Examen Théo D'or Stella, deuxième année

Examen deuxième année

Qu'avez vous apprit cette année qui d'après vous vous sera le plus utile dans le futur? (10 lignes du forum, ajoutez aussi vos motivations pour votre peut-être futur professions)

Il est difficile d’envisager sa vie future, surtout à mon âge. Je n’ai encore aucune idée précise sur ce que je veux faire plus tard, mais je garde la certitude que je travaillerais dans le monde magique, et je compte travailler pour avoir une place aisée. De toute manière, je ne me suis pas trop renseigné sur les métiers que Poudlard, et les études futures possibles, m’offrirait. Dans ce cas-là, je néglige aucune matière, même si parfois tout cela peut paraitre légèrement nébuleux et ennuyant, et que l’on se dit que c’est inintéressant, on doit rien oublier, car c’est plus tard qu’on se réutilise ce que l’on apprit. Alors, je me concentre sur chaque matière, et je ne regrette absolument rien, car, pour le moins, je m’enrichis. Par exemple, en histoire de la magie, j’ai appris d’où viennent mes pouvoirs, et cela me permet de les respecter. Tout en gardant de respect, je peux inclure la Botanique et les Soins aux créatures magiques, qui nous apprennent à respecter ce qui vit autour de nous, et comment interagir avec, surtout que en deuxième année, c’est au cap au-dessus de la première, en somme, on comprend vraiment dans quoi nous vivons. C’est tel que les matières pratiques, où je comprends, et où je ressens la puissance magique que j’ai qui traverse ma baguette, pour utiliser n’importe quelle sortilège, et cela c’est vraiment important pour un petit sorcier, de se rendre compte de sa différence, et surtout de l’exploiter à bon profit, comme nous l’apprend la Métamorphose, les Potions, les Enchantements et encore la Défense contre les Forces du Mal. Cependant, je n’arrive pas à accrocher à l’Arithmancie, l’Etude des Runes et à l’Etude des Moldus, surement en partie car les deux premiers ne sont plus très récents, et ont du mal à séduire de jeunes élèves, en quête de nouveauté. Pourtant je m’accroche à suivre, car malgré tout, j’apprends un peu comme les croyances magiques et comme nos confrères voient le monde, magique du moins. Pour l’Etude des Moldus, je trouve cela barbant, car je suis né dans ce milieu, mais il est intéressant d’avoir un autre point de vue, de voir comment les sorciers perçoivent les « non-magiciens ».
Je résumerai donc, que je ne sais pas ce que je veux faire plus tard. Je suis un touche à tout, et je n’hésite pas à m’engager dans n’importe quoi, pour satisfaire mon futur, et alors réussir mon avenir professionnel. Je suis très motivé pour réussir, et je ne laisserai rien tomber, car pour moi, même si je ne serai pas riche, si je fais quelque chose qui me plait, ça me suffira, il faut donc que je m’en donne les moyens.
Décrivez votre lieu préféré dans Poudlard! Dites nous pourquoi? (20 lignes)

