Basil avait du aller voir un médecin moldu pour un petit problème que ces parents adoptifs avaient découvert un peu avant: Un grain de beauté trop foncer et légèrement douleur. Il avait été rapidement réglé et le jeune australien avait juste un pansement dans la nuque là où le grain avait été enlevé.

Après cette petit intervention son père l'avait accompagné à Pré-au-Lard et ils était allé boire un verre au Trois Balais. Son père l'avait ensuite laissé et le jeune garçon avait commandé un bière au beurre qu'il sirotait tranquillement quand il reconnu Théo qui pleurait.

Il ne s'attendait pas à le voir pleurer. Les quelques fois qu'il l'avait rencontré, il paraissait toujours très fort. Il prit donc sa chope et alla s'assoir à coter de Gryffondor. Celui ci semblait vraiment effondrer et, Basil ne trouvant pas de mot, le prit dans ses bras.

Il le lâcha rapidement et dit avec un sourire timide.

- Je n'aurai jamais cru te voir pleurer un jour. Tu semble si fort!

HS: Je suis pas si nouveaux que ça, mais j'avais mon idée pour la réponse.

- Ne te laisse pas abattre!

Les quelques mots était sortit tout seul de la bouche de Basil, le sentait qu'il était de son devoir de l'aider, comme Théo l'avait aidé quand il était mal à Poudlard. C'était son tour et Basil essaya de le consolé.

L'australien n'était pas vraiment doué pour remonter le moral, mais il essaya quand même car le garçon qui se trouvait à coter de lui devait bien le valoir.

- Je sais que c'est dure de se sentir seul, je suis souvent dans cette situation. Il faut pas se laisser démoraliser et s'amuser avec des amis. C'est le moyen que j'ai pour me remonter le moral.

Le blond sourit et vint sur l'immortalité du Gryffondor. Il pensait bien que cela ne devait pas être facile de vivre en sachant que les autres mourrions et pas lui.

- Pour l'immortalité, je ne pense pas que tu sois née avec... alors, peu être que tu as une chance d'en être soigner.

Le jeune Trélor regardait, les yeux écarquillés, Théo D'or jouer avec le couteau et sa chaire guérir si rapidement. Il n'était simplement surpris dont la façon que cette guérison se faisait.

Basil déglutit bruyamment ce qui le fit reprendre conscience que la façon de regarder Théo devait être très gênante et il détourna le regard et sirota sa bière au beurre. Quand il tourna à nouveau son regard sur le Gryffond celui ci avait arrêté.

- Je ne sais pas vraiment quoi faire pour t'aider, mais, si tu le veux, je veux bien être un de tes rares amis!

L'australien était à l'aise avec l'autre garçon et c'est pour cela qu'il affichait un immense sourire. Il regarda le fond de son verre qu'il découvrit vide et demanda au Français si il désirai quelque chose à boire.

Basil était heureux, il venait de se faire un ami et véritable. C'était vraiment agréable pour lui. Théo était sont premier ami en Angleterre et cela le réjouissait. Il allait enfin pouvoir parler et rire avec quelqu'un. Il était sur que les deux nouveaux amis allaient le rester longtemps.

Le Gryffondor commanda les boissons et un sandwich. Cela fit sourire le Poufsouffle car lui n'avait absolument pas faim. Quand l'autre garçon s'excuse pour ce qu'il avait fait à son bras devant lui.

- Oh ce n'est pas grave... J'ai vu et eu plus sale comme blessure.

Basil ne voulait pas rester coincer sur leur problème car après tout le meilleur moyen de ne plus penser à ses problèmes était de parler d'autre chose. Il se souvint alors avoir vu son ami, un jour dans le parc.

- Le week-end passé, je t'ai vu dans le parc tu jouais avec une ball, ça avait l'aire cool!

- Le lac est bien trop calme pour surfer, même pour y nager à mon goût.

Basil rigola un peu. Il aimait les grandes vagues et avait hantise des eaux calmes. Pour lui les plans d'eau sans vagues étaient presque inquiétant: c'était comme si l'eau n'avait plus de vie.

-Oui je me suis inscrit dans l'équipe de Quidditch comme batteur. Je sens que les maths vont être dure contre Gryffondor.

Basil aimait vraiment le sport, c'était sa deuxième passion; la première étant la mer. Il revint enfin vers le jeu de ball dont lui parlait juste avant Théo.

- Le rugby je connais un peu, j'y ai jamais vraiment joué, mais ça à l'aire plutôt sympa. Si tu veux un des ses jours je veux bien jouer avec toi!

L'australien allait peu être trouver une occupation capable de lui changer les idées et lui faire passer le manque du pays. Le sport avait toujours un bon moyen de se détendre pour le jeune Trélor.

Théo D'or se souvint d'une chose tout d'un coup à propos du rugby. Il y avait une très grande équipe en Australie.

- L'Australie est réputé pour ses rugbymans, j'ai toujours rêvé de voir un match de cette équipe en or. C'est vraiment un pays qui m'attire. Tout ça m'a donné faim!

Il commanda un steak, à 16 heures, normal. Il demanda à son ami s'il en voulait un. En attendant, il continua sur sa lancée.

- Il me tarde d'affronter ton équipe sur des balais, ça risque d'être palpitant. Mais au fait, ça va mieux, depuis que tu m'avais parlé en haut de la tour?

Ca s'appelle passer du coq à l'âne.

