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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Ce matin vous vous êtes levé sans savoir qu'aujourd'hui allait être un tournant dans votre vie. Vous ignorez encore que vous venez d'entrer dans le monde de la magie, non plus comme un simple spectateur, mais comme futur acteur. Des acteurs bien prometteur, peu importe votre âge ou à quel point vous êtes humains, tant que vous possédez un cœur capable de battre la chamade en connaissant l'amour, tant que vous avez un esprit capable de rêver l’inimaginable, vous êtes les biens venus. Dantremont l'école où vous allez apprendre à utiliser votre baguette, comme un pinceau pour la réalité. Vos chemins vous on conduit vers notre école, alors bienvenue!

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Tueur en série.

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Tueur en série. _
MessageSujet: Tueur en série. Tueur en série. EmptyVen 9 Avr - 8:47

La lame ensanglantée

(Une nuit fraiche, comme je le aimes), pensais-je en roulant aux bords de ma chevrolet verte kaki, décapotée. Le sourire aux lèvres, ma main gauche posé sur le volant à « 10 heure » et la droite sur le levier de vitesse, je passa ma main le long de mes cheveux pour les aplatir et j'en profita pour replacer mes lunettes de soleil noirs qui commençait à glisser de mon nez. Après quelque minute que je consacra aux respects des règles de conduites, je me gara à demi sur le trottoir de la rue Lilas, un vieux coin d'un petit village français – pays que j'avais choisis comme lieu de résidence pour cette année.
J'humais l'air autour de moi comme pour sentir un agréable parfum que l'on venait de diffuser à l'instant. (J'aime cette instant), me dis-je dans ma tête, allumant une cigarette que je fumais fenêtre et porte fermées, en pensant au moment où l'air était si glacial que l'on pouvait deviner à dix kilomètres à la ronde qu'un drame allait se produire dans les minutes qui suivaient la sensation.
Une fois la cigarette fumée aux deux tiers, j'ouvris la porte de la chevrolet laissant s'envoler un nuage de fumé et je sortis de la vielle voiture puis je m'avançais d'un pas déterminé vers le porche assombrissant la porte d'une vielle maison à deux étages, aux murs rouge foncé et au toit tuilé. Je mis ma main dans ma poche droite que je retiras juste après d'un geste vif, en tenant une clef violette que j'entreposai dans la serrure avant de la tourner vers la droite, déclenchant le déclic du verrou de la serrure et d'un geste doux et silencieux, j'attrapais la poignée que j'abaissais rapidement d'un mouvement naturel. Puis, d'un léger geste vers l'avant produit par ma main tenant la poignée, la porte s'ouvrit sans aucune difficulté. Après avoir franchi la porte en quelque pas léger, je la ferma et me dirigea vers la cuisine où j'y entra.
La pièce était clair. Le sol blanc était du carrelage nettement nettoyé, les murs étaient d'un jaune très clair, la seul lampe qui l'éclairait suffisait à donner de l'éclat à cette salle et la seul fenêtre était vaste et protégé de l'extérieur par une moustiquaire ainsi qu'une grille en fer forgé.
Je passa mes doigts le long de la table circulaire au milieu de la pièce quand mon index sentit la pression d'une lame de couteau extrêmement coupante que je pris par le manche pour la laisser dans ma main droite pour ensuite continuer de marcher jusqu'à un placard que j'ouvris, laissant échapper un léger grincement de la part de ce dernier. Je fis un rapide constat des lieux avant de prendre un pot de confiture à l'abricot avec ma main droite recouverte d'un gant blanc ivoire. Je posa l'objet sur la table de la cuisine, sortis une simple bille de ma poche et je l'a mis sur la table en bois. L'objet rond roula vers moi ce qui me fit décocher un simple sourire. Puis je pris la bille avant qu'elle atteint l'extrémité de la table puis je renversa le pot de confiture cylindrique qui commença à rouler comme venait de le faire la bille. Pendant ce temps, je tourna sur moi même pour examiner la pièce. Elle était doté de multiple placard en bois sculpté, d'un frigo d'un blanc étincellent, d'une porte menant à un placard et d'une horloge. Je m'attardais là dessus quelque seconde avant d'entendre le pot de confiture à l'abricot tomber à terre et se brisant, réveillant l'occupant des lieux qui dormait à l'étage. Pendant que la personne qui venait de se réveiller se leva dans un bruit de vacarme assourdissant, j'allais à l'intérieur du placard où j'y resta jusqu'à que l'homme arrive dans la cuisine.
La porte entre ouverte, je regarda l'homme prendre un balai et commençait à rassembler les débris de verre cassé. Je finis par sortir le couteau de ma manche, faire une simple entaille sur la bordure de la porte pour vérifier de son état et je passa lentement et en silence la porte pour me retrouver derrière lui. (État de fatigue, dérangement au cour du sommeil, occupé à rassembler de débris de verre : Aucun reflex) Pensais-je avant de serrer le couteau fortement dans ma main droite et de le lui planter au niveau du cœur, faisant s'effondrer l'homme à terre sans un bruit. Puis je pris le couteau de cuisine et le plaça en diagonal du corps de la victime, l'intersection entre le manche et la lame touchant la blessure mortel du cadavre.
Avant de partir, je jeta un regard sur l'horloge et un sourire naquit sur mon visage.

- James Endruws, heure du décès, 23 : 16.Dis-je en ouvrant la porte de la cuisine, passant celle de l'entrée que je referma soigneusement en n'oubliant pas de le fermer à clef grâce à la clef violette que je repris et mis dans ma poche. Je finis par partir en direction de la chevrolet et de rouler.
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