Si un jour on m’avait dit que mon lieu préférée serait la Grande Salle, je ne l’aurais pas cru. Mais depuis deux années passées dans cette école, mon avis a beaucoup changé. J’ai vécu beaucoup de choses dans cette salle, et de toute façon, j’y passe un moment tous les jours. Je l’aime pour beaucoup de raisons, toutes diverses, et très différentes, et qui font un tout inchangeable dans mon cœur.
La première est que c’est le lieu du repas, et dieu sait que j’aime manger, et que j’aime cuisiner. J’aurai pu alors choisir les cuisines, mais le lieu est beaucoup trop fermé, et puis la Grande Salle est très accessible et pratique pour n’importe quelles expériences, et c’est toujours intéressant de connaître les avis de ces amis autour de la table quand je mélange deux plats entre eux, et d’échanger nos idées. Au final, on rigole bien, et surtout on mange bien, et de ce fait, nous sommes détendus, et la Grande Salle est le lieu où il y a le moins de conflit, le moins de pressions, et personne ne s’y prend la tête.
En second lieu, j’aime cet endroit, pour son aspect magique. Que ce soit le ciel, au sablier des points qui ornent le fond de la pièce. Je passerai des heures sur ces tables en bois, à contempler les banderoles des maisons, et même à y travailler, car en dehors des repas, la salle est d’un repos imposant, et agréable. Elle offre des conditions formidables pour tout. La preuve en est que le club de duel s’y fait là, et que les bals, aussi.
Ce qui m’a étonné en troisième lieu, ici, c’est une chose impensable. Je ne sais pas si c’était comme ça à l’époque, mais je ne vais pas m’en plaindre. C’est la première fois que je vois des élèves changer de table pour aller manger avec d’autres maisons. Je trouve que cela entretient bien les relations inter-maisons, et règle un peu cet esprit de compétition qui règne tout le temps. C’est devenu un lieu de véritable partage, et même de respect, obligatoire certes, encadré par les professeurs, mais dans ces normes, on permet de découvrir d’autres personnes sans s’insulter, sous prétexte qu’il n’appartient pas à la même maison.
Enfin, il y a une raison ultime pourquoi j’adore cet endroit, mais c’est un peu intime. Je dirai juste que c’est ici que j’ai officialisé l’amour que je portais pour quelqu’un, et je ne sais point si cela aurait eu lieu ailleurs, dans un autre contexte, car c’est les éléments, les gens présents ce jour-là qui on permit cette union possible. Merci la Grande Salle, merci Poudlard
Faites nous un exposé sur les fantômes ou les moyens de locomotions moldus! (50 lignes du forum sur un seul des deux sujets)

Sujet : Se transporter chez les moldus.

De tous temps l'homme a eu besoin de se déplacer, principalement pour se nourrir ou s'abriter. Aujourd'hui les choses ont bien changé et l'on se déplace toujours par nécessité mais aussi pour les loisirs. Il est important de noter que les Moldus, sur ce point là, sont très différents, et qu’ils offrent un large éventail de moyens de transport à contrario des sorciers qui ne connaissent que, par exemple, le balai, le portoloin, le transplanage, etc. Même si certains moyens de transport sont synonymes chez le sorcier comme chez le moldu, le sorcier y apportera toujours un aspect magique.
Nous nous intéresserons ici aux différents moyens de transport, en commençant par ceux que les sorciers utilisent. Comment les Moldus parviennent à se déplacer plus ou moins rapidement pour vivre ?

I – Les mêmes moyens de transports.

A – Le bateau

Un bateau est une construction humaine capable de flotter sur l'eau et de s'y déplacer, dirigé ou non par ses occupants. Il répond aux besoins du transport maritime ou fluvial, et permet diverses activités telles que le transport de personnes ou de marchandises, la guerre sur mer, la pêche, la plaisance, ou d'autres services tels que la sécurité des autres bateaux.
Les bateaux ont accompagné l'Homme dans son évolution. Indispensables lors des grandes guerres et des conquêtes, et aussi pour la subsistance par la pêche, ils ont été transformés et font maintenant partie intégrante des systèmes commerciaux et militaires modernes : plusieurs millions de bateaux de pêche sont utilisés par quelques dizaines de millions de pêcheurs de par le monde et les guerres modernes font appel à des navires hautement sophistiqués pour transporter et soutenir les forces à terre ; près de 35 000 navires de commerce ont transporté 7,4 milliards de tonnes de marchandises en 20071 (voir détail de ces chiffresplus bas).
Les bateaux ont également pris part aux grandes explorations, aux découvertes scientifiques et à la propagation des grandes cultures : les navigateurs chinoiscomme Zheng He ont permis de partager des inventions comme la boussole ou la poudre à canon, tandis que les expéditions en Amérique ont diffusé la culture européenne sur ce continent. Si les bateaux ont été utilisés pour les colonisations et le commerce triangulaire, ils ont aussi servi et servent toujours à la recherche scientifique et au rayonnement culturel des pays.
Comme l’a démontré Thor Heyerdahl avec le Kon-Tiki, il est possible de faire de longues traversées avec un simple radeau de rondins. De la barque monoxyle dumésolithique au puissant porte-avions à propulsion nucléaire moderne, les bateaux racontent tout simplement l’Homme.

