Série Erru :
Erru 1 : Errudition
Erru 2 : Le Kien de Paskerville
Erru 3 : Le prince de sang raté
Erru 4 : Le tour du Roi
Erru 5 : La Guerre des Morts
Erru 6 : La rivière Cawai
Erru 7 : La pente betonnante
Erru 8 : Mission Inppossif
Erru 9 : Les révoltés de Banty
Erru 10 : L'îles au mentors
Erru 11 : La Machine à explorer le temps
...etc

Cette série est une série pleins de clins d'oeuil, une critique de notre monde.


Dans un monde parallèle au monde, vivait plusieurs peuples :
Les Kayous, ceux qui dominaient, ils se faisaient cependant la guerre entre eux. Leur chef s'appelait Rionik, et était un grand barbare. Il s'amusait à tuer et à faire la guerre.
Les Liliputiens, des petits hommes vivant dans les abres. Un peu ambitieux, ils s'attaquaient souvent aux Kayous. Mais se faisait souvent massacrés, sauf une fois, à Youssene, il y a plus de dix milles ans. A cette bataille, ils ont eut des survivants, contrairement aux autres.
Les Gelans, des Liliputiens un peu plus évolué, qui vivent un peu mieux avec les Kayous. Ils vivent en retrait.
Les Twilles, ils dominaient le monde avant mais se sont fait massacrés à la Pente bettonante il y a 20 000 ans. Ils y vivent encore, un peu isolés, comme des éxilés. Les mauvaises langues disent qu'ils préparent une armée.
Les Pomdpins, des forestiers, ils n'aiment pas trop les Kayous, mais les servent quand même, en faisant des visites guidés dans la forêt Mespotmienne. Les visites finissent souvent mal.
Les Vivants-Morts, des Kayous morts mais toujours vivants, resucités par le grand Pachonak. Ils sont souvent en guerre avec les Kayous.
Les Maronts, une vielle tribu qui vivent dans leur coin. Ils se sont imposés eux même une dictature.
Les Blons, des géants qui attaquent souvent la forêt Mespotmienne, causant des dizaines de morts.
Les Metos, des diformes, déformés par la guerre. Ils vivent sous terre.
Les Sauvageux, des Kayous qui ont voulu imités les Pomdpins, mais qui sont devenu sauvages.
Les Kiens, des imbécils qui foutent le chaos.
Les Mentors, des habitants devenu riche, sous la menace du meurtre, ils se sont partis en retrait sur une île.
Les Laisarts, des bêtes atroces qui dévorent tout.
Les Sourats, d'autres bêtes repoussante qui détruisent tout.
Et biens d'autres...
Il y a aussi des lieux importants :
Erru, la ville de la forêt comme disaient les anciens. Il s'y passe toujours des problèmes.
Banty, une ville côtière concurente financière d'Erru. Des révoltes s'y passe souvent.
Paskerville, une ville un peu chaude, où il se passe souvent des problèmes, avec des Kiens.
Big City, la capitale, mais très surchargé.
La forêt Mespotmienne, appelé comme ça car l'explorateur qui l'a trouvé s'apellait Christophe Mespotess.
La Pente bettonante, là où habitent les Twiles. C'est une pente betonnée bien sur.
L'île aux Mentors, là où habitent les Mentors. Un endroit pleins de trésors d'après les dires.
La rivère Cawai, une grande rivière qui traverse Big City. On a tenté d'y construire un pont mais il a été détruit.
Potwarts, une académie mystèrieuse, cachés, près de Pré-des-fêtards, on se demande ce qui s'y passe.
L'océan Titanique, un océan où des tonnes de bateaux ont coulés.
Et bien d'autres encore une fois...Mais ces peuples, ont vécus des aventures. Dans ces livres, on vous les racontent, celle ci doit être l'une des plus horrible des toutes...

Chapitre 2

Crusoé Robinsonn arrivait à Erru. Depuis le port de Big City, il était à côté d'un dormeur dans l'aeroglisseur numéro 555, réservé à Erru. Robinsonn vit la pancarte, un peu penchée trouva t-il. Il ouvrit la fenêtre et regarda devant. Il voyait le château. Le château d'Erru était un des plus grands et impressionants château du monde. Des dizaines d'aeroglisseurs tournaient autour.
