Fait le Jeudi 22 Septembre 2010
Par Mélody LEBRUN

Je vais vous raconter une histoire. Cela c’est passé il y maintenant 65 ans un peu prés, je me rappellerai toujours de ces année passé là-bas. Tous d’abord je me nomme Lisa, Lisa Fraü bizarre comme nom me diriez-vous mais non. Car je suis allemande, je vis dans un petit village prés de Berlin. Ma vie à basculer une après-midi du mois de aout j’étais dans ma chambre et je joué avec ma poupée, puis quelqu’un à frapper a la porte de la maison maman ma dit de vite allée dans ma chambre, alors j’y suis allez ne comprenant pas ce qu’il ce passait dans la pièce à coter. J’entendais des voix d’homme elle était si grave et on ne pouvait y voir une seul marque de gentillesse non il n’y en avait aucune. Puis ma mère arrive ces yeux était rouge et pourtant sur son visage était accrocher un sourire, elle me regarda et me dit qu’on partait en vacance et qu’il faillait vite préparer les bagages, j’étais jeune et une enfant alors j’écoutai ma maman comme toute enfants, je pris ma poupée et partis vers l’entrais des messieurs était là, a leur vue je me réfugiai derrière mon papa, les messieurs me fessait peur il avait des arme sur eux. Puis je remarquai leur habits pourquoi n’étaient ils pas comme nous leur habits eux il n’avait pas d’étoile eux il avait un drôle de croix. Ma maman me chuchota de ne pas les regarder et on partit. Dehors il y avait plein de monsieur habillé de la même façon que les deux messieurs avec nous. Il y avait aussi d’autres personnes leur regard montrais un dégout je ne comprends pas. Puis après 20 minute de marche on monta dans un train j’étais contente c’était la première fois que je montais dedans. Je me retournai vers mon papa et ma maman et leur demanda ou on n’allait, il m’avait répondu qu’on allait dans un parc avec des manèges. La route était longue trop longue et dans le train personne ne parlait, non ils pleuraient je ne comprenais pas pourquoi ils pleuraient n’étaient ils pas content d’allaient dans un parc remplis de manège ? Puis le train s’arrêta petit à petit et on nous dit de descendre devant moi ce tenait un grande entré fabriquer de béton les murs était si haut que je ne pouvais voir comment était l’intérieur. Des Monsieur prirent mon papa et l’amèneraient loin de moi et de ma maman elle cria le nom de mon papa tous en lui disant qu’elle l’aimait, je ne comprenais pas je commençais alors a pleurais. Un monsieur cria d’avançais, on marcha jusqu'à l’entrais et on vit l’intérieure, je tenais la main de ma maman et la sera j’avais peur ici rien ne ressembler a un parc de manège. On nous emmena alors dans des bâtiments en bois a l’intérieur on put voir qu’il y avait sur le coter de long ranger de bois superposer ou entre chaque ranger ce trouver des gens ils étaient coucher dans de la paille. La porte ce referma brusquement après que tous le monde soit rentré a l’intérieur, nous étions tous serrais il n’y avait pas de place, ma maman me pris dans c’est bras me chuchotent de douce parole elle aussi pleuré je sentais les larmes perlé c’est joue pour s’abattre sur mon visage d’enfant. Le silence Reignier dans ce bâtiment et il fessait froid. Maman me bercer tous en me serrant dans c’est bras comme si elle avait peur que je parte comme papa, ou était-il mon papa j’aimerais le voir mon papa moi mais je ne peux pas quand allais-je le revoir sa non plus je ne sais pas bientôt je l’espère. Le soleil ce leva et la porte s’ouvrir nous éblouissant par la lumière du soleil. Plusieurs hommes étaient là et nous attrapèrent le bras violement nous inscrivent un nombre dessus moi j’avais le nombre 2187 et maman 2188, je ne comprenais pas et en plus sa fessais très mal. Des hommes prirent des femmes et d’autre en poussèrent sur un coter en criant a la douche et un n’autre poussa d’autre femme sur l’autre coter en disant « trop vielle ». J’étais dans les bras de ma maman quand un monsieur l’attrapa et la mis dans le premier groupe, moi je me refugiai vite au fond pour me mettre contre le mur froid. Tous les jours c’était comme sa maman était fatiguer mon papa je ne voyais plus, les messieurs j’ai compris que c’était des méchant bonhomme. La journée quand maman partais c’était une femme qui s’occuper de moi mais aujourd’hui elle était partis un monsieur lui a dit d’allais prendre sa douche. J’avais passé ma journée seul la gentille femme n’était pas revenu à chaque fois que la porte s’ouvrait j’avais peur qu’il vienne me chercher moi. Les jours passèrent puis les semaines et puis les mois. Tous les jours les mêmes hommes venais pour prendre des personnes, mais aujourd’hui personne est venus non les messieurs ne sont pas venu mais quelque chose de plus horrible ce vit entendre des coups de feu des bombardements, j’avais encore plus peur et sur tous les visages des personne présente était visible des milliers des larmes des cries ce firent entendre pendant plusieurs semaines c’était comme sa puis plus rien aucun bruit. Les cries avaient cessé mes pas les larmes, oh sa non les larmes était toujours là est toutes les femmes présentes étaient cacher paralyser plus aucune personnes n’osez bouger ou parler. Maman me serrez fort moi aussi je la serrais j’avais peur très peur que ce passait t-il a l’extérieur ? Des cris dehors ce firent entendre. Puis d’un coup la porte s’ouvrit le soleil nous éblouissais nous rendant aveugler par sa lumière si forte. Des hommes était là avec des armes un homme nous dit que nous étions libérais, libérais des ces méchant, les femmes présente pleuraient mais pourquoi elles devraient être contente de partir de cette enfer ma maman et les autres femmes criaient des merci a tous va. Moi je me dégage de ma maman et me dirigea vers un des nombreux messieurs. Il se mit a ma hauteur et un sourire apparus sur son visage il se redressa et me tendis sa main que je pris, les femmes nous regarder puis sortirent les une après les autre poussant des cris de joie, ma maman chercha mon papa. Comme toutes les femmes qui elles aussi chercher leur maris, mais plusieurs femme comme maman ne les trouva pas un monsieur avait une liste maman décrivais papa au monsieur en lu demandant si il l’avais vu, le monsieur demanda comment papa s’appelais et il regarda sur sa liste il regarda maman d’un air désoler en lui disant que mon papa il était mort. Maman tomba a terre et pleura toutes les larmes de son Corp je courus vers elle est pleura aussi, mon papa je le reverrai plus jamais mon papa il est mort. Mon papa comme tans d’autre personne sont mort a causse de leur religions mon papa et tans d’autre personne son mort parcque un monsieur l’as décidé parcque le monsieur il croyait que nous ben on était des parasite qu’il faillait éliminer alors le monsieur il nous tuer. Mon papa et d’autres personne sont mort juste parcqu’il était juifs c’était la seul différence entre eux et nous, la seul différence était notre religions. Maman m’as expliqué quand j’étais plus grande que ces hommes qui on tuer toutes c’est personne il était racistes c’était des nazis qu’il ne croyait quand une seul est unique « race ». Après plusieurs années je me demande encore pourquoi tout c’est guerre pourquoi l’homme n’accepte pas les différences. Car pour moi la différence de chacun font que nous somme unique.