Les bateaux des sorciers sont différents, effectivement, il utilise la magie pour se déplacer, comme pour aller plus vite, aller sous l’eau, par exemple. En revanche, les Moldus ne peuvent pas le faire. Ils ont construits des sous-marins, pour aller sous l’eau, mais ce dernier n’a pas de pont.

B – Le train

Un train, de façon générale, est un ensemble de véhicules guidés par rails et solidarisés par attelages.
De façon plus spécifique, un train est une file de wagons de marchandises ou de voitures à voyageurs tractés par une locomotive, par opposition aux rames automotrices (catégorie dont fait partie le TGV) ou autorails dont la motorisation est située dans les voitures elles-mêmes.
Mais dans l'usage courant, le mot train désigne n'importe quelle circulation ferroviaire, quelle que soit sa composition, depuis le plus simple autorail local jusqu'aux longs trains de grandes lignes ou de transports industriels.
Un train se compose de plusieurs éléments : locomotive, voitures pour le transport de personnes, et éventuellement fourgons pour le transport de colis et bagages, ou wagons pour le transport de marchandises. Il peut s'agir également d'engins spécialisés pour l'entretien des voies (trains de travaux).
La locomotive à vapeur, cependant, encore utilisé par les sorciers, omniprésente jusqu'à la fin du XIXe siècle, a cédé progressivement la place à la locomotive électrique depuis le début du XXe siècle, ou à l'autorail à partir des années 1930, et s'est finalement effacée avant la fin du XXe siècle devant la locomotive diesel pour les lignes non encore électrifiées. D'autres modes de traction marginaux ont été (et sont parfois encore) utilisés : animaux (chevaux, bœufs), câbles, cordes et cabestans, gravité, pneumatique, turbines, etc.

C – Les tractions animales

La traction animale est l'utilisation d'animaux domestiques par l'Homme pour :
 le transport (véhicule hippomobile, char, charrette, traîneau, bât, équitation) ;
 les travaux agricoles, notamment le labour ;
 la guerre ;
 des travaux industriels (actionner des machines telles que noria, treuil ou moulin à huile) ;
 le sport et les loisirs avec les concours et les courses d'attelages.
Maintenant utilisé très peu chez les Moldus, à contrario des sorciers, ne connaissant pas l’électricité et utilisant toujours des attelages. Chez les moldus, nous retrouvons la traction animal dans les villes festives, où il y a de nombreux carnavals, où le passé est très respecté.

II – Les moyens de transport unique aux moldus

A – La voiture et ses dérivés

Une voiture ou une automobile est un véhicule terrestre à roues, propulsé par un moteur embarqué dans le véhicule. Ce type de véhicule est conçu pour le transport sur route de personnes, mais sa définition peut s'étendre jusqu'au transport de marchandises ainsi que jusqu'à des véhicules pouvant fonctionner sur tout terrains. L'étymologie du mot explique cette variété de définitions, puisque le terme provient du grec αὐτός (soi-même) et du latin mobilis (mobile), référence au caractère autopropulsée de l'automobile qui la distingue de la voiture.
L'automobile est un moyen de transport personnel parmi les plus répandus actuellement sur la planète. Sa capacité habituelle de transport est généralement de cinq personnes, mais peut varier de une à neuf places. L'usage limite l'emploi du terme automobile aux véhicules de dimensions inférieures à celle des bus et des camions, mais englobe parfois les véhicules utilitaires légers à usage personnel. Bien qu'étant des véhicules automobiles, les deux-roues motorisés ne sont pas classées parmi les automobiles.
Dérivés communs :
- Autobus ; pour le transport de masse, de plusieurs personnes. Chez les sorciers, nous trouvons le Magicobus
- Camion ; pour déplacer les grosses marchandises entre des entreprises, généralement.
- Nous trouvons aussi les Monster Truck, mais ce sont des voitures de spectacles.

