avait aussi rajeunit.

- Evan, n’oublie pas le Camp et Loïc…

Le jeune homme ce mit en colère. Basil était mort et il pourquoi il suivrait les conseils d’un mort ! Loïc avait été tellement doux avec lui que Evan ne savait si il avait été franc, mais une autre partie de lui hurlait que le beau blond n’était en rien un menteur. C’était plus de la colère contre lui que contre Basil.

- Et pourquoi ? Je ne peux pas vivre heureux ici ? Je veux juste oublier tous mes problèmes !

- Ce n’est pas ainsi que tu y arriveras. Evan, Loïc t’aime vraiment et puis ce n’est pas en fuyant son problème qu’on le fait disparaît.

Evan se tut, vexe, mais en même temps heureux que Basil soit là et lui dise que le beau blond qu’il aime, l’aime aussi, même si ce n’était qu’un rêve une partie de lui.

Il ne s’était jamais vraiment poser la question à sujet et maintenant cela commençait à le perturber. Il suivait les conseils de ses rêves, mais en quoi était-t-il connecté à la réalité ? La question lui brûlait les lèvres et celles ci finirent par la formuler. Evan regretta immédiatement de l’avoir poser, mais c’était trop tard.

- Basil… qu’es tu vraiment ?

L’autre garçon qui était censé être mort sourit, même si cela ce voyait il avait été surprit et lui répondit simplement.

- Je ne peux pas te le dire, mais tu le s’auras bien un jour. Envoles toi maintenant !

Ce fut comme dans un de ses rêves précédents, des ailes posèrent dans le dos d’Evan et il fut propulsé dans le ciel qui avait soudainement prit forme. Contrairement à la dernière fois Basil l’avait suivit, mais d’un manière bien différente. Il s’était transformé en un magnifique merle noir.

Une fois à environ de 200 mètre au dessus du sol le jeune homme s’arrête de monté en pique et pu voir en dessous de lui la ville de La Chaux-de-Fonds. Le merle qui quelques instants au par avant était Basil partit en voltant joyeusement. Evan voulut le suivre, mais ses ailes ne voulaient pas le poser vers l’oiseau.

Cette fois encore un avion apparut et commença à bombarder la ville. Cette fois les ailes du jeune homme le posèrent sans qu’il le veuille vraiment vers le petit aéroport de la ville et il se retrouve comme la dernière fois dans l’hangar où reposait un monstre d’hélium, un dirigeable.

Cette fois ci tout était différent, il n’était pas seul, tout ses amis du Camp était a avec lui et Loïc vint même la lui prendre. Ce qui n’empêcha pas Evan de rougir. Il n’avait pas l’habitude de montrer ainsi qu’il aimait quelqu’un. Les autres les regardaient en souriant.

Malheureusement comme la dernière fois le hangar se dissipa, tout comme le sol. Evan resta en l’aire grâce à ses ailes, mais ils étaient bien le seul. Il plongea alors dans le bute d’attraper le main du beau blond.

Soudainement il fut attiré vers le haut, ne pouvant pas aider son amoureux. Il hurla de colère et de tristesse tandis que des larmes coulaient sur ses joues.
~~~~~~~~~~~~
Quand il rouvrit les yeux Mickeäl se tenait juste au dessus de lui. Evan avait réellement pleuré et avait surement crié. Il poussa l’autre homme pour pouvoir s’asseoir. Il était tout transpirant. Discrètement, il se toucha le dos qu’il sentait douloureux, évidemment il ne sentit rien ce qui le rasure la moindre.

- Tu vas bien ?

- Oui… J’ai juste fait un cauchemar.

Les deux hommes se douchèrent chacun leur tour : le lieu étant équipe d’un sorte de douche préparer à cette effet. Ils allèrent ensuite prendre le repas matinal qui au goût d’Evan s’avéra infecte. Il voulait retourner au Camp, vers Loïc.

Tous les mondes le dégoûtaient et il ignorait comment il avait pu penser qu’ils étaient gentils. Il se rendait maintenant compte que toutes les chiffres qu’il avait rentré hier sur l’ordinateur était suffit d’un adresse et d’un mot tel que « prit »ou « volé ». Il avait volé ses sommes.

Evan s’écroula ses jambes le tenait à peine. Il avait été bien bête aveuglé par son mal être. Il sortit de la tente des repas prétextant se sentir mal. Ce qui était évidemment le cas. Il aurait voulu s’enfuir à ses moments, mais ses jambes étaient trop faibles. Évidement des gardes surveillaient les alentours et ne l’aurait surement pas laisser partir.

Le jeune homme devait partir il allait devoir s’enfuir et vite. Il devait tout prévoir pour qu’il n’y ait aucun problème. Les forces d’Evan commençaient à lui revenir, mais un sentiment de manque. Il savait maintenant qu’il aimait Loïc car c’était lui qui lui manquait.
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