Juliens, toujours sous sa forme d'adolescent de quatorze ans, était à l'entrée du stade, son balai à ses pieds. Il tapa ses mains l'une contre l'autre, tendit son bras droit vers le sol et dit d'une voix forte :

- Debout ! Après sa, le balai vint dans sa main qu'il serra en poing pour tenir son éclair de feu. Puis il l'enjamba, mit son pieds droit sur la sorte de pédale du balai et il poussa avec le pied gauche et il décolla.

Après dix minutes de vol à toute vitesse, il ralentit et se posa au sol où il entendit une voix lui dire...

- Tu voles bien... voyions se que tu vaux contre le fils d'un champion du monde de Quidditch....

Timoté était sur un des vieux balais de Poudlard. Il volait au dessus de Juliens, ignorent qu'il était bien plus âgé qu'il paraissait, la tête en bas. Le jeune finlandais se remit à l'endroit et se plaça, grâce à une figure assez impressionnante, à coté du garçon aux tatouages. Le garçon était beaucoup plus âgé que lui et avait un balais de bien meilleur qualité, mais le jeune Makela avait se chance car son père s'entrainait avec lui presque tout les jours avant qu'il entre à Poudlard. Il fixa Juliens et sourit... Il dit ensuite:

- Le premier qui fait trois fois le tour du stade en touchant chaque tour! Prêt? ON Y VA!

Timoté fonça le plus rapidement possible vers la tour la plus proche et la caressa de la main. Il savait très bien que le garçon, ne pourtant pas les couleurs d'une maison, allait le suivre et essayer de le battre.

Juliens, amusé, accepta le défi du jeune homme et pendant que ce dernier partait, Juliens le regarda avant de faire un looping et de monter vers le premier poteau qu'il toucha du bout des doigts puis il partit dans la direction du second poteau en passant son regard vers le jeune garçon.

Timoté ne se préoccupait que très peu de Juliens car il savait qu'il n'y avait pas de cognard et donc pas de risque. Il vira un peu et comme le balais était un vieux de l'école il du se battre avec pour ne pas foncé dans la tour suivante. Il cria alors:

- Les balais de l'école sont vraiment usé!

Il fila alors vers la prochaine tour en espérant rattrapé le retard car le garçon avait prit de l'avance.

Juliens continuait sa course à travers le terrains avec assez de légèreté. Il fallait dire qu'être âgé de vingt neuf ans, ne pas craindre de se faire mal, avoir le corps d'un adolescent et un éclair de feu pouvait être d'une grande aide.
Après avoir touché le second poteau, Juliens descendit en piqué, à quelque mètre du sol il redressa et continua sa route en ligne droite et plus rapidement grâce à la vitesse qu'il venait de prendre en descendant et il toucha le troisième poteau.

Timoté toucha le troisième poteaux juste après Juliens. Il volait maintenant cote à cote. La quatrième tour était à leur porter. Timoté dut faire un tonneau car il était du mauvais coté et donc il ne pouvait toucher la tour sans foncé dans Juliens... Ce tonneau lui fit perdre de l'avance, il se rattrapa assez vite, mais il était toujours derrière Juliens.
soudainement son balais arrêta d'avancer comme si il y avait eut un panne et le jeune Makela fila au sol en piqués en cirant d'horreurs sans réussir à se redresser car il allait trop vite.

Juliens attendit le cris d'horreur poussé par Makela. Il réagis vite : il tourna la tête en arrière risquant de se briser la nuque, redréssa le ballai pour foncer horizontalement vers le haut et il se jeta vers Timoté. Puis il se raidit, baissa la tête, dépassa le jeune homme et d'un coup de baguette (prit pour ne pas se faire remarqué) il ralentit la chute du jeune homme juste avant que Juliens s'effondra sur le sol, temporairement mort.

Timoté vit l'autre garçon le survolé et soudain il se sentit léger comme si sont corps avait perdu toute poids. Il tombait, mais, comme les feuilles de papier, gentiment. Il artérite au sol comme un fleur emporté par le vent. Il avait vu l'autre garçon lancer un sort pour le ralentir. Il se releva et comprit que le garçon avait lancé un sort qui n'était pas de son niveau. En épousant sa robe de sorcier, il pesta sur les balais de l'écoles et surtout sur celui qui l'avait lâché.

Après que le jeune homme fut relevé, la colonne vertébrale de Juliens se remit en place dans un grand craquement puis il tourna sa tête vers le jeune homme et il se releva dans un bond avant de s avancer vers Timoté.

- Comment tu t appelle ? Demanda-t-il en écartant du sujet sa chute forte et sans blessure.

Ted avait assisté à cette course effréné depuis le parc. Au moment de la chute de l'un deux, il se précipita en courant pour voir, pris de peur.
Il arriva sur les lieux, à bout de souffles, et entre deux respirations. il demanda :

- Que ... s'est-il ... passé ?

Ted croisa le regard de Juliens, apparemment, il n'aurait pas du parler de cette chute... Il enchaina :

- Belle journée, n'est-ce pas? Espérant rattraper sa gaffe...

Avant que Théo D'or arrive, Timoté avait bafouillé son nom:

- Tim..Timoté Makela!

Ted était arrivé et demanda se qui s'était passé avant de soudainement changé maladroitement de sujet.

- J'ai fait un chute. Le balais de l'école m'a lâché, mais j'étais pas très haut donc sa va.

Timoté avait une chute de plus de trente mètre. Le jeune garçon se releva tranquillement et regarda avec étonnement Juliens ne comprenant pas son énervement. C'était une des rares fois où il ne souriait pas.

Juliens regarda l'élève d'un regard noir car il aurait préféré qu'il ne soit pas là.
Il finie par s'expliquer par un mensonge à peine crédible :

- Le balai de l'école s'est stoppé, il est tombé, j'ai ralentit sa chute et j'ai ralentit la mienne mais je ne maitrise pas très bien le sortilège alors sa a produit un énorme bruit. Mais il y a eu beaucoup plus de peur que de mal. Dit-il Juliens à l'enfant, espérant rattraper le coup.

Puis l'élève dit qu'il s'agissait d'une belle journée, montant le regard de Juliens vers le ciel bleu sans nuage.

- Oui, malgré que ce n'est pas le temps idéal d'après moi.

Malgrè la réponse de Juliens, il avait senti dans le ton sa voix qu'il n'était pas le bienvenu. Ce n'était pas sa faute, après tout, s'il s'était inquiété en voyant cette chute loin. Ca l'apprendra à être trop curieux. Pourtant résigné, il décida de continuer la conversation avec Juliens, histoire de lui faire changer d'avis à son égard.

- Pourquoi n'est-ce pas le temps idéal, pour toi?

- Le temps idéal pour moi et quand le vent fouette légèrement le visage, les nuages cachant le soleil donnant une impression de mystère et la pluie tombant lentement sur le sol, voilà ce qu'est le temps idéal pour moi. Dit-il à Théo.

Juliens était conscient que le temps idéal pour lui était le même qu'à l'arrivé de dizaine de détraqueur dans un parc. Mais sa lui était égal.

- Quel est le temps idéal pour toi ? Demanda-t-il à l'élève.

-Le temps idéal, pour moi, c'est celui d'automne, la saison chaude vient juste de se terminer, la température est tiède et un léger vent caresse le visage, comme toi, j'aime quand le soleil est caché et que ses rayons légèrement des nuages laissant quand même un ciel bleu. Dans de telles conditions on se sent bien ; ni froid, ni chaud, pas de pluie, une brise ...

Ted repensa au rare moment qu'il avait passé sous ce temps, tellement agréable.

Timoté s'était relevé et était un petit peu sonné. Il ne comprenait pas pourquoi les deux garçons parlaient du temps. Il fixa le garçon qu'il avait défié et soudainement il se rendit compte qu'il ne le connaissait pas. Quand Ted se tut, le beau blond demanda au garçon plus âgé:

- Je ne crois pas te connaître. Quel est ton nom?

Juliens se tourna vers le jeune enfant qui venait de lui poser une question, creusant dans sa mémoire pour se rappeler le prénom qu'il avait dit précédemment à Jaina, il répondit :

Ivan, Ivan Mc Flinch. Et toi ? Lui demanda-t-il.

- Timoté Makela, mais je te l'ai déjà dit...

Le jeune garçon était intrigué le prénommé Ivan semblait cacher quelque chose. De plus il ne l'avait jamais aperçut dans Poudlard. N'y ailleurs se qui était étrange car l'on croisait tout le monde dans la grande salle. Il décida d'essaye d'en savoir plus:

- Tu joue vraiment bien! Où as tu appris à manier le balais comme sa?

- En irlande il y a de merveilleuse plaine à des kilomètres de tous moldue, alors j'ai pue librement m'y entrainer. Répondit-il en s'approchant d'un poteau de quidditch et de le toucher. J'ai gagné, au faite. Finit-il.

- Dés que j'aurai un vrai balais je veux une revanche, c'est surtout à cause du balais de l'école qui m'a lâché que je suis tombé.

Timoté avait suivit le garçon jusqu'au poteau en l'observant bien essayant de voir si il le reconnaissait, mais non il ne l'avait jamais vu il en était sur et certain. Le finlandais remarqua soudainement quelque chose de flagrant. La couleur d'aucune maison était brodé sur sa robe de sorcier.

- Tu es dans quel maison enfaite? Je ne te vois pas porter la couleur de l'une des maisons.

- Aucune, je ne suis dans aucune maison. Je suis venue pour un échange d'école pour un ans afin de me former dans les arts divinatoire. Grâce à ça je pourrais devenir une langue de plomb dans le service des prophéties des ministères mondiaux ou même professeur de divination. Répondit-il. Si tu veux tout savoir, je dors dans l'antichambre de la tour de divination. C'est spacieux et inhabité.

- ah d'accord. Je ne savais pas que cela existait...

Timoté était gêné. Le jeune homme semblait tout a fait normal et son histoire tenait la route. Le finlandais oublia vite sa gêne et se mit à sourire. Il se tourna vers Ted:

- Sa va?

- Sa va très bien, j'ai écouté la discussion. En se tournant vers Juliens, J'espère que tu réussira tes projets.

Ted réfléchissait la conversation tournait en rond, autant que chacun raconte sa vie, au pire, chacun tirera un meilleure connaissance de l'autre, même si les questions paraissait un peu "bâteaux".

- Euh ... Timoté, tu veux faire quoi quand tu auras fini tes études ?

Juliens écouta la question de Théo quand sa vue se brouilla tellement qu'il fut obligé de s'assoir pour ne pas tomber.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? Demanda-t-il en regardant la masse sombre qu'étaient les élèves.

Juliens s'affala sur une pierre. Ted en instinct de survie l'allongea sur le sol et le couvrit, tel il avait pris aux cours de secourisme moldu. Il ne voyait plus rien mais pouvait parler. Quels drôles de symptômes.

- Timoté, il faut l'apporter à l'infirmerie, aides-moi. Juliens, cela t'es déjà arrivé, prends-tu un traitement particulier en ce moment, as-tu reçu un mauvais sort ces derniers temps?