B – Les deux roues

Un deux-roues est un véhicule muni de deux roues disposées en long et destiné au transport d'une personne, parfois deux.
Les deux-roues sont munis d'une selle pour le conducteur et parfois d'un embryon de carrosserie.
On distingue ;
 les deux-roues non motorisées ( qui marche à l’aide de la force humaine) : la bicyclette, le VTT, etc.
 les deux-roues motorisés, comme la motocyclette, le cyclomoteur, le scooter, le gyropode

C – L’avion et ses dérivés

Un avion, selon la définition officielle de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), est un aéronef plus lourd que l'air, entraîné par un organe moteur (dans le cas d'un engin sans moteur, on parlera de planeur), dont la sustentation en vol est obtenue principalement par des réactions aérodynamiques sur des surfaces qui restent fixes dans des conditions données de vol. Celui ou celle qui le dirige est appelé pilote ou aviateur/aviatrice.
Lorsque la sustentation en vol est obtenue par des réactions aérodynamiques sur des surfaces en mouvement, généralement une ou plusieurs hélices principales dont les axes sont verticaux, l'appareil est alors un hélicoptère ou un gyroptère, selon que la surface porteuse est animée par un moteur ou non.
Un avion qui est muni d'un dispositif lui permettant de décoller et de se poser sur l'eau (amerrir) est un type d'avion dénommé hydravion.
Dérivés :
- Montgolfière : déplacement prévu aux touristes. Gros ballon chauffé permettant une agréable visite aérienne d’un site
- Hélicoptère : Utilisé souvent par les armées, et les missions de sauvetages, les classes très aisées se permettent se plaisir pour se déplacer entre les pays.
- Dirigeable : Enorme ballon, prévu pour une visite aérienne, mais pour relier deux sites entre eux. C’est le mixte de l’avion et la montgolfière, pour le plaisir du voyage, sans la vitesse, et sur des grandes distances.

D – Le métro, dérivé du train

Un métro, apocope de métropolitain (pour chemin de fer métropolitain), est un chemin de fer urbain souterrain le plus souvent, sur viaduc quelquefois, rarement au sol.
En 1981, le Comité des Métropolitains de l’UITP définit « le chemin de fer métropolitain » comme « un chemin de fer conçu pour constituer un réseau permettant le transport d’un grand nombre de voyageurs à l’intérieur d’une zone urbaine au moyen de véhicules sur rails avec contrôle externe, dans un espace totalement ou partiellement en tunnel et entièrement réservé à cet usage. »
La définition nord-américaine du métro est plus synthétique : c’est un transport public urbain de masse en mode guidé sur site propre intégral, sans croisement avec tout autre mode de transport ni accès piétonnier.

Conclusion : De nos jours, les moldus ont trouvé beaucoup de moyens pour subvenir à leurs besoins, sans pour autant utiliser les balais magiques. Certains sont mêmes vu comme plus efficace qu’un moyen de transport sorcier, plus élaboré dans ce domaine, et prévu pour le confort de la personne, même si cela prend plus de temps.
De plus, plus les années avancent, plus les moldus progressent dans la science et la technologie. Ainsi, ils se déplacent encore de plus en plus vite, et n’aurait pas besoin des moyens de déplacement sorcier si on leur proposait.
Les moldus sont très visionnaires, et étudient la téléportation, ce qui vaut au transplanage. Alors, en comment définir le meilleur milieu pour se déplacer ? Efficacité et confort ou rapidité mais sans vie ?

Note:
Orthographes: .../1
Réflexion: .../1
Recherche: .../2
Argumentation: .../2
Respect des consignes: .../1
Fond: .../3

Orthographes: 1/1
Réflexion: 1/1
Recherche: 3/2
Argumentation: 2/2
Respect des consignes: 1/1
Fond: 3/3

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