Le blondinet avec presque de la peine à suivre Théo tellement son monologue partait dans tout les sens, cela la faisait quand sourire. Il essaya alors de répondre à toutes les questions et de reparler de tout dans l'ordre qui lui venait. C'est à dire aussi fou que celui de son nouvel ami.

- Oui, ça va mieux. J'ai repensé à ce que tu m'as dit et ce que Violette m'a dit et j'ai décidé de faire un peu avec... Je crois que j'ai un peu changé...

Basil avait presque oublier le match de Quidditch, mais il se réjouissait tout autant. Il aimait volé presque autant que surfer, mais les vagues et la douceur de la mer lui restait encore préféré aux vents et looping.

- Je me réjouis! Compte sur les Poufsouffles pour gagner le coupe cette année! Je retiendrai peu être un peu mes coups de batte quand je te viserai.

Ajouta. il en rigolant. Il appela le serveur qui était en train de partir et commanda la même chose de le Gryffondor.

- Ca m'a aussi donné faim. C'est à croire que c'est communicatif!

Il faisait attention à ne pas manger hors de repas. Basil avait un corps dont certains garçons rêvaient et dont toutes les filles étaient folle, celui ci avait été acquis suite é beaucoup d'effort et il ne comptait pas le perdre. Il avait réfléchit quelques secondes avant de faire un entorse à son régime.

- Je suis pas un grand fan de rugby, c'est sympa d'en faire ou de le regarder avec des amis, mais je le ferai pas seul. Je préfère le surfe et le Quidditch, mais si tu veux pendant les vacances, je t'invite et on va voir un match de l'équipe d'Australie. Ca pas être difficile de prendre des places...

Basil fut contant de voir Théo rire. Il allait mieux, c'était vraiment bien et ses rires se mêlèrent à ceux de son ami.

Pendant que Théo lui disait être partant pour aller en Australie et prêt à essaye le surfe, le serveurs revint avec leur steak. La viande fumait et dégageait une douce odeur qui mi le garçon encore plus en appétit.

L'australien coupa un bout de viande et l'enfourna dans sa bouche avant de répondre. Le steak était vraiment bien cuisiner.

- Je sais pas vraiment, c'est vrai que à le télévision moldu, ils ont l'aire plein, mais je trouverai bien. Je connais un magasin sur le bords de mer où ils vendent des billets pas trop cher. Je verrai là bas. A la limite on trouvera un combine magique...

- Enfaite mes parents... enfin mes parents adoptif, je connais pas les vrai, sont tout les deux des sorciers. Mon père travaille comme agent immobilier pour un groupe moldu. Il vend aussi des maisons à des sorciers. Il n'a jamais été très doué en magie donc il a acheté du matériel moldu. Un jour, il est rentré à la maison avec une télévision.

Basil était à l'aise avec Théo. C'était agréable de pouvoir parler à quelqu'un de tout de rien. De sa famille et de sport, le garçon continua de manger son steak après avoir expliquer cela à son ami. Il se posa, alors, la question: "et lui?".

- Et toi tu es née dans un famille de sorcier?

Basil eut honte d'avoir demander. Après tout il avait entendu parlé de cette histoire, vaguement, mais il était déjà au courant. Les rumeurs allaient toujours très vite à Poudlard... comme partout ailleurs. Il murmura un léger excuse moi en baisant les yeux.

Les quelques secondes où il avait eut les yeux baissés avait suffit au Gryffondor pour arriver vers lui et l'embrasser. Immédiatement l'australien rougit et une question s'imposa dans son esprit: "comment sait-il?". Apparemment les rumeurs allaient vraiment vite à Poudlard. Il ne l'avait portant dit à personne.

Théo D'or s'était rapidement retiré et s'excusa. Basil ne leva pas les yeux. Ses yeux restaient fixé sur ses pieds ou sur son steak à moitié manger. De la façon dont son ami s'excusa il n'était pas au courant de la préférence pour les garçons du blond ce qui n'enleva pas sa gêne. Le Poufsouffle était écarlate et dut étira un peu son col; il avait l'impression qu'il l'étouffait.

Basil ne savait pas quoi faire, ce baiser était aussi inattendu qu'incompressible pour le garçon et il ne savait pas vraiment comment il devait le prendre.

Son regarde tomba sur la viande dans l'assiette et il s'engouffra rapidement dans sa bouche. Il préféra manger pour penser un peu moins à ce qui venait d'arriver. Qu'est qu'il devait faire, maintenant que dire?

- Théo....

Il n'arriva pas à continuer, de peur de révélé son secret, ou de dire quelques choses de mal venus. Il se tut et baissa à nouveau les yeux.

Basil était encore plus mal à la suite de ce que lui avait dit Théo. Il n'avait pas été surpris pas le faite que son immortalité lui donne une sensibilité plus forte que d'autre. Ce qui le rongeait c'est qu'il savait.

Comment pouvait-il empêcher l'autre garçon de parler? Il était trop tard pour le rattraper, comment savoir où il allait? Ce qu'espérait vraiment Basil, c'est que son ami si il pouvait encore considéré comme un ami, ne dise pas ce qu'il savait.

L'australien ce leva honteux et fallit partir, mais se rappela qu'il fallait payer et d'un pas lent, il s'approcha du comptoir et paya le repas des deux garçons. Il ne savait pas pourquoi il payait pour les deux, mais le fit quand même. Il se sortit du pub et marcha longtemps dans les ruelles de pré-au-lard ou dans la campagne qui l'entourait. Il ne savait vraiment plus où il en était.