A sa droite, il vut la bibliothèque. Une grande batisse mais qui semblait vide. Voilà le pourquoi qu'il était là. Il devait redresser le niveau à Erru. Les résultats des académies Potwarts et Mochbarre étaient dans les plus bas du monde. Le nombre d'illétrés dépassait les quatre vingt dix pour cent de la population et le nombre de livres à la bibliothèque se comptait sur les doigts de la mains.
- Descendez moi là ! lança Robinsonn.
Le chauffeur de l'aeroglisseur s'arrêta et déposa l'homme devant la bibliothèque. Robinsonn monta les marches et entra. S'attendant à voir des étagères vides, il tomba sur un guichet. Il s'en approcha et appuya sur la sonnette. Une vielle dame arriva :
- Vous voulez ?
- Je suis le professeur Crusoé Robinsson, de l'académie d'Otrod à Pig City.
- Pig City ?
- C'est la banlieu de Big City.
- Très bien, deux têtes coupées l'entrée.
- Têtes coupées ?
- La monnaie d'Erru.
- J'ai des Pollars et des Aro mais pas de Têtes coupées, désolé.
- Alors dix pollars.
Robinsonn posa sur le guichet les dix pollars à contre coeur et entra par une porte qui se trouvait à sa droite. Il faillit tomber en voyant la grandeur de la salle. Elle était d'une hauteur qui donnait le vertige et d'une longeur qui pourrait permettre une course de cars. Il s'avança dans la pièce et vit qu'elle était tapissée d'étagères contre les murs. Il vit quatres livres sur une étagère et s'en approcha. Il regarda les titres. La Pible, le dictionnaire, le gros livre rose de Pao et le Moran.
- C'est notre collection.
Robinsson sursauta, il se retourna et vit la vielle dame.
- Vous n'avez pas d'autres livres ?
- Si, ils sont dans des vitrines là bas.
Robinsson regarda sur sa droite et vit une dizaine de vitrine un peu plus loin. Il s'en approcha et regarda dedans. Il ne vit pas de livres.
- Madame !
- Mademoiselle, s'il vous plait.
- D'accord, Mademoiselle, il n'y a pas plus de livres ici qu'il n'y a de livres sur la tête de Juliens Trapèze.
- Si regardez bien.
Il regarda une deuxième fois et vu des cendres.
- Des cendres ?
- Les livres ont été brulés il y a bien des années.
- Bon, ce seras plus dure que je ne le pensait...
Il s'approcha de la porte suivit de la dame et se retrouva près du guichet. Il voulu sortir mais s'arrêta. Il se tourna vers la dame et demanda :
- Y a t-il un hotel en ville ?
- Oui.
- Où ça ?
- On l'apelle la décharge.
- Pourquoi ce nom ?
- Parce que c'en ai une, monsieur Robinsson...

Robinsonn marchait dans la rue. Il cherchait un endroit où dormir mais ne trouvait pas. Il avait déjà demandé à plusieurs maisons mais les habitants d'Erru n'avait pas l'air très hospitaliés.
Au bout d'un moment, à bout de souffle, il s'arrêta à côté du château. Il s'assit le dos contre le mur arrondie et ferma les yeux.
- C'est Al Papone ! Attrapez le !
Il ouvrit les yeux brutalement et vit deux policiers courirent après un homme masqué. Robinsonn se leva et courut après. Vu qu'il était rapide, il plaqua l'homme, qui fut assomé sur le coup. Les deux policiers arrivèrent.
- Merci, dit l'un deux. Vous nous rendez un grand service.
- Mais c'est tout à fait normal.
- Cela faisait des années qu'on lui courait après. Le chef va être content, veuillez nous suivre pour la déposition.
Robinsonn suivit les deux policiers qui l'emmenèrent dans le château. En entrant, Robinsonn vit un énorme corridor. Aussi long que haut. Il était facsiné par cette architecture.
- A droite, s'il vous plait monsieur.
Il sorti de sa transe et suivit les policiers à droite. Apparament, le bureau de leur chef devait être petit, vu la taille de la porte. Robinsonn dut se baisser pour entrer. Une fois entrer, il vu qu'il avait raison.
On aurait put prendre le bureau pour un cabinet de toilette. Le chef était épais et avait une grosse moustache en forme de boomerang. Un des policiers dit :
- Monsieur Jarouge, nous avons capturé Al Papone, le voici.
Il lui montra le brigand.
- C'est cet homme qui l'a attrapé.
Il désigna Robinsonn.
- Et vous vous appelez ? demanda Jarouge.
- Crusoé Robinsonn.
- Très bien.
Il se leva et fit signe a Robinsonn et au policer qui tenait Al Papone de le suivre. Ils sortirent dans le corridor et marchèrent vers les marches. Robinsonn remarqua qu'elles étaient très grandes. Ils les montèrent et arrivèrent sur un autre corridor.
- Ne dites rien sauf si je vous le demande.
Ils continuèrent à marcher. Robinsonn se demanda qui ils allaient voir. Au bout du couloir, ils arrivèrent devant une grande porte en bois. Jarouge ouvrit la porte.
La pièce était luxueuse, un lustre énorme en or massif pendait en haut de la pièce. La cheminée, apparament faites en marbe avait été recouverte de feuilles d'or. Un vase de la taille d'une cuvette de toilette était tapissé de peintures à l'encre de chine bleu faites à la main représentant la muraille de chine. Il était remplit de fleurs que Robinsonn n'avait jamais vu. La pièce était remplit d'objets comme cela. Si bien que Robinsonn ne remarqua pas l'homme qui était assis derrière le bureau. Il se leva. C'était un grand jeune roux. Robinsonn se tourna vers Jarouge et demanda :
- Qui est-ce ?
- Qui est-ce ? Mais c'est le Roi Phéoden !

Robinsonn regarda le Roi d'Erru une deuxième fois. A cette seconde fois, le Roi lui parraissa plus magistra que la première. Phéoden demanda :
- Que me vaut l'honneur de votre visite, Jarouge ?
- Cet homme, répondit Jarouge en désignant Robinsonn. Cet homme a capturé Al Papone.
- Très bien, tenez voici la récompense...
Il lui lança une bourse.
- Trois mille têtes coupés plus deux journés à passer au château si vous le souhaitez.
Robinsonn regarda la bourse, l'ouvrit et vit une montagne de pièces d'or. Il fixa le Roi un instant puis dit :
- J'accepte.
- Fantastique !
Jarouge s'avança et demanda :
- Où allons nous emmener Al Papone ?
- Envoyez le à Alpatraze ou à Atraban, comme vous voulez.
Jarouge, Al Papone et le policier sortirent laissant Robinsonn seul avec le Roi.
- Asseyez vous là bas, dit le Roi à Robinsonn en desigant une chaise prèt de la fenêtre.
Robinsonn parti s'y assoire. Il mit la bourse dans sa poche. Il regarda par la fenêtre et faillit tomber en voyant la vue magnifique. Erru s'étendait très loin, ils étaient très haut, peut être cinquante mètres, peut être même cent. Par curiosité, il demanda au Roi :
- Savez vous à quel hauteur nous sommes ?
- Cent vingt mètres...Et quel est votre nom ?
- Crusoé Robinsonn.
- Très bien.
Le Roi s'assit et quelqu'un toqua.
- Entrez, dit-il.
Un policier entra avec un garçon sous le bras.
- Qu'a t'il fait ?
- Il a volé une pomme au marché.
- Guillotine.
Le policier ferma la porte. Robinsonn qui avait suivi la scène resta bouche béé. Le Roi se leva et se tourna vers Robinsonn :
- Voulez vous m'acccompagner ? C'est l'heure de la guillotine.
- Mais vous êtes complètement malade ?
- Très bien, vous ferez parti du spectacle.
Le Roi l'attrapa avant que Robinsonn ai put dire quelque chose et lui ficella les mains. Robinsonn ne souhaita rien dire, il savait que son cas pouvait s'aggraver. Le Roi passa par une porte sur le côté et arriva en haut de tribunes, avec au centre, un homme qui avait une tonne d'outils à côté de lui.
- Mais, ce n'est pas une guillotine.
- C'est le même principe.
Il le poussa et Robinsonn tomba dans les bras de deux policiers qui l'emmenèrent un peu plus loin, dans une cage, à côté d'autres personnes, dont le garçon de tout à l'heure.
- Bill Smith !
Un homme chauve fut sorti de la cage par deux policiers et lancé au centre près du boureau, qui était un vrai géant. Le boureau l'attrapa par le col et le mit sur la table de pierre. Il leva une hache et explosa l'homme. Robisonn se repassa sa vie dans sa tête, ses meilleurs souvenirs, son heure était venue.
Soudain, le boureau se cacha derrirèe la table. Robinsonn se demanda ce qui lui arrivait et une personne qui était dans les tribunes cria :
- Les frères Paltons !
Il montrait le haut des tribunes et Robinsonn les vut. Quatres hommes exactement identiques, de la même taille, du même visage. Ils avaient chacun une mitrailette. Ils les chargèrent et tirèrent sur le public. Robinsonn vit le roi s'eclipser et partir dans son bureau.
Une fois qu'âme qui vive fut completement rayé des tribunes les frères Paltons s'approchèrent de la cage et l'ouvrirent.
- Suivez nous, dit l'un d'eux.
La dizaine de prisonnier suivit les frères. Ils partirent dans la rue qui semblait déserte. Ils marchèrent très longtemps. Si bien qu'il finirent par arriver au bout de la ville, à côté d'une tour.
- Mais, c'est la tout Metronas ! lança un prisonnier.
- Bien joué, mais tu as crié trop fort, dit un des frères.
Il chargea la mitraillette et le troua completement. Les prisonniers suivirent les frères vers la tour. Une porte se trouvait tout en bas. Robinsonn s'attendait à ce qu'il l'ouvre mais les frères creusèrent un peu le sol et tombèrent sur une trappe.
- Les invités d'abord...
Les prisonniers entrèrent par la trappe. Ils arrivèrent dans une pièce, un bureau se trouvait au bout. Un des frères dit :
- On s'présente, on est les frères Paltons. Lui c'est Pat.
Il montra un des frères qui s'était assis au bureau.
- Lui, c'est Pill.
Il montra le deuxième frère qui s'était assis.
- Lui, Pob.
Il montra celui qui était à côté de lui.
- Et moi Pemmet. On va choisir les dignes de rejoindre nos rangs. Faites la queue pour le bureau. Vous êtes que huit, ça va être rapide.
Les prisonniers firent la queue devant le bureau où étaient assis Pat et Pill Palton. Le premier de la queue était un homme qui avait de long cheveux.
- Ton nom.
- Gaston Piou.
- Ton âge ?
- 31 ans.
- Pourquoi devait tu être guillotiné ?
- Je suis prisonnier de guerre.
- Très bien, T !
- T ?
Une rafale de mitrailletes fondit sur lui et il s'écroula, mort. Un autre homme s'avança.
- Ton nom ?
- Hermann Pöring.
- Ton âge ?
- 50 ans.
- Pourquoi devait tu être guillotiné ?
- J'ai tué des gens que je n'aimait pas.
- Parfait, A.
Pöring s'attendit à mourir mais on lui designa une porte à droite où il entra. Un troisième homme s'avança.
- Ton nom ?
- Edmond Pantès.
- Ton âge ?
- 25 ans.
- Pourquoi devais tu mourir ?
- Pour rien.
- T.
Pantès tomba, tué par des mitrailletes. Une femme s'approcha cette fois.
- Ton nom ?
- Martha Ptewart.
- Ton âge ?
- 32 ans.
- Pourquoi devais tu êtes guillotinée ?
- J'ai frodé.
- A ! Bienvenu ! Vas là bas.
Il lui montra une porte. Une cinquième personne s'avança.
- Ton nom ?
- Jean Paljean.
- Ton âge ?
- Je sais pas.
- Pourquoi devais tu mourir ?
- J'ai volé un pain.
- T.
Il tomba, mitraillé comme les deux autres avant lui. Le petit garçon tremblait. Il s'avança.
- Ton nom ?
- Billy the Pid.
- Ton âge ?
- 8 ans.
- Pourquoi devais tu êtres guillotiné ?
- J'ai volé une pomme, mais j'ai tué aussi des gens.
- A ! De la bonne graine !
Il parti par la porte de droite. Un homme s'avança, c'était le dernier avant Robinsonn, qui lui même était le dernier.
- Ton nom ?
- Robert Proud.
- Ton âge ?
- 30 ans.
- Pourquoi devais tu mourir ?
- J'ai tuer quelqu'un, et j'aime les canaris aussi.
- A...
Proud parti vers la porte. C'était au tour de Robinsonn.
- Ton nom ?
- Crusoé Robinsonn.
- Quel âge as tu ?
- 30 ans.
- Pourquoi devais tu mourir ?
Robinsonn réfléchit un seconde, pour vivre, il fallait avoir arnaquer ou commit un meurtre.
- J'ai tuer trente policiers à